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Le Montréal de Claude Deschênes

Le Montréal de Claude Deschênes, voilà le thème de ce Rendez-vous Avenues.ca auquel vous convient Réseau FADOQ- Région Île de Montréal et Avenues.ca, le 8 novembre 2022 à 19h à la Casa d'Italia.

Depuis plus de 30 ans, le journaliste culturel Claude Deschênes promène un regard amoureux et avisé sur Montréal. Au fil de ses nombreuses promenades, dans tous les quartiers, il a photographié, débusqué, commenté et apprécié la ville sous toutes ses coutures. Une ville qu'il aime profondément. Il est d'ailleurs l'auteur du livre Tous pour un quartier des spectacles, pour lequel il a documenté et raconté avec brio ce qui est désormais le cœur de la ville avec ses institutions et sa petite histoire. Chaque semaine vous pouvez lire ses chroniques Culture sur Avenues.ca.

Ne ratez pas cette soirée unique.
8 novembre à 19h (accueil dès 18h30)

Le Rendez-vous débutera par une entrevue sur scène au cours de laquelle notre conférencier racontera sa passion et son parcours à la journaliste Marie-Julie Gagnon, que vous pouvez également suivre sur Avenues.ca. Puis, Claude Deschênes présentera sa conférence photos et vous fera voir Montréal à travers son regard et sa sensibilité.

Tous les participants recevront en cadeau la version électronique du très beau livre   52 villes de week-end en Amérique du Nord d'une valeur de 29,99$, 
une gracieuseté
de Guides de voyage Ulysse qui offre de nombreux titres notamment dans cette magnifique collection.

Également au menu de cette soirée: des tirages et, bien sûr, notre habituel cocktail autour d'un bon de verre de vin en compagnie de Marie-Julie Gagnon et de Claude Deschênes.

Prix 25$ +taxes (incluant une consommation)

Aucun billet à la porte. Places limitées, faites vite!
Achetez vos billets ci-dessous 

La soirée se tiendra à la Casa d'Italia
505 Rue Jean-Talon E, Montréal
Métro Jean-Talon (sortie rue Berri) parcomètres sur les rues

Claude Deschênes collabore à Avenues.ca depuis 2016. Journaliste depuis 1976, il a fait la majeure partie de sa carrière (1980-2013) à l’emploi de la Société Radio-Canada, où il a couvert la scène culturelle pour le Téléjournal et le Réseau de l’information (RDI). De 2014 à 2020, il a été le correspondant de l’émission Télématin de la chaîne de télévision publique française France 2. Son livre Tous pour un Quartier des spectacles a été publié en 2018 aux Éditions La Presse.

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Et si on marchait autour de Montréal?

Montréal n’est pas seulement une ville où l’urbanité est reine. Elle est aussi une île verdoyante, surtout en ces temps printaniers où il fait bon s’y balader à pied ou à vélo. Voici des idées pour profiter de cette grande verdure, avec vue sur l’eau.

L’île fluviale de Montréal couvre près de 483 km2 et compte 12 grands parcs, dont plusieurs parcs-nature en périphérie, avec presque toujours vue sur l’eau. Reine de l’archipel d’Hochelaga (324 îles de plus), elle offre de magnifiques parcours sur berges le long du fleuve Saint-Laurent, du canal de Lachine, de la rivière des Prairies ou encore du lac des Deux-Montagnes. 

Entre deux balades, je vous invite à lire un récit de voyage qui vous entraînera aux quatre coins de l’île de Montréal en explorant le présent autant que le passé de ses rives. 

Parc Pine Beach, Dorval. Photo: Andrew Gazula, Unsplash

Randonnée littéraire 

«Je mesure cent-soixante kilomètres de pas et pèse mes cinq jours de marche», écrit Rodolphe Lasnes au terme d’un périple original entrepris en 2019.

«Me prouver que j’habite une île»: c’est le défi que cet auteur et journaliste québécois (dont j’avais déjà aimé Pinsonia) a voulu relever, à pied, en faisant réellement le tour de Montréal, au plus près de l’eau, lorsque c’était possible.

Le titre de son nouveau livre, paru chez Leméac ce printemps, donne cette certitude qu’il a bien réussi son coup. J’habite une île est un récit «géopoétique» enlevant qui raconte au jour le jour, pas après pas, les étapes de la longue randonnée urbaine de l’auteur, mais aussi les multiples histoires, de lieux et de gens, qui donnent son âme à ce Montréal des lisières d’eau.

