Archives annuelles : 2018

Quel est votre rapport à la nature?

Avec l’année qui s’achève, pourquoi ne pas en profiter pour réfléchir à notre rapport à la nature? Conservation de la nature Canada a récemment publié les résultats d’un sondage éclairant et a organisé, début décembre, une conférence sur le sujet. Compte-rendu.

Il y a souvent plusieurs façons de «lire» un sondage et celui que l’organisme Conservation de la nature Canada a commandé à IPSOS n’échappe pas à la règle. On peut n’en retenir que les aspects négatifs ou, au contraire, se réjouir de ceux qui sont positifs!

Les mauvaises nouvelles?

  • 66% des 2000 répondants canadiens passent moins de temps en nature que dans leur jeunesse.
  • 74% estiment qu’il est plus facile de rester à l’intérieur que de sortir en nature. Le pourcentage grimpe à 80% chez les 18 à 34 ans et à 76% pour les 35 à 54 ans.

Moi-même, j’ai dépassé cet âge et je le pense aussi… Pourtant, cela ne m’empêche pas (comme beaucoup d’autres) d’aller jouer dehors dès que je le peux, même si c’est compliqué d’organiser un week-end de kayak de mer, de tout prévoir pour une sortie de deux jours en skis de fond ou en raquettes, de charger l’auto un vendredi soir et même, tout simplement, de s’habiller adéquatement pour profiter d’une sortie de plein air en hiver! 

Photo: Sander Wehkamp, Unsplash
66% des 2000 répondants canadiens passent moins de temps en nature que dans leur jeunesse. Photo: Sander Wehkamp, Unsplash

Les bonnes nouvelles?

  • 94% des répondants reconnaissent les bienfaits du temps passé en nature sur leur santé physique et mentale.
  • 88% estiment que la nature diminue le stress et améliore la concentration au travail.
  • 87% se disent plus heureux lorsqu’ils se sentent connectés à la nature. Le pourcentage grimpe à 90% chez les plus de 55 ans et à 89% pour les femmes en général.
  • 87% disent mieux dormir quand ils sont allés en nature.
  • 73% jugent que l’accès à la nature a un effet positif sur la créativité.

Les Canadiens sont donc visiblement bien conscients que les activités de plein air (douces ou plus sportives) sont bonnes pour eux, mais ils ont du mal à trouver le temps ou l’énergie pour en profiter suffisamment… Sauf évidemment s’ils ont une vraie passion pour une ou plusieurs de ces activités.

Photo: Matthew Smith, Unsplash
Les répondants au sondage reconnaissent les effets positifs de la nature sur leur bien-être. Photo: Matthew Smith, Unsplash

Profiter de la nature... partout!

La «grande» nature, certains se la réservent pour leurs vacances d’été ou d’hiver, sous la forme d’une semaine de camping en Gaspésie, d’un séjour de ski dans Charlevoix ou dans les Rocheuses, d’un mois dans un chalet au bord d’un lac… ou d’une escapade de week-end de temps en temps. Elle n’est pas si facile à atteindre, sauf pour les «mordus»!

Ce qu’on oublie parfois, c’est que la nature est partout, même en ville. Il y a tant de parcs urbains sous-explorés, au cœur de Montréal, sur les hauteurs de Québec, au bord du fleuve à Trois-Rivières… Si l’aventure est «au coin de la rue», selon une formule consacrée, se rendre à pied au travail, en tout ou partie, durant l’hiver, en est une à la portée de la plupart d’entre nous. Comme toute marche-promenade ou entraînement sportif dans un parc urbain plutôt que dans une salle d’exercices qu’on peut pratiquer à son rythme, en profitant de la belle lumière ou de la belle neige.

J’expérimente la chose deux fois par semaine, toute l’année, avec Cardio Plein Air, comme le font des centaines de personnes à Montréal, avec ou sans entraîneur, dehors par tous les temps.

Photo: Taylor Jacobs, Unsplash
On oublie parfois que la nature est partout... même en ville! Photo: Taylor Jacobs, Unsplash

Rapprocher la nature des gens

Lors de la conférence «Ici, on parle nature», organisée le 3 décembre par Conservation de la nature Canada, quelques pistes ont été évoquées, dont celle de rapprocher la nature des gens.

