La saveur du jour
8 résolutions alimentaires pour 2018
Voici huit résolutions qui, en 2018, pourraient changer le monde, aider les régions, ou donner un coup de pouce à l’environnement, un changement à la fois.
Dépassées, les résolutions (qu’on ne tient pas) à chaque début d’année? Peut-être. Mais quand il s’agit de changer peu à peu nos habitudes alimentaires et de conscientiser notre entourage à de bonnes pratiques, c’est autre chose. Laquelle, ou lesquelles, de ces huit résolutions réussirez-vous à tenir cette année?
Privilégier les produits équitables
Il est impossible d’acheter exclusivement des aliments issus du commerce équitable, mais on peut faire certains choix, comme de toujours acheter du sucre, du café, du thé, du riz ou du chocolat équitables, par exemple.
Adopter le vrac
Parce que les commerces qui proposent des denrées en vrac sont de plus en plus nombreux, il est désormais possible de faire ses provisions sans produire de déchets reliés à l’emballage.
Combattre le gaspillage alimentaire
Parce qu’il est inconcevable de penser que dans le système alimentaire canadien, 40% de la nourriture est jetée, il faut tout faire pour contribuer à contrer le gaspillage.
Visiter des restos de quartier
En 2018, fini les grosses chaines, il faut privilégier les artisans de chez nous qui proposent des produits uniques et offrent une belle variété.
Encourager les petits commerces
Dans le même ordre d’idées, pourquoi ne pas changer ses habitudes une fois de temps en temps et troquer la grande épicerie pour une visite dans différents petits commerces de quartier?
Diminuer l’utilisation du plastique
Un changement facile à adopter, qu’il suffit simplement de laisser entrer dans son quotidien, est de diminuer sa consommation de plastique. À la maison, on peut remplacer la pellicule plastique par des films alimentaires et, au restaurant, on peut refuser les pailles dans les boissons, par exemple.
Augmenter les achats locaux
On estime à 2 500 kilomètres la distance moyenne parcourue par les aliments du champ à la tablette, alors que le Québec compte 29 000 fermes. Pour contrer ce non-sens, on s’adapte aux saisons et on privilégie le plus souvent possible les aliments d’ici.
Consommer des alcools d’ici
Parce que plusieurs vignerons québécois font un travail exceptionnel, que le choix de bières locales est extrêmement vaste et que les alcools forts québécois sont de plus en plus nombreux, il est désormais facile de choisir des produits d’ici quand vient le temps de trinquer.