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Vélo de montagne: immersion en nature au Massif de Charlevoix

Au Massif de Charlevoix, la forêt est omniprésente sur les pistes de vélo de montagne, mais avec de superbes échappées visuelles sur le fleuve Saint-Laurent imposant des arrêts obligatoires.

En ce début d’automne, le vélo de montagne est plus que jamais à la mode, le temps étant plus frais pour pédaler et les couleurs au rendez-vous. Les jours sont néanmoins comptés avant la fermeture des grands centres de pratique comme le Massif de Charlevoix, dont les pistes ferment le 10 octobre pour préparer celles de ski alpin en prévision de la saison hivernale.

La station n’en est qu’à sa deuxième saison estivale d’exploitation, avec 35 kilomètres de parcours de vélo de montagne, mais à voir l’affluence les jours de week-ends, on peut dire qu’elle a déjà bien pris sa place parmi les centres de vélo de montagne des régions de Québec et Charlevoix. Il faut dire que le Massif a un pouvoir d’attraction unique avec ses vues incomparables sur le Saint-Laurent et une pente abrupte offrant un dénivelé de 710 mètres.

Le Massif de Charlevoix a un pouvoir d’attraction unique avec ses vues incomparables sur le Saint-Laurent et une pente abrupte offrant un dénivelé de 710 mètres. Photo: Andy Vathis

Centre de progression

La station s’est positionnée comme un «centre de progression de vélo de montagne» faisant la part belle aux familles avec un ensemble de pistes pour débutants, intermédiaires et experts. Une zone d’habiletés est tout juste ouverte au sommet de la montagne, pour s’exercer aux virages et sauts en terrain découvert avant de se lancer dans le bois. Sauf exception, la descente est reine au Massif, mais souvent en version grands virages et traverses à flanc de montagne.

Six pistes sont classées pour débutants. Du chalet du sommet, la plus facile est la boucle Cerise sur le sundae, qui file sur un cap, au pied du belvédère Le Buton. On lâche ici le vélo pour grimper à pied et profiter de la vue à 360 degrés sur le fleuve et les montagnes.

Vue du belvédère Le Buton. Photo: Anne Pélouas

Au sommet du Massif commence aussi la piste Bus Jaune (intermédiaire), qui file plutôt vers l’est, en passant par le refuge Liguori, maintes fois photographié pour le panorama qu’il offre sur le fleuve et l’île aux Coudres.

À l’est de la télécabine, la Easy Ride offre 2,4 kilomètres de descente et donne accès ensuite à plusieurs autres pistes classées faciles ou intermédiaires pour terminer la descente jusqu’au pied de la télécabine, avec 7 ou 8 kilomètres de pur plaisir et adrénaline. Là encore, les passages en forêt alternent avec traverses à flanc de montagne et quelques coupures de pistes de ski alpin, en plus de superbes points de vue sur le fleuve, occasions de se reposer un peu muscles et esprit concentré. Le long parcours comporte en effet son lot d’obstacles (roches, virages, petits sauts) qu’il faut négocier avec un peu de technique et beaucoup de concentration.

À l’arrivée, on prend son temps dans la file de la télécabine, qui ne prend que deux personnes et deux vélos à la fois, pour remonter au sommet. La dernière remontée part de la base à 16h30. Cette balade panoramique en télécabine est réellement votre récompense visuelle (au-dessus de la canopée et avec le fleuve voisin) pour l’effort fourni en vélo de montagne, même si on peut très bien se procurer un billet de télécabine sans faire de vélo.

La station s’est positionnée comme un «centre de progression de vélo de montagne» faisant la part belle aux familles avec un ensemble de pistes pour débutants, intermédiaires et experts. Photo: Jean-Sébastien Chartier

Pour les experts aussi

Le Massif offre également de belles pistes de niveau intermédiaire pour le vélo de montagne, comme Ping Pong (au sommet), Funk Funghi, Roulé suisse ou la longue Histoire sans fin.

Pour les experts, le choix s’agrandit aussi, avec six pistes, dont deux pistes ouvertes en juin. La Cigale et La Fourmi descendent successivement la montagne, côté est, en 3,5 kilomètres passablement techniques, avec fortes pentes et obstacles de choix pour les mordus. La Fourmi commence toutefois par une montée ardue de 250 mètres.