Habitué de mêler roman et histoire, Rodolphe Lasnes nous livre un pur récit de voyage, mais agrémenté avec bonheur de références historiques sur des dizaines de lieux qu’il foule de ses pas, à la suite d’illustres personnages du passé.

Ce globe-trotter impénitent avait quasiment anticipé la pandémie qui nous a cloués sur place, ne nous donnant le droit, bien souvent, qu’à des déplacements de proximité. Occasion rêvée cependant de prouver que l’aventure commence bien souvent au coin de la rue... Et pourquoi pas à pied autour de sa ville-île?

Le voilà donc parti un beau matin, presque comme un vagabond (sans gros sac à dos et sans savoir où il dormira le soir), pour un périple devant le mener de la tour de l’Horloge à la tour de l’Horloge. Il découvre pas à pas cette île où l’on habite sans plus savoir vraiment qu’elle est une île, sauf à passer ses ponts ou prendre le temps d’une escapade de week-end au bord de l’eau.

Lui traque les chemins de berges, sautant des barrières à l’occasion pour s’en approcher. Il avale les kilomètres comme il avale les plats de spaghettis sauce à la viande quand un resto se pointe à l’horizon. Il dort plusieurs soirs à la dure, sur des bancs de parc, et se baigne une fois «en bobettes» pour se rafraichir. Au kilomètre 148,8, le voilà plongeant dans le Saint-Laurent, à Verdun: «Je lévite dans la plénitude, parfaitement heureux d’être ici et maintenant convaincu d’avoir trouvé mon île.»

On l’accompagne ainsi dans ses découvertes de recoins cachés, tandis qu’il partage avec nous les mots de quelques-uns de ses écrivains, historiens et cinéastes préférés. En tête de liste, Kenneth White, père de la géopoétique, et Pierre Perrault, dont le livre J’habite une ville a inspiré son propre titre.

Rodolphe Lasnes nous livre aussi de belles réflexions, comme celle-ci: «Il faut aborder les rivages pour que les paysages se transforment en histoires. Et il me faut marcher sur ces rivages pour mieux ressentir l’insularité de l’Isle.»

Presque au bout de son tour de l’île, face aux lettres rouges de l’enseigne Farine Five Roses et à la ville «hautaine, grouillante», il dira: «Il me semble que je rentre d’un long et lointain voyage.» Nous aussi, lorsqu’on referme son livre.

«J’habite une île» est un récit «géopoétique» qui raconte au jour le jour, pas après pas, les étapes de la longue randonnée urbaine de l'auteur.

 NANA reprend du service

Heureuse initiative: en partenariat avec la Ville de Montréal, NANA, pour Navette Nature, reprend ses activités – interrompues depuis 2020 – pour vous conduire gratuitement vers trois parcs-nature de l’île (Cap-Saint-Jacques, Bois-de-Liesse et Pointe-aux-Prairies) dès le 11 juin. Il faut cependant réserver rapidement votre place!

Le parc-nature du Cap-Saint-Jacques est le plus grand de l’île, avec une ferme écologique, une plage, 7 km de sentiers pédestres et 6,5 km de pistes de vélo. Parmi les activités organisées sur place, mentionnons une «caravane de la pêche» (initiation à la pêche) le 9 juillet, un kiosque d’information sur les fleurs comestibles le 16 juillet et une randonnée guidée «à la découverte de la nature» avec un éducateur-naturaliste de l’organisme GUEPE le 27 août.

Au parc-nature du Bois-de-Liesse, on se promène entre de magnifiques arbres centenaires et rares, tels que l’érable noir. Le 12 juin a lieu une activité de yoga en extérieur, suivie d’une initiation à la pêche. Le 7 août, une animation avec des oiseaux de proie fera le bonheur des ornithologues amateurs.

Au parc-nature du Bois-de-Liesse, on se promène entre de magnifiques arbres centenaires et rares, tels que l’érable noir. Photo: Jean Gagnon, Wikimedia

Au parc-nature de Pointe-aux-Prairies, à l’extrême est de l’île, on peut marcher sur 8,4 km de sentiers ou faire le tour du parc à vélo. Le parc est réputé pour l’observation d’oiseaux. Ici aussi, place au yoga en extérieur le 18 juin prochain, séance suivie d’une activité Entre chien et loup, pour apprendre à distinguer coyotes, renards, chiens et loups (y compris par leurs empreintes de pattes) et sensibiliser les propriétaires de chiens au respect de la nature.