Delphine Acoca, de la Fondation TD des amis de l’environnement, a défendu l’idée que ce rapprochement nécessitait d’accorder «plus de valeur à la nature», y compris en contexte urbain. Mais encore faut-il la protéger, en commençant par les arbres (qui ont tant de bénéfices à apporter à la vie humaine). C’est ce à quoi s’attèle le Projet canopée de la Ville de Montréal et celui de la Fondation TD qui finance la plantation de milliers d’arbres dans plusieurs forêts de villes canadiennes.

Nathalie Zinger, de Conservation de la nature Canada, a de son côté rappelé que 80% de la population mondiale vivait en zone urbaine. Avec ceux qui restent rivés devant leurs écrans, on peut parler, dit-elle, de réelle «dissociation de l’humain et de la nature», d’un «fossé qui s’agrandit entre elle et nous, alors que cette nature est le fondement même de notre identité».

L’un des conférenciers les plus intéressants, selon moi, fut Éric Fournier, producteur exécutif et associé de Moment Factory. Ce fleuron canadien du divertissement multimédia, né en 2001 à Montréal, a maintenant à son actif quelque 400 productions d’environnements immersifs combinant la vidéo, l’éclairage, le son et les effets spéciaux, partout dans le monde. On lui doit entre autres les parcours nocturnes Foresta Lumina au parc des Gorges de Coaticook, Nova Lumina à Chandler en Gaspésie et Tonga Lumina à Tremblant, dans les Laurentides.

J’ai bien aimé son évocation du rôle de la technologie pour rapprocher les gens de la nature, notamment les jeunes. Grâce aux effets spéciaux et à l’interactivité de certaines installations, «nous avons trouvé, disait-il, un moyen de faire sortir les jeunes et de les reconnecter à la nature». Vu les milliers de spectateurs qui ont assisté à l’une de leurs «représentations» nocturnes, sous forme de parcours en milieu naturel, je crois que bien des adultes y ont aussi trouvé leur compte… Comme quoi l’accès à la nature reste ouvert à toutes sortes d’expériences sensorielles. Et c’est tant mieux pour ceux qui les vivent!

8 films à savourer pendant les Fêtes

Voici huit films, tantôt dramatiques, tantôt légers, qui ont un point en commun: celui de donner à la cuisine le rôle principal.

Il y a de ces films qui, juste à les regarder, on le jurerait, embaument la maison, font saliver, donnent envie de cuisiner ou de manger un festin. Certains marquent plus que d’autres et même des années plus tard, quand on y pense, on revoit encore cette ambiance appétissante qui nous a ensuite donné envie de tester de nouveaux plats ou de courir à la chocolaterie.

Il y a des dizaines d’œuvres qui font une belle place à la nourriture, bien sûr, mais en voici huit qui sortent du lot et desquels se délecter pendant les vacances des Fêtes.

Le festin de Babette

Ce film danois de 1987 ayant remporté l’Oscar du meilleur film en langue étrangère est passé à l’histoire, entre autres à cause des recettes qui lui ont survécu. Dans un petit village du Danemark, Babette, une servante française, concocte pendant 15 ans des plats aux deux sœurs qui l’engagent. Mais c’est le festin final qui a surtout marqué les esprits. Les désormais iconiques blinis au caviar, cailles en sarcophage et babas au rhum présentés dans le film avaient été réalisés par Jan Cocotte-Pedersen, un réputé chef danois. À voir et à revoir.

Les saveurs du palais

Inspiré de la vie de Danièle Mazet-Delpeuch, ancienne cuisinière du président de la République française François Mitterrand, ce film français de 2012 raconte l’arrivée à l’Élysée de la première femme cuisinière, qui devra affronter des obstacles pour faire sa place. Les préparations sont appétissantes et rendent un bel hommage à la cuisine française.

