Croyez-vous avoir perdu votre téléphone Android? Grâce à l’application web Gestionnaire d’appareils Android, il suffit de taper «où est mon téléphone» dans Google pour voir votre téléphone Android sur une carte géographique.
Le Gestionnaire d’appareils Android, lancé il y a un certain temps déjà, n’est pas une application mobile que l’on installe, mais plutôt un service de Google qui fonctionne automatiquement avec les téléphones Android. En plus de pouvoir y accéder en recherchant «où est mon téléphone» sur un ordinateur, il est possible de consulter le gestionnaire directement au google.ca/android/devicemanager.
Notre téléphone s’affiche alors sur une carte, dans un rayon d’environ 20 mètres, en moyenne. Il ne sera donc pas possible de savoir s’il se cache sous le sofa, mais on saura au moins si on l’a oublié au chalet. Notons que le Gestionnaire d’appareils Android peut aussi permettre de localiser un téléphone qui a été volé. Il est alors recommandé d’appeler la police, et non d’aller le chercher soi-même.
Une fois le téléphone retrouvé, différentes options s’offrent à l’utilisateur. Celui-ci peut le faire sonner (pour le repérer plus facilement), mais peut aussi le verrouiller à l’aide d’un mot de passe, tout en indiquant un message sur l’écran d’accueil (par exemple: ce téléphone m’appartient, merci de m’appeler au 555-1212 si vous le retrouvez). Ceux qui ont des données confidentielles sur leur téléphone peuvent aussi choisir de l’effacer complètement.
Le Gestionnaire d’appareils Android est offert sur les téléphones Android récents, à condition d’avoir activé la fonctionnalité Google Now dans les paramètres de son téléphone. Il est conseillé d’aller voir si celle-ci fonctionne avec son appareil avant de le perdre, afin de pouvoir ajuster ses paramètres avant d’en avoir vraiment besoin.
Notons que les iPhone ont aussi un service similaire, Localiser mon iPhone, auquel on peut accéder sur le web à l’adresse icloud.com.
Il y avait une belle effervescence le week-end dernier sous la grande tente blanche de la Fête des vendanges Magog-Orford, où une centaine d’artisans étaient présents pour faire découvrir les produits qu’ils font exister grâce à leur passion.
Il a suffi de déambuler entre la centaine de kiosques agroalimentaires de la Fête des vendanges, qui en est à sa 23e édition, pour saisir toute la variété et la vitalité de notre terroir. On le sait, mais de voir tous ces artisans rassemblés permet de réaliser toute la volonté déployée pour mettre en valeur les saveurs de nos terres.
Vins québécois à l'honneur
Il y a les vins québécois, plus nombreux que jamais. Sur place, une cinquantaine de vignobles et de cidreries faisaient goûter leurs produits. Du côté des cidres et des vins mousseux, si la pomme est à l’honneur depuis longtemps, la nouvelle tendance semble être la poire, que plusieurs artisans transforment en alcool, comme c’est le cas, entre autres, au Domaine De Lavoie. La Vallée Bleue, de son côté, propose des vins… aux bleuets!
Produits à découvrir
Autre tendance forte observée à la Fête des vendanges: la transformation de produits d’ici jusqu’à maintenant peu exploités. On connaissait le bleuet, le sirop d’érable ou la canneberge, mais désormais c’est l’eau de bouleau transformée en sirop ou en vinaigrette par Appalaches, la caméline en huile chez Oliméga, la camerise (un petit fruit nordique) congelée, séchée ou en confitures chez La Camerisière Granbyenne et les baies de sureau séchées ou en gelée de Le Clan qui volent la vedette.
Après une visite à la Fête des vendanges, on se dit que les prochaines années apporteront assurément de nouveaux aliments dans notre quotidien.
Ce n'est pas fini!
Je vous parlerai de mes découvertes coup de cœur plus en détails dans les prochaines semaines. D’ici là, la bonne nouvelle, c’est que la Fête se poursuit encore le week-end prochain, soit le 10 et 11 septembre. Avenues, Jessica Harnois et l'équipe de Vins au féminin vous donnent rendez-vous pour les Dégustations Vegas, une façon ludique d'apprendre l'art de la dégustation du vin.