En collaboration avec la Sépaq, d’autres routes de Navette Nature seront ouvertes progressivement à partir du 24 juin en direction de quatre parcs nationaux du Québec au départ de Montréal, soit ceux de Mont-Tremblant, d’Oka, de la Mauricie et de la Yamaska. Les prix du transport aller-retour, incluant l’entrée dans le parc, varient de 43$ à 60$ pour les adultes (réductions pour les enfants, les étudiants et les plus de 60 ans).

Les réservations sont déjà ouvertes pour les transports vers le parc du Mont-Tremblant (tous les samedis et quelques vendredis jusqu’au 22 octobre), le parc de la Yamaska (les 9 et 17 juillet, le 27 août) et le parc de la Mauricie (1er, 10, 23 et 31 juillet, 14 et 21 août, 4, 11 et 25 septembre, 9 octobre). On nous promet aussi pour cet été une destination Navette Nature dans les Cantons-de-l’Est, et peut-être d’autres depuis la ville de Québec.

Photo: Facebook Parc national de la Yamaska

Prescription de nature

Le Cœur des sciences, à l’UQAM, organise sur sa chaîne YouTube le 25 mai, à midi, une conférence gratuite de Claudel Pétrin-Desrosiers, médecin de famille et spécialiste de santé environnementale.

À la place de quelques pilules, les médecins québécois seront bientôt autorisés par le gouvernement du Québec (comme l’a fait celui de la Colombie-Britannique) à prescrire une marche en forêt, un pique-nique au bord d’un lac ou du Saint-Laurent.

«De nombreuses études démontrent les bienfaits de la nature sur le bien-être psychologique et la santé physique: réduction de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et du niveau de cortisol, le fameux indicateur de stress», précise l’invitation du Cœur des sciences. On devrait notamment y apprendre quelle serait la dose requise pour un effet optimal pour notre bien-être physique et psychologique.

De nombreuses études démontrent les bienfaits de la nature sur le bien-être psychologique et la santé physique. Parc national de la Mauricie. Photo: Thomas Lardeau, Unsplash

Le Mois du vélo 

Il est encore temps de s’inscrire au Mois du vélo (mai 2022), organisé par Vélo Québec. Il n’y a pas de petit objectif «vélo», seulement un minimum requis de pédalage de 10 minutes par jour d’ici la fin du mois… même si on peut bien sûr continuer après et faire plus tout de suite.

Plus de 5 000 cyclistes sont inscrits au Défi 2022, avec 25 881 déplacements enregistrés au 17 mai, pour 563 032 km parcourus depuis le début du mois et 18,7 tonnes de CO2 «économisées» collectivement. Il y a des prix à gagner.

Bon à savoir 

Le retour des Via Ferrata

Amoureux de sensations un peu fortes, des hauteurs et de la rando-escalade assistée, sachez que la Route des Via Ferrata du Québec (qui en compte 12 actuellement) annonce ses dates d’ouverture progressive.

Celles du Tyroparc (Laurentides), des Palissades de Charlevoix et du Manoir Richelieu sont d’ores et déjà accessibles. Arbraska Rawdon (Lanaudière), la Via Batiscan (Mauricie) et le Parc Aventures Cap-Jaseux (Saguenay–Lac-Saint-Jean) ouvrent les leurs le 21 mai.

Celles du parc du Mont-Tremblant (Laurentides) et de la Vallée Bras-du-Nord (Québec) débutent leurs réservations de via ferrata pour le 4 juin, tout comme celles de la Chute-Montmorency (Québec), du parc national du Fjord-du-Saguenay (Saguenay–Lac-Saint-Jean).

Le parc national des Grands-Jardins (Charlevoix) met sa propre via ferrata en service le 11 juin, tandis que celle du parc du Trou de la Fée (Saguenay–Lac-Saint-Jean) ouvre le 24 juin.

Dans cet article, Via Ferrata Québec explique bien tout ce qu’il faut savoir pour se préparer à l’activité.