Chocolat

Pour les dents sucrées, le film Chocolat est savoureux. Pendant l’hiver 1959, Vianne Rocher s’installe avec sa fille dans une bourgade française où elle ouvre une confiserie malgré les interdits de l’époque. Toutes les scènes de fabrication des friandises sentent bon le chocolat. Avec Juliette Binoche et Johnny Depp.

Julie et Julia

C’est la fameuse Julia Child, cheffe et animatrice américaine ayant présenté aux États-Unis la cuisine française, qui vole la vedette dans ce sympathique film de 2009. Cinquante ans après l’ascension médiatique de cette pionnière, Julie Powell, une trentenaire admiratrice de cette dernière, se lance un défi: cuisiner en un an les 524 recettes du livre Mastering the Art of French Cooking de Julia Child. Elle raconte ses succès et ses échecs dans un blogue. Un film léger qui permet de découvrir tout le travail de Julia Child. Avec Meryl Streep et Amy Adams.

The Lunchbox

Ce joli film dramatique de 2013 donne carrément envie de s’envoler vers l’Inde pour goûter ses plats parfumés. Une jeune femme au foyer tente de reconquérir son mari en lui confectionnant de savoureux repas livrés au travail. Le premier diner est envoyé par erreur à un comptable solitaire. La jeune femme continuera de lui faire parvenir des repas malgré l’erreur initiale. Grâce à la nourriture, les deux développeront une relation particulière. Le titre fait référence aux milliers de gamelles livrées chaque jour pour les lunchs des travailleurs en Inde. The Lunchbox a été primé dans de nombreux festivals.

Charlie et la chocolaterie

Tiré du livre du même nom, ce film de 2005 rend hommage aux confiseries et au monde imaginaire coloré des enfants. Grâce à un concours, cinq enfants ont la chance de visiter l’immense usine à bonbons de l’étrange Willy Wonka. Bienvenue dans un monde fascinant.

Ratatouille

Produit par les studios américains Pixar, ce film d’animation très bien fait de 2007 met en vedette un rat sympathique et passionné de gastronomie qui s’installe dans les cuisines d’un grand restaurant parisien. En usant de stratégie, il arrivera, avec l’aide d’un cuisinier, à faire regagner au restaurant ses étoiles perdues. Pour les petits autant que les grands.

Table pour trois

Ce film, sorti en 2007, présente une jolie histoire d’amour sur fond de cuisine professionnelle. Une cheffe dans un grand restaurant new-yorkais dévoue sa vie au travail jusqu’à ce qu’un événement dramatique et la présence d’un nouveau chef cuisinier dans son restaurant viennent chambouler l’ordre des choses.

Pour d’autres découvertes gourmandes, consultez la liste de ces 7 documentaires à propos de notre cuisine et celle des 10 livres à dévorer!

5 chalets à louer au Québec pour les amoureux d’architecture

Faire appel à un architecte pour concevoir sa maison n’est pas à la portée de toutes les bourses. Vivre dans un bijou architectural le temps d’une fin de semaine représente toutefois un rêve beaucoup plus abordable, et les propriétés d’exception à louer ne manquent pas. Voici cinq coups de cœur au Québec.

À flanc de falaise (Bolton-Ouest)

Conçu par la firme montréalaise _naturehumaine, ce chalet minimaliste est perché sur un flanc de montagne des Cantons-de-l’Est. Ses fondations en béton sont ancrées dans le cap rocheux, mais la résidence semble flotter au-dessus de la falaise, à 490 mètres d’altitude. Les architectes ont divisé l’espace en deux volumes: l’un contient les chambres à coucher, tandis que le second abrite les aires de vie. Le vestibule fait quant à lui office de pont entre les deux.

Photo: airbnb
Perché sur un flanc de montagne, l'espace de ce chalet est divisé en deux volumes. Photo: airbnb

L’extérieur se pare de bois brulé non traité et de planches de pruches préveillies, qui permettent à l’ensemble de se fondre dans l’environnement. Les lignes nettes, presque dures, de la demeure lui donnent néanmoins du caractère. À l’intérieur, les grandes fenêtres (et leur vue sur la forêt et le mont Glen) volent la vedette. On peut également admirer le paysage, bien installé dans le spa sur la terrasse. Le chalet de 888 pieds carrés comprend deux chambres et peut donc accueillir quatre personnes.