«J’aimerais que les gens, face à mes peintures, vivent un moment de poésie, un instant arrêté dans le temps. Le bonheur de savourer le présent.»
-Louise Larose
Originaire de Montréal, l’artiste Louise Larose a grandi auprès d’un frère et d’une sœur artistes qui lui ont transmis très jeune un goût pour l’art.
Elle enseigne les arts plastiques au niveau secondaire depuis plus de vingt ans. Parallèlement, elle exerce une carrière d’artiste peintre professionnelle et expose ses œuvres en galeries à Montréal, Toronto, Paris et New York.
L’œuvre hétérogène de Louise Larose, à la limite de l’abstrait et du figuratif, témoigne de ses sources d’inspiration : nature, voyages, liberté, intuition et pureté des émotions. Avec l’acrylique, l’artiste nous entraine à l’intérieur de paysages abstraits dont le langage visuel est très personnel. Le geste large et spontané est instinctif, nous rappelant la manière des automatistes. Le travail est souvent texturé et les couleurs contrastées.
À moins de vingt minutes d’Amsterdam, un village complètement écologique et autonome, baptisé RenGen, verra le jour prochainement.
L’entreprise californienne RenGen Villages s’est associé au cabinet d’architecture danois EFFEKT pour réaliser une communauté auto-suffisante qui risque d’en faire rêver plusieurs. Des maisons de tailles différentes, épurées et sous cloches de verre, trônent dans un paysage idyllique où serres et parcs peuplent la prairie verdoyante.
Photo: EFFEKT
Production à haut rendement de nourriture bio, production d’énergies uniquement renouvelables, construction de maisons à énergie positive – c’est-à-dire qui produisent plus qu’elles ne consomment -, recyclage des déchets et filtrage de l’eau: tout se fera fait à même les terres de ce village puisque le but ultime est de bâtir un lieu complètement écologique et autonome.
Photo: EFFEKT
Au-delà de la construction et des innovations techniques, RenGen mise sur les habitants pour faire vivre son projet avant-gardiste. Ainsi, les habitations seront organisées en cercles concentriques afin de tisser un lien social fort et durable et chacun devra y mettre du sien pour participer au bien-être de la communauté.
Photo: EFFEKT
James Ehlrich, concepteur principal du village, espère pouvoir exporter sa vision du zéro déchet dans les pays en développement. Intéressés?
«Remarquable réussite scénaristique et graphique, cet hommage au héros mythique et au genre western en général ravira son lecteur autant par sa nouvelle approche semi-réaliste que par le traitement «Morrisien» de la couleur, les cadrages audacieux et les brillants ajouts à l'histoire inventés par cet auteur de haut niveau, qui a su répondre à son envie de la reprise avec brio.»
Par une nuit orageuse, Lucky Luke arrive dans la bourgade boueuse de Froggy Town. Comme dans de nombreuses villes de l'Ouest, une poignée d'hommes y poursuit le rêve fou de trouver de l'or. Luke souhaite y faire une halte rapide. Mais il ne peut refuser l'aide qui lui est demandée : retrouver l'or dérobé aux pauvres mineurs du coin la semaine précédente. Avec l'aide de Doc Wesnedsay, Lucky Luke mène une enquête dangereuse, car il est confronté à une fratrie impitoyable qui fait sa loi à Froggy Town, les Bone...
L'homme qui tua Lucky Luke, Matthieu Bonhomme, 2016, Lucky Comics, 64 pages, 26,95$.
Par une nuit orageuse, Lucky Luke arrive dans la bourgade boueuse de Froggy Town. Comme dans de nombreuses villes de l'Ouest, une poignée d'hommes y poursuit le rêve fou de trouver de l'or. Luke souhaite y faire une halte rapide. Mais il ne peut refuser l'aide qui lui est demandée : retrouver l'or dérobé aux pauvres mineurs du coin la semaine précédente. Avec l'aide de Doc Wesnedsay, Lucky Luke mène une enquête dangereuse, car il est confronté à une fratrie impitoyable qui fait sa loi à Froggy Town, les Bone...