Expo 67, 50 ans, 50 souvenirs marquants et autres secrets bien gardés, Luc Desilets

50 ans après l’ouverture d’Expo 67, ce magnifique bouquin nous replonge dans l’effervescence de cette Exposition universelle. Outre les magnifiques photos (dont plusieurs jamais publiées à ce jour), on retrouve dans ce beau livre des anecdotes, des confidences et des histoires oubliées. Un ouvrage à conserver!

Résumé

Il y a eu «avant l'Expo». Puis, il y a eu «après l'Expo».

Du jour au lendemain, le 27 avril 1967, nous nous sommes faits les hôtes du monde entier. Du jour au lendemain, nous existions tout à coup. Le choc fut tel que l'Expo 67 s'est taillé une place incomparable dans notre imaginaire collectif. Aucun événement n'aura jamais suscité une telle unanimité! Armés d'un singulier passeport, excités à l'idée de découvrir ce que la planète avait à offrir, nous avons envahi les îles inventées d'Expo 67 comme si nous entrions au pays des merveilles. Et nous en sommes ressortis différents, plus ouverts, assoiffés de connaissance... une fois, dix fois, vingt-cinq, cinquante fois! Passant en revue les petits et grands moments qui ont marqué la mise en œuvre de ce fabuleux projet, le livre-souvenir Expo 67: 50 ans, 50 souvenirs marquants et autres secrets bien gardés ravira à coup sûr les nostalgiques de ce grand moment de notre histoire collective... et tous ceux qui ont rêvé d'y prendre part.

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Expo 67, 50 ans, 50 souvenirs marquants et autres secrets bien gardés, Luc Desilets. Guy Saint-Jean Éditeur, 2017. 256 pages. 29,95$.

À voir: L'Histoire en photos

Au cours des six mois de l'Expo 67, chefs d'État, têtes couronnées et artistes de renommées internationales se sont succédé dans la métropole. On retient surtout la visite de la superbe princesse Grace de Monaco, de la reine Élisabeth II et du général Charles de Gaulle qui a lancé son célèbre «Vive le Québec libre». Cependant, n’oublions pas le passage du président américain Lyndon B. Johnson, Jacky et Bobby Kennedy, Marlène Dietrich, Bing Crosby et plusieurs autres artistes connus. Les voici, en photos.

Photo : Bibliothèque et Archives Canada
Photo : Bibliothèque et Archives Canada

Pour abriter les 90 pavillons de l’Expo 67, on a carrément créé une nouvelle île (l’île Notre-Dame) au milieu du fleuve en plus de doubler la superficie de l’île Sainte-Hélène, en grande partie avec la roche et la terre des travaux d’excavation du métro de Montréal. Rien n’était impossible ni trop grandiose pour le maire Drapeau! Voici des images de cet événement sans précédent qui a mis «Montréal sur la carte».

Compagnie canadienne de l'Exposition universelle de 1967. BAnQ
Compagnie canadienne de l'Exposition universelle de 1967. BAnQ

Kengo Kuma imagine un musée de bois pour la Turquie

La prolifique firme japonaise Kengo Kuma and Associates a récemment dévoilé ses plans pour le Musée d’art moderne d’Odunpazari en Turquie. L’édifice tout en bois rendra hommage aux résidences ottomanes traditionnelles de la région, mais deviendra également un point de repère.

Le projet, porté par un mécène, sera érigé à Eskisehir, une ville universitaire au nord-ouest du pays. Le bâtiment de 3583 mètres carrés présentement en construction se veut une vitrine de l’art turque.

Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates
Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates

Chaque bloc du musée sera recouvert de planches de bois horizontales, afin de faire un clin d’œil au passé d’Odunpazari, une zone qui, dans une autre vie, comptait un marché de bois. Le choix des matériaux permettra à l’imposante structure de s’intégrer avec succès dans le quartier. En empilant les volumes, les concepteurs espèrent créer une architecture à l’échelle de la ville.

Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates
Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates

L’entrée du musée donnera sur un vaste atrium, composé de quatre boîtes et éclairé d’un puits de lumière. Au niveau de la rue, on retrouvera les installations et les expositions de grande envergure. Les étages supérieurs, plus petits, abriteront de leur côté l’exposition permanente et les collections d’œuvres d’art plus restreintes. La lumière naturelle coulera à flots grâce à l’espace entre les lattes de bois.

Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates
Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates

Si on aime le design retenu par l’architecte, on ne peut s’empêcher d’y voir les constructions en bâtons de popsicle de notre enfance. On jalouse d’ailleurs un peu Yuki Ikeguchi, qui aura la chance d’observer sa charpente prendre forme en vrai.

Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates
Photo: courtoisie Kengo Kuma and Associates

Semaine québécoise du café indépendant: l’occasion de découvrir le café troisième vague

La deuxième édition de la Semaine québécoise du café indépendant promet de belles découvertes aux amateurs de café troisième vague.

Le café troisième vague, c’est quoi?

Considérer la provenance du grain, la mouture, la date et la température de torréfaction… Voici ce qui distingue les amateurs de café troisième vague.

S’il a fallu plus de temps au Canada pour entrer dans la danse qu’à d’autres pays comme l’Australie ou à la toujours avant-gardiste côte ouest américaine, voilà que plusieurs villes du pays sont désormais passionnées par la tendance, faisant même aujourd’hui du Canada un joueur important du secteur.

Il y a eu Vancouver et Toronto, puis, le café troisième vague a déferlé sur Montréal. Plus récemment, Québec et quelques autres villes de la province ont aussi été «atteintes».

Ce qui rassemble les amateurs de café nouveau genre? Le fait de reconnaître le breuvage comme un produit complexe, artisanal, pour lequel la méthode d’infusion est aussi importante que le sont les origines puisque le terroir s’exprime dans chaque tasse. La présentation du café est aussi importante et, dans les petits établissements, les baristas sont des experts, un peu à la manière des sommeliers. En fait, la troisième vague considère le café comme un art.

Photo: Blake Richard Verdoorn, Unsplash
Photo: Blake Richard Verdoorn, Unsplash

La Semaine québécoise du café indépendant

Pour découvrir ou redécouvrir la tendance, profitez de la deuxième édition de la Semaine québécoise du café indépendant. Du 24 au 29 avril, des événements et des activités sont organisés afin de découvrir les cafés indépendants et les torréfacteurs locaux du Québec. Le porte-parole de l’événement est Jean-Michel Dufaux, auteur du livre Cafés, qui rassemble ses cafés coup de cœur à travers le monde. Pour couronner la semaine, plusieurs établissements offriront samedi leur café sans lait à 1$ et avec lait à 2$.

Après tout, le café est la deuxième matière première la plus exportée dans le monde, après le pétrole. Deux humains sur trois en boivent, et sa consommation est en croissance partout dans le monde. C’est sans parler des lieux que sont les cafés, qui servent à flâner, rencontrer, observer, travailler ou créer. Le café vaut bien, dans ce cas, qu’on s’y intéresse et qu’on le connaisse davantage.

Photo: Drew Coffman, Unsplash
Photo: Drew Coffman, Unsplash

Visites à la chandelle, Robert Wolfe

Décédé en 2003, Robert Wolfe a été une figure importante du milieu artistique québécois. Peintre, graveur et dessinateur, il a aussi été enseignant des arts.

Né en 1935 dans l’est de Montréal, Robert Wolfe étudie à l’École des beaux-arts de Montréal. Il se rend ensuite en France pour quelques années. À Paris, il effectue des stages de perfectionnement dans des ateliers de gravure reconnu. C’est d’ailleurs dans la Ville Lumière qu’il fera sa première exposition solo, en 1960. De retour au Québec, il s’installe dans son atelier de Saint-Jacques-le-Mineur.