Photo: airbnb
Les grandes fenêtres volent la vedette! Photo: airbnb

Fenêtre sur la nature (Mandeville)

Érigé dans Lanaudière, ce magnifique chalet n’a étonnamment pas été construit par des architectes, mais plutôt par son hôte, Jean-Daniel Petit, avec l’aide de son père et de ses amis. La résidence comprend deux étages qui sont recouverts de bois, l’un, clair, posé à 90 degrés sur l’autre, foncé.

Photo: airbnb
Deux teintes de bois recouvrent l'extérieur de ce chalet. Photo: airbnb

L’intérieur en bois blond avec des détails noirs est chaleureux et invitant, tout en étant résolument moderne. Les pagaies qui décorent le salon sont de leur côté un joli clin d’œil à l’entreprise du propriétaire (le cofondateur d’abitibi & co., qui fabrique des canots et des kayaks à la main). Sa façade vitrée de 55 pieds permet d’admirer le lac et de se sentir en pleine nature. Six personnes peuvent y séjourner à la fois.

Photo: airbnb
L'intérieur de ce chalet est chaleureux et invitant. Photo: airbnb

Entre mer et monts (La Malbaie)

La vue (et l’architecture!) de cette maison est à couper le souffle. Créée par l’architecte Alain Carle, la Villa Cap à l'aigle s’étend de tout son long face au fleuve. Avec son extérieur en bois brulé, le bâtiment serait tout à fait à sa place dans un pays scandinave.

Photo: airbnb
Avec son extérieur en bois brulé, le bâtiment serait tout à fait à sa place dans un pays scandinave. Photo: airbnb

Les fenêtres du sol au plafond dans chaque pièce permettent de garder un œil constant sur le paysage. Les murs en bois blanc s’harmonisent avec justesse avec les planchers en bois clair et les nombreuses touches de noir. La résidence, qui peut accueillir huit voyageurs, comprend quatre chambres, une cuisine, une salle à manger, un salon, deux salles de bain, un sauna sec, de même qu’une salle d’eau.

Photo: airbnb
Les fenêtres du sol au plafond dans chaque pièce permettent de garder un œil constant sur le paysage. Photo: airbnb

Design épuré dans Charlevoix (Petite-Rivière-Saint-François)

S’il faut en croire son carnet de réservations bien rempli, la Villa Boréale n’a plus besoin de présentation. Normal, quand on sait que le chalet signé CARGO Architecture a fait l’objet de plusieurs articles dans les médias depuis sa conception.

Photo: airbnb
Avec sa façade en cèdre, avec balançoire et espace de rangement pour la corde de bois, ce chalet semble avoir été conçu pour Instagram. Photo: airbnb

Sa façade en cèdre, avec balançoire et espace de rangement pour la corde de bois, semble conçue pour Instagram. Construite sous la forme d’une grange classique, et érigée sur un terrain de plus de 45 000 pieds carrés, la maison d’inspiration scandinave ne détonne pas dans la nature. Le design intérieur est épuré et le blanc y est à l’honneur. Les fenêtres ont été soigneusement placées pour offrir les meilleures vues sur le paysage. Le chalet, qui compte quatre chambres et trois salles de bain, peut recevoir 12 personnes.

Photo: airbnb
Le design intérieur est épuré et le blanc y est à l’honneur. Photo: airbnb

Le classique en bois rond (Saint-Donat-de-Montcalm)

Difficile de dresser une liste de chalets sans en inclure au moins un en bois rond. Celui-ci pourrait se retrouver sur une carte postale tant sa conception est classique, mais on retrouve néanmoins toutes les commodités modernes à l’intérieur. Le parement des fenêtres et le toit noirs apportent un joli contraste à l’endroit. Les nombreuses fenêtres rappellent de leur côté qu’on est en plein milieu de la forêt.