Photo: Facebook Via Ferrata Québec

Oiseaux en vedette dans six parcs nationaux du Québec

La Sépaq organise le 11 juin un grand rendez-vous ornithologique en collaboration avec l’organisme Québec Oiseaux et plusieurs clubs d’ornithologie dans six de ses parcs: Mont-Orford, Yamaska, Îles-de-Boucherville, Mont-Saint-Bruno, Plaisance et Oka.

Animé par des spécialistes, l’événement participatif vise à faire l’inventaire ce jour-là, dans l’application eBird, des observations de faune ailée dans les parcs participants.

Un autre «bioblitz» de même type est prévu au parc national de la Jacques-Cartier le 13 août.

Un couple de grues du Canada au Parc national de Plaisance. Photo: JM Vallières, Sépaq.

Il y a 100 ans, un incendie détruisait l’Hôtel de ville de Montréal

Voici quelques images avant, pendant et après le terrible incendie de l'hôtel de ville de Montréal, le 3 mars 1922.

Inauguré en 1878, l’hôtel de ville de Montréal, situé sur la rue Notre-Dame, est un joyau d’architecture. Au cours de la soirée du 3 mars 1922, un incendie majeur détruit une grande partie du bâtiment, malgré les efforts désespérés des pompiers munis de pompes à vapeur. Le maire Médéric Martin ordonne l’évacuation des archives et se risque même à l’intérieur pour récupérer le collier d'office et des papiers personnels.

Les dommages sont si importants que seuls les murs extérieurs sont conservés lors de la reconstruction. On profite de l’occasion pour ajouter un étage et modifier les toits. Le bâtiment sera aussi agrandi à l’arrière quelques années plus tard.

1-Hôtel de ville de Montréal, 1910

BAnQ

2-Hôtel de ville et place Jacques Cartier, 1905

BAnQ

3-Hôtel de ville et le palais de justice, entre 1903 et 1920

BAnQ

4- Hôtel de ville, vers 1908

BAnQ

5- Hôtel de ville, entre 1904 et 1908

Photo: Neurdein frères photographe. BAnQ

6- Hôtel de ville, entre 1905 et 1922

BAnQ

7- Pompiers à l'œuvre pendant l’incendie de l'hôtel de ville de Montréal, nuit du 3 au 4 mars 1922

Wikimédia

8- Incendie de l'hôtel de ville de Montréal, 1922

Wikimédia

9- Incendie de l'hôtel de ville de Montréal dans la nuit du 3 au 4 mars 1922

BAnQ

10- Incendie à l'hôtel de ville de Montréal, 1922

BAnQ

11- Incendie à l'hôtel de ville de Montréal, 1922

BAnQ

12- Incendie à l'hôtel de ville de Montréal, 1922

BAnQ

13- Vue arrière de l’édifice, le 5 mars 1922

BAnQ

14- Opérations de nettoyage et de reconstruction de l'hôtel de ville après l’incendie

Archives de la ville de Montréal

15- Travaux de reconstruction après l'incendie de 1922

BAnQ

16- Travaux de reconstruction après l'incendie de 1922

BAnQ

17- L’hôtel de ville, vers 1926

BAnQ

18- Bureau de l'architecte municipal dans l'hôtel de ville reconstruit. L’architecte de la ville, M. JLD Lafrenière est entouré de ses collaborateurs.

BAnQ

19- L’hôtel de ville dans les années 1930

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20- Vue aérienne des Rues Notre-Dame et Jacques-Cartier, vers 1927

BAnQ

21- Travaux agrandissement de l’hôtel de ville en 1933

« La nouvelle construction commencée le printemps dernier aura alors coûté si les estimés sont justes, une somme de 37 000$ ». Source: La Presse/BAnQ

22- Déménagement du coffre-fort de la ville pour une nouvelle voûte, 1934

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23- Hôtel de ville en 1937

Photo: Conrad Poirier, BAnQ

24- Le 1er juin 1990, un nouvel incendie s’est déclaré dans une tour de l'hôtel de ville pendant des travaux de rénovation. L'intervention a mobilisé plus de 80 pompiers qui sont parvenus à maîtriser le feu avant qu'il ne cause trop de dégâts. Source : La Presse, 2 juin 1990

Photo: Pierre McCann, BAnQ

25- Incendie à l’hôtel de ville, 1er juin 1990

Photo: Pierre McCann, BAnQ

Cartes postales anciennes de Montréal en hiver

Les premières cartes postales ont fait leur apparition dans la deuxième moitié du XIXe siècle en Autriche et sont devenues très populaires dès le début du XXe siècle au Canada. Voici une sélection de clichés de Montréal en hiver durant la première moitié du XXe siècle alors que la métropole connaissait une croissance rapide.

