HeroPin: le Uber du soutien technique

HeroPin est une nouvelle application qui vise à vous mettre en contact avec des «Héros» capables de régler vos problèmes informatiques.

Ordinateur, téléviseur, imprimante, routeur, système d’alarme, téléphone intelligent, tablette: si vous éprouvez des difficultés avec un de ces appareils électroniques, il y a de fortes chances pour que quelqu’un près de chez vous ait la solution à vos problèmes, qu’il soit technicien qualifié ou simplement passionné de technologies.

HeroPin est en quelque sorte le Uber du soutien technique puisque n’importe qui peut tenter de devenir un héros, comme n’importe qui peut tenter d’être un chauffeur Uber. Pour être accepté dans la communauté HeroPin, les spécialistes doivent toutefois être prêts à compléter une évaluation de leurs compétences et ne pas avoir de casier judiciaire.

Lorsqu’un client décrit un problème sur HeroPin, les héros à proximité peuvent lui envoyer une soumission. La personne peut alors consulter le profil des spécialistes, la solution qu’ils offrent, leur prix et la vitesse à laquelle il peuvent venir régler le problème. Ne reste plus qu’à choisir la personne désirée.

HeroPin est une application intéressante pour éviter d’avoir à faire appel à son entourage sur Facebook pour des pépins informatiques, ou encore pour régler des problèmes plus importants sans avoir à payer le plein tarif d’un professionnel.

Comme avec les autres applications du genre, il est possible de laisser un commentaire après le passage du spécialiste, ce qui permet ensuite aux autres utilisateurs de privilégier quelqu’un qui a fait du bon boulot et d’éviter une personne qui a une mauvaise réputation.

À noter, HeroPin est une application québécoise qui vient tout juste d’être lancée. Il y a déjà plusieurs experts enregistrés dans la grande région montréalaise, mais il pourrait être difficile, pour l’instant, d’en profiter en région.

HeroPin est offert dès maintenant en français sur Android et iOS.alt="heropin-logo"

La femme qui fuit, Anaïs Barbeau-Lavalette

«Incapable de me détacher de ses mots, j’ai passé une nuit blanche avec ce dernier titre d’Anaïs Barbeau-Lavalette, qui a la sensibilité au bout des doigts. Dans La femme qui fuit, à travers une forme si bien choisie, splendide même, on remonte par fragments le cours de la vie de la grand-mère maternelle de l’auteure, dont elle ne savait à peu près rien. Cette Suzanne au destin peu banal et qui était aux côtés de Riopelle, Gauvreau et Borduas quand ils signaient le Refus Global a fondé une famille avec le peintre Barbeau… avant de la quitter. Pourquoi? Comment vivre avec ce fantôme alors qu’on a cet héritage dans le sang? Vaut mieux créer, reprendre le fil et enfanter soi-même, j’imagine. Ce texte en est un des plus forts de la présente saison et, auteure moi-même, j’avoue – ça fait du bien –, je suis très jalouse.»

- Claudia Larochelle

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Résumé

alt="la-femme-qui-fuit-anais-barbeau-lavalette"Anaïs Barbeau-Lavalette n'a pas connu la mère de sa mère. De sa vie, elle ne savait que très peu de choses. Cette femme s'appelait Suzanne. En 1948, elle est aux côtés de Borduas, Gauvreau et Riopelle quand ils signent le Refus Global. Avec Barbeau, elle fonde une famille. Mais très tôt, elle abandonne ses deux enfants. Pour toujours. Afin de remonter le cours de la vie de cette femme à la fois révoltée et révoltante, l'auteur a engagé une détective privée. Les petites et grandes découvertes n'allaient pas tarder.

La femme qui fuit, Anaïs Barbeau-Lavalette, éditions Marchand de feuilles, 2015, 23,95$.

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Marina One: la vie luxuriante à Singapour

Singapour accueillera l’an prochain un nouveau bâtiment d’envergure : le Marina One. Avec ses jardins, ses arbres et ses fontaines, le complexe luxueux compte reverdir la ville. En regardant le projet de plus près, on comprend d’ailleurs rapidement pourquoi il a été surnommé le «cœur vert»!

Au cœur du quartier financier de Singapour, le Marina Bay District, Ingenhoven a regroupé deux tours de bureaux, deux immeubles résidentiels et un centre commercial en un seul endroit. La firme allemande, reconnue pour ses bâtiments durables, n’a pas négligé l’aspect environnemental.

Crédit photo : Ingenhoven Architects
Crédit photo : Ingenhoven Architects

Le projet est en effet vert dans tous les sens du terme. La façade des quatre gratte-ciels de 30 à 34 étages est recouverte de jardins verticaux. Les vitres choisies réduisent quant à elles le rayonnement solaire direct dans les bâtiments. 

Crédit photo : Ingenhoven Architects
Crédit photo : Ingenhoven Architects

Un grand parc, qui compte non seulement des plantes et des arbres, mais aussi des chutes et des piscines, se retrouve au centre des quatre tours. Plus haut, les différents jardins sur les toits devraient refléter les changements d’environnement que l’on constate en escaladant une montagne.

Crédit photo : Ingenhoven Architects
Crédit photo : Ingenhoven Architects

Les bâtiments, conçus pour capter les courants d’air, sont également percés d’ouvertures stratégiques pour créer une ventilation naturelle et procurer aux habitants un environnement confortable malgré le climat tropical chaud et humide de Singapour. Les occupants pourront ainsi profiter de la brise et du bruit de l’eau.

Le design durable du Marina One devrait lui valoir la certification LEED Platine. Dans tous les cas, on aimerait bien avoir un aussi grand jardin chez soi!

Scan Eat: un détecteur de pesticides portable

La guerre aux pesticides est déclarée et s’annonce facile à gagner avec le Scan Eat, un scanner portable capable de déceler la présence de pesticides dans les fruits et légumes.

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Le Scan Eat est une idée de Simon Bernard, jeune étudiant français de l’École nationale supérieure maritime du Havre, en Normandie, France. De la taille d’une clé USB, le Scan Eat utilise une technologie de spectrométrie infrarouge afin de détecter des molécules chimiques invisibles à l’œil nu, dont les fameux pesticides. Les résultats du scanner sont ensuite transmis par le biais d’une application mobile.

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Gagnant du premier prix du concours Green Tech, Simon Bernard a reçu 150 000 euros pour financer son invention, en plus d’un contrat de travail de neuf mois au sein du ministère français dans le but de mettre au point le Scan Eat.

La Vérité sur l’Affaire Harry Québert, Joël Dicker

«C’est sans grandes attentes que nous avons plongé dans ce best-seller publié en 2012 par le jeune écrivain suisse Joël Dicker. Nous devons avouer que nous avons tendance à nous méfier lorsque «tout le monde» dit que c’est bon. Dans ce cas-ci, «tout le monde» avait effectivement raison: ce roman se dévore! Intrigue, humour et réflexions sont au rendez-vous dans cette «brique» qu’on peine à déposer.»

- L'équipe d'Avenues

Résumé

alt="La_Verite_sur_l_Affaire_Harry_Quebert"Un jeune écrivain à succès vient en aide à Harry Québert, inculpé pour le meurtre d'une jeune fille de 15 ans avec qui il avait une liaison. Pour faire la lumière sur cet assassinat vieux de trente ans, il décide d'écrire un livre intitulé La vérité à propos de l'affaire Harry Québert.

La Vérité sur l’Affaire Harry Québert, Joël Dicker, Éditions de Fallois, 2012, 29,95$.

 

 

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