Photo: airbnb
Le chalet en bois rond: un classique indémodable! Photo: airbnb

Six personnes peuvent séjourner confortablement dans la résidence de deux étages. Les enfants seront d’ailleurs ravis d’apprendre qu’un mur d’escalade et une cachette se retrouvent dans une des chambres.

Photo: airbnb
À l'intérieur, un décor moderne et épuré. Photo: airbnb

Aux fourneaux! La cuisine d’antan en vedette

Avec le temps des Fêtes qui approche, plusieurs d’entre nous passeront plusieurs heures dans la cuisine. S’il y a bien domaine où les progrès techniques nous a grandement facilité la vie, c’est bien dans la préparation des aliments.

Il suffit de se rappeler qu’il y a à peine un siècle que les cuisinières au gaz se sont répandues et les réfrigérateurs ont fait leur entrée de masse dans les cuisines après la Seconde Guerre mondiale.

De nos jours, peu de gens arriveraient à plumer un poulet comme leur arrière-grand-mères!

1- Deux filles dans une cuisine, vers 1865

Photo: William Notman. © Musée McCord
Photo: William Notman. © Musée McCord

2- Cours de cuisine dans une école primaire à Washington, vers 1899

Photo: Bibliothèque du Congrès
Photo: Bibliothèque du Congrès

3- Rose-Alma Déry et ses deux filles à Buckingham (aujourd’hui Gatineau) debout devant le poêle à bois qui sert non seulement à préparer les repas, mais aussi à chauffer la maison

Photo: Rodolphe Léger. BAnQ
Photo: Rodolphe Léger. BAnQ

4- Jeunes filles dans un cours de cuisine à Washington, vers 1899

Photo: Frances Benjamin. Bibliothèque du Congrès
Photo: Frances Benjamin. Bibliothèque du Congrès

5- Cuisine du Château Ramezay, Montréal, vers 1900

Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord

6- Jeanne Cartier dans la cuisine, Saint-Antoine-sur-Richelieu, 1903

Photo: Joseph-Louis Cartier. Don de la famille Louis-Joseph Cartier à la mémoire de Cécile Richard et Marthe Richard-Blanchard. © Musée McCord
Photo: Joseph-Louis Cartier. Don de la famille Louis-Joseph Cartier à la mémoire de Cécile Richard et Marthe Richard-Blanchard. © Musée McCord

7- Un cours de cuisine au Lady's College en 1906

Photo: Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Bibliothèque et Archives Canada

8- Mme Arthur Beales dans la cuisine de la maison des Beales à Toronto, entre 1903 et 1913

Photo: Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Bibliothèque et Archives Canada

9- Cours de cuisine, Pratt Institute, New York Summary, 1917

Photo: Bibliothèque du Congrès
Photo: Bibliothèque du Congrès

10- La cuisine moderne vers 1910

Photo: J.G. Ewing. Bibliothèque du Congrès
Photo: J.G. Ewing. Bibliothèque du Congrès

11- Institut de la cuisine électrique de Washington (1920-1950)

Photo: Theodor  Horydczak. Bibliothèque du Congrès
Photo: Theodor  Horydczak. Bibliothèque du Congrès

12- Les religieuses préparent le repas pour les étudiants du Séminaire de Rimouski, vers 1930

Photo: Fonds Séminaire de Saint-Germain-de-Rimouski. BAnQ Rimouski
Photo: Fonds Séminaire de Saint-Germain-de-Rimouski. BAnQ Rimouski

13- Cours de cuisine à Montgomery Blair High School, 1935

Photo: Bibliothèque du Congrès
Photo: Bibliothèque du Congrès

14- Deux femmes préparant le souper dans leur première maison, à Saint-Jean-Baptiste, au Manitoba, en 1929

Photo: Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Bibliothèque et Archives Canada

15- Cuisine dans la maison de G. B. Thorn, Montréal, 1934

Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord

16- Cours de cuisine à Montgomery Blair High School, 1935

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17- L’artiste Cyrille Péloquin et sa mère dans une pièce servant à la fois de cuisine et d'atelier, 1939