La production artistique de Robert Wolfe est marquée par un abondant corpus de gravures et d’estampes. Reconnu comme un coloriste d’importance, il fait partie d’une génération d’artistes qui a réévalué les approches automatistes et plasticiennes. La Bibliothèque nationale du Québec (BaNQ), où une rétrospective de son œuvre a été organisée en 2006, le qualifie «d’un des créateurs les plus inspirants de la mouvance libérée qui a suivi la Révolution tranquille.»

Considéré comme un des pionniers de la galerie Graff, aux côtés de l’artiste Pierre Ayot, il y a été représenté de 1979 à sa mort.

Les œuvres de Robert Wolfe font partie de nombreuses collections privées et publiques dont le Musée d’art contemporain de Montréal, le Musée national des beaux-arts de Québec et le Musée des beaux-arts de l’Ontario, à Toronto.

Visites à la chandelle, 1968, Robert Wolfe (1935-2003). Gravure. 22 x 26 cm. © L'Artothèque
Visites à la chandelle, 1968, Robert Wolfe (1935-2003). Gravure. 22 x 26 cm. © L'Artothèque

Coût de location par mois pour un particulier (taxes incluses): 18$.

Panama, Marc Rigole

Nous avons trouvé votre compagnon de voyage pour votre visite au Panama : cette toute nouvelle édition du Guide Ulysse!

En plus des nombreuses propositions d’activités de plein air, ce guide Ulysse contient une foule de conseils, autant pour les voyageurs indépendants que pour les ceux qui désirent découvrir de façon respectueuse les différentes communautés autochtones du pays. En un clin d’œil vous y trouverez les plus belles plages, les lieux historiques incontournables, les meilleurs endroits pour dormir et manger, les plus belles randonnées… et encore plus !

 

Résumé

alt="panama"Découvertes
Explorez les multiples merveilles du Panamá, ses îles paradisiaques, ses plages de sable fin, sa nature luxuriante, son incroyable canal et sa vibrante capitale moderne.

Art de vivre
Choisissez parmi une sélection des meilleures adresses : de la simple cabaña sur la plage au lodge en pleine jungle, du petit resto de village aux grandes tables, sans oublier les meilleurs endroits où se procurer les oeuvres des artisans locaux.

Plein air
Parcourez les splendides parcs nationaux et découvrez les plus beaux sites pour profiter de la mer, observer la faune, faire de la plongée, du surf ou de la randonnée.

Coups de cœur
Laissez-vous inspirer par les suggestions de nos auteurs pour vivre le meilleur du Panamá, vous enrichir de sa culture, bénéficier de ses initiatives écotouristiques, partir à la rencontre des peuples autochtones ou simplement goûter à la douce joie du farniente.

Conseils
Voyagez en toute liberté grâce aux renseignements utiles et aux cartes précises d’Ulysse.

Panama, Marc Rigole, Guide de voyages Ulysse, 2017, 32,95$.

Le Panama, une destination de choix

De plus en plus populaire, le Panama peut se visiter en formule «tout inclus», sac ou dos, ou pour de longs séjours. Destination de choix pendant à cause de sa météo idéale, le pays est plus facile d’accès que jamais. Notre globe-trotteuse Marie-Julie Gagnon y a passé quelque temps l’année dernière. Elle vous livre ses impressions et ses conseils voyage ici.

Quand je l'ai aperçue, j'ai tout de suite pensé à Lilo du film Lilo et Stitch...
«Quand je l'ai aperçue, j'ai tout de suite pensé à Lilo du film Lilo et Stitch...» - Marie-Julie Gagnon

Le Panama, un des 10 pays où prendre sa retraite au chaud

Avec une température moyenne de 27 degrés et un coût de la vie très bas, le Panama compte des atouts de taille. Un repas dans le meilleur restaurant de la capitale s’élève à environ 40 $US. Les retraités y sont, de plus, traités aux petits oignons. Des réductions de 50% au cinéma, au théâtre et dans les concerts, ainsi que de 20% sur les médicaments, leur sont offertes, souligne Les Affaires.

Découvrez les autres pays où prendre sa retraite au chaud.

Photo: Pablo Garcia Saldana, Unsplash
Photo: Pablo Garcia Saldana, Unsplash