Si votre agenda ne vous permet pas de filer au Massif d’ici le 10 octobre pour découvrir ses pistes de vélo de montagne, notez-les en priorité pour le printemps prochain!

La forêt est omniprésente sur les pistes de vélo de montagne. Photo: Gabriel Gakwaya

Bon à savoir

  • Mieux vaut réserver son billet journalier de vélo de montagne (49$, incluant la remontée en télécabine), surtout pour les week-ends.
  • Des vélos de montagne Rocky Mountain et de l’équipement de protection sont disponibles au centre de location du Massif.
  • Des leçons de vélo de montagne, privées ou en groupe, sont offertes par Bikeskills sur réservation. La dernière en groupe est le 24 septembre.
  • 8 au 10 octobre: Ce sera la fête au Massif pour le week-end de l’Action de grâce et la fin de la saison, avec barbecue, animations, concerts… On pourra même se faire prendre en photo en pleine action entre 10h30 et 13h30 sur la piste Histoire sans fin!
  • Le Massif est sillonné par un réseau de 28 kilomètres de sentiers pédestres qui sont au sommet de leur beauté en automne. S’y ajoutent tous ceux du Sentier des Caps de Charlevoix qui courent sur la même montagne!
  • Vélo Québec a mis en ligne sur son site une série de cinq capsules sur les bonnes pratiques en sentiers de vélo de montagne.

Camping, vélo et kayak au pied du mont Orford

Juin est un temps merveilleux pour le plein air. Récit d’une expérience de prêt-à-camper au parc national du Mont-Orford, assortie d’une sortie en vélo de montagne et d’une autre en kayak de mer.

Juin fait souvent fuir même les irréductibles du camping qui craignent les maringouins comme la peste. Pourtant, j’ai toujours eu des expériences mémorables en plein air au mois de juin, des Laurentides à la Côte-Nord, en passant par Lanaudière, et tout récemment dans les Cantons-de-l’Est. Le temps est doux, voire chaud. C’est aussi le temps des premières baignades rafraichissantes en lac ou en rivière, des premières sorties en vélo, en canot ou en kayak. Je m’arme de protecteur à la citronnelle, d’une casquette et de vêtements légers mais longs, surtout pour l’heure du «5 à 7» des moustiques!

Me voilà donc partie au parc national du Mont-Orford, que je n’ai pas visité depuis bien longtemps en été. Un rapide coup d’œil au site web de la SÉPAQ – premier de mes conseils – indiquait des offres de dernière minute en prêt-à-camper au lac Stukely. On plie bagage et on réserve!

Photo: Facebook Parc national du Mont-Orford

En vélo de montagne

Ponctué par les massifs du mont Orford (qui a échappé à l’aménagement de son versant nord en pistes de ski alpin) au sud et du mont Chauve au nord, le parc abrite une succession de vallées, de lacs et d’étangs magiques pour l’amateur d’activités nautiques. Passé le golf, on atteint rapidement le Centre de découverte et de services Le Cerisier, près d’un vaste étang du même nom. Après un bon pique-nique au bord de l’eau, j’enfourche mon vélo de montagne pour une balade dans les bois.

Le parc du Mont-Orford a pris la tangente vélo de montagne en 2019, avec un projet-pilote de 12 km de sentiers singletrack, mais qui s’est vite retrouvé projet tout court. Ce printemps, des sentiers de ski de fond ont été ouverts à la pratique du vélo de montagne (et fatbikes) et deux sentiers plus difficiles et plus techniques (La Sanguinaire et La Chaga) complètent l’offre. On dispose donc désormais d’un réseau conséquent, avec 13 sentiers de 25 km au total, répartis en deux grands secteurs, accessibles en voiture ou via des pistes cyclables existantes. Et il y en a pour tous les goûts, avec des degrés de difficulté allant de facile à difficile, et des distances variant de 0,4 à 4,2 km chacun.

Nous nous sommes concentrées sur le secteur le plus proche du Centre de découvertes. La piste L’Amiral court gentiment sur 3 km en forêt mixte, nous procurant une ombre végétale bien appréciée par temps chaud. La forêt est une vraie volière et même si l’on voit rarement les oiseaux, on les entend beaucoup.