Photo: Conrad Poirier. BAnQ
Photo: Conrad Poirier. BAnQ

18- Cuisine sur un four au kérosène à Bridgeton, New Jersey, 1942

Photo: John Jr Collier
Photo: John Jr Collier

19- Étudiantes en train de faire des céréales à l’école de cuisine de Woodrow Wilson High School, Washington, 1943

Photo: Esther Bubley
Photo: Esther Bubley

20- Cuisine de la Maison-Mère, vers 1950

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

21- Cuisine typiquement canadienne, vers 1950

Photo: Don de Mme Cynthia Gordon. © Musée McCord
Photo: Don de Mme Cynthia Gordon. © Musée McCord

22- Cuisine moderne chez Origène Gatien, Saint-Dominique, comté Bagot, 1951

Photo: Omer Beaudoin. BAnQ
Photo: Omer Beaudoin. BAnQ

23- Dans la cuisine de Chez Ti-Zim, Rouyn-Noranda

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Les théâtres montréalais en images

En 1825 s'ouvrent les portes du premier théâtre montréalais. Parcours, en images, de ces institutions culturelles bien-aimées.

Le Théâtre Royal, premier théâtre permanent à Montréal, a ouvert ses portes en 1825. Le célèbre romancier Charles Dickens y a même foulé les planches avant qu’il ne soit démoli, une vingtaine d’années plus tard, puis reconstruit à deux reprises à différents lieux de la ville.

Plusieurs autres salles de théâtre pousseront à Montréal à partir de la fin du XIXe siècle, dont la majeure partie sont aujourd'hui disparus.

Pour voir des images des théâtres montréalais de 1825 à 1930 sur une carte, ne manquez pas le parcours la collection de la BAnQ sur History Pin.

1- Théâtre Royal, rue Côté, 1884

Photo: BAnQ
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2- Acteurs du club Garrick, 1898

Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord

3- M. Hickey, artiste de théâtre "blackface", 1896

Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord

4- Étudiants de McGill interprétant une scène d'une pièce de théâtre en latin, vers 1901

Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. © Musée McCord
Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. © Musée McCord

5- Théâtre Imperial, Nicklodeon, rue Bleury, 1913

Photo: Don de M. Deakin. © Musée McCord
Photo: Don de M. Deakin. © Musée McCord

6- Théâtre National, vers 1900

Photo: BAnQ
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7- His Majesty's Theatre, rue Guy, vers 1910

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Photo: Don de Mr. Stanley G. Triggs. © Musée McCord

8- Troupe de théâtre amateur, Royal Victoria College, 1909

Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. © Musée McCord

9- Théâtre Scala, rue Saint-Laurent, 1915 (?)

© Musée McCord
Photo: © Musée McCord

10- Théâtre Colonial, rue Sainte-Catherine Ouest, 1915 (?)

© Musée McCord
Photo: © Musée McCord

11- Théâtre familial, rue Notre-Dame, 1915 (?)

© Musée McCord
Photo: © Musée McCord

12- Théâtre Strand, angle des rues Mansfield et Sainte-Catherine Ouest, 1915 (?)

© Musée McCord
Photo: © Musée McCord

13- Théâtre Bennett, vers 1907

Photo: BAnQ
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14- Ancien Théâtre Bijou, vers 1908

Photo: BAnQ
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15- Casino Theatre, vers 1910

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16- Théâtre Princess, vers 1909

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17- Théâtre Français, vers 1908-1910

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18- Académie, Théâtre de la comédie française, vers 1909

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19- Les élèves du Séminaire de Rimouski présentent la pièce Barbotin et Piquoiseau, d’Antony Mars, vers 1906

Photo: BAnQ
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20- Théâtre Capitol, rue Sainte-Catherine, vers 1925

Photo: © Musée McCord
Photo: © Musée McCord

21- Rideau du théâtre Canadien-Français, 1920

Photo: Henri Richard. Don de M. Albert Richard. © Musée McCord
Photo: Henri Richard. Don de M. Albert Richard. © Musée McCord

22- L’actrice Molly Picon dans son personnage de Petit clown, 1925

Photo: BAnQ
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23- Sortie des spectateurs un soir de première au Théâtre Arcade, 1940

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24- Deux comiques, vers 1930

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