1- Amusement d'hiver

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2- Rue Sherbrooke en hiver

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3- Jour de tempête au coin du magasin Morgan, début XXe siècle

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4- Traîneau d’hiver, entre 1903 et 1906

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5- Marché Bonsecours, début XXe siècle

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6- Balade à cheval en hiver

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7- Terrasse d'Observatoire du Mont Royal, 1908

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8- Palais de glace, entre 1903 et 1907

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9- Club de raquetteurs, entre 1903 et 1914

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10- Rue Dorchester (Boul. René-Lévesque), vers 1908

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11- Palais des glaces, entre 1906 et 1913

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12- La croix du mont Royal en hiver, entre 1924 et 1960

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13- Raquetteurs au parc du Mont-Royal, début du XXe siècle

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14- Les pompiers lors d'un incendie en hiver, début XXe siècle

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15- Rue Université en hiver, vers 1905

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16- Rue Sherbrooke, Montréal, vers 1905

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17- Palais de glace, 1909

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18- Chalet au sommet du Mont Royal, années 1940

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19- Sur le Mont Royal, entre 1903 et 1909

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20- Entrée de l'oratoire St. Joseph

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21- Sports d’hiver, années 1930

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22- Hiver sur la rue Sherbrooke, 1908

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23- Gare Windsor, 1908

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24- Place d'Armes, entre 1904 et 1910

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À voir aussi :

Cartes postales anciennes de la Belle Province en hiver

Joies de l’hiver en cartes postales

Nostalgie du magasin Dupuis Frères

Pendant 110 ans, de 1868 à 1978, le grand magasin Dupuis Frères a été un incontournable du magasinage sur la rue Sainte-Catherine.

Avec des slogans tels que «Le magasin du peuple» (années 20) ou encore «Le grand magasin canadien à l'accent français», Dupuis Frères affichait fièrement son statut de magasin canadien-français face aux magasins plus anglophones qui régnaient à l’ouest de la rue Saint-Laurent.

Après s’être péniblement relevé d’une importante grève en 1952, le grand magasin fermera définitivement ses portes en raison de problèmes financiers à la fin des années 1970.

1- Magasin Dupuis Frères, 1877

Photo: BAnQ

2- Carte postale, rue Sainte-Catherine, 1910

Photo: BAnQ

3- Dupuis Frères, 1913

Photo: BAnQ

4- Rayon des prélarts, tapis et fournitures, entre 1912 et 1915

Photo: BAnQ

5- Rayon des manteaux et costumes, entre 1911 et 1920

Photo: BAnQ

6- Foule rassemblée pour profiter des rabais du 53e anniversaire, 1921

Photo: BAnQ

7- Foule rassemblée pour profiter des rabais du 53e anniversaire, 1921

Photo: BAnQ

8- Foule rassemblée pour profiter des rabais du 53e anniversaire, 1921

Photo: Archives de la Ville de Montréal

9- Laveuse électrique "Connor", 69e vente anniversaire du magasin Dupuis Frères, 1936

Photo: BAnQ

10- Rayon des cadeaux chez Dupuis Frères, entre 1940 et 1949

Photo: BAnQ

11- Noël chez Dupuis Frères, 1940

Photo: BAnQ

12- Noël chez Dupuis Frères, 1946

Photo: BAnQ

13- Les gants "Clipper" chez Dupuis Frères, entre 1940 et 1946

Photo: BAnQ

14- Rayon de la chaussure pour dames et enfants, entre 1938 et 1948

Photo: BAnQ

15- Le coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Christophe, Montréal, 1950

Photo: Armour Landry, BAnQ

16- Georgianna Falardeau-Houde, épouse de Camillien Houde, dans un bureau de Dupuis Frères, mars 1949

Photo: Archives de la Ville de Montréal

17- Grève chez Dupuis Frères, 1952

Photo: Bibliothèque et Archives Canada