À l’hôtel Nashare, en Chine, les chambres donnent sur la forêt ou la mer. Mais la vue est aussi… à l’intérieur. C+ Architects, l’agence qui a conçu l’établissement luxueux, a réussi à intégrer le paysage qui l’entoure au cœur du design.
Le site où se cache l’hôtel Nashare invite les visiteurs à la détente. Construit dans une forêt de Xiamen, à l’écart de la ville, celui-ci est entouré de pins, d’acacias et de pierres naturelles. L’océan et la forêt peuvent être contemplés de toutes les chambres.
Alors que la plupart des concepteurs auraient dynamité le roc pour construire l’hôtel sur un terrain plat, C+ Architects, en collaboration avec Naza Design Studio, a plutôt incorporé les éléments du paysage environnant dans la conception. En entrant dans leurs chambres, les visiteurs seront ainsi peut-être surpris de voir le décor. Certaines chambres sont dotées d’un grand mur de pierres, alors que d’autres comptent un imposant rocher à l’intérieur.
L’hôtel Nashare ne comprend que 12 chambres et la majorité sont des unités indépendantes qui disposent d’une entrée privée et d’une cour, ce qui permet aux invités d’avoir de l’intimité. Les concepteurs chinois ont misé sur le design de «conteneurs invisibles» afin d’augmenter l’expérience avec la nature. Chaque unité est différente, selon son emplacement, mais elles ont toutes une décoration sobre où le bois occupe une place de choix. Résultat: l’architecture et la nature ne font qu’un. Ou presque.
La trilogie 1984 raconte le périple de Gabriel Rivages, protagoniste aux cent métiers et alter ego de l’auteur, lancé sur les traces de trois figures américaines du vingtième siècle. Hongrie-Hollywood Express met en scène Johnny Weissmuller, nageur olympique plusieurs fois médaillé d’or et premier Tarzan du cinéma parlant ; Mayonnaise mêle le destin de Rivages à celui de l’écrivain culte Richard Brautigan, le dernier des beatniks, qui hante la trilogie ; et Pomme S porte sur Steve Jobs, la révolution informatique et les filiations secrètes entre les idées, les machines et les êtres.