S’ensuivit le sentier de la Vice-Roi (1,9 km, facile), puis le court Monarque, pour faire monter un peu les palpitations cardiaques, avant de les faire redescendre sur L’Asclépiade, piste en petites montagnes russes faciles.

Pour opérer une boucle sans revenir sur ses pas (ou plutôt ses roues), La Médéole est une bonne option (niveau intermédiaire), mais on peut toujours emprunter les pistes de ski de fond aux allures de chemins forestiers un brin cahoteux, mais sans grande difficulté et toujours sous un beau couvert forestier. 

Glamping au parc national

C’est presque l’heure de l’apéro! On utilise la toute nouvelle station de lavage de vélos avant de les remettre sur le rack de l’auto. Direction: le camping du lac Stukely. À voir le nombre d’emplacements en diverses boucles, j’ai quelques frayeurs, mais le camping n’est qu’à moitié plein, et les sites, bien isolés les uns des autres. Nous avons rendez-vous avec notre prêt-à-camper dans la boucle du Mélèze. Il est assez loin du lac, mais quand on réserve en dernière minute, il faut s’y attendre.

Les prêt-à-camper Étoile de la SÉPAQ, dont je fais pour la première fois l’expérience, sont vraiment bien faits, à l’extérieur comme à l’intérieur. À six par temps de pluie, je ne suis pas sûre que j’adorerais, mais à deux, c’est très spacieux. Sur la terrasse abritée d’un auvent, la zone cuisine est parfaite, avec poêle à deux ronds, et l’équipement intérieur au top niveau: des lits confortables, des rideaux autour des lits et aux fenêtres bien garnies de moustiquaires, de l’électricité, un frigo (qui ne fait pas de bruit), une table avec six chaises, la vaisselle et tout ce qu’il faut pour cuisiner sans souci.

On prend l’apéro dans des chaises de style Adirondack et le souper, à la table à pique-nique, avant de filer à la plage admirer le coucher du soleil. Il est temps: il se couche déjà derrière une colline, à l’ouest du lac. Et nous, nous ne ferons pas de vieux os! À 22 h, ce sera l’extinction des feux dans le prêt-à-camper, signe que la journée de plein air a été bonne.

Photo: Anne Pélouas

Kayak de lac

Au matin, il pleut. C’était prévu, mais on espérait bien que les météorologues se soient trompés. Nenni. On en profite pour prendre son temps dans le confort du prêt-à-camper. Après le petit déjeuner et le deuxième café, voilà qu’on n’entend plus la pluie tambouriner sur la toile. L’application météo indique toujours 80% de pluie sur Orford… Nos regards se croisent par-dessus la table. «On y va?»

Il est 9h30. Le prêt-à-camper est à libérer à midi. Nous laissons tout en l’état pour filer en auto à la plage du lac Stukely, débarquer les kayaks et sortir sur l’eau. Pas un chat sur la plage comme sur le lac, hormis quelques canards. Le temps est nuageux et le vent, léger. La petite île face à la plage dépassée, nous longeons le lac par la gauche. Le centre de services Le Bonnallie a fière allure vu du lac, avec en avant-plan sa kyrielle de planches à pagaie, canots, kayaks et pédalos au repos.

Dans le couvert forestier, on distingue à peine les chalets EXP, les prêts-à-camper et les chalets Nature. La verdure reprend ses droits et les quenouilles de bord de lac aussi. Le ciel gris souris semble lui aussi au repos. Nous virons plein nord au sortir de la baie pour traverser le lac, contourner une grosse île avec l’ambition de rejoindre la baie au fond de laquelle se trouve la base de plein air Jouvence, mais une pluie fine vient de nous rattraper et le temps file. Demi-tour vers le sud, puis vers l’est. L’ondée est passée. Elle a à peine mouillé nos chemises quand nous touchons la plage, à temps pour remonter les kayaks sur le toit de l’auto, puis rejoindre la boucle Le Mélèze, ramasser nos petites affaires et laisser le prêt-à-camper en ordre pour le prochain. La pluie tombe de nouveau quand nous reprenons la route de Montréal.

Morale de l’histoire: en plein air, il faut être prêt à tout et faire preuve de souplesse pour saisir les occasions qui se présentent, y compris les cadeaux du ciel, comme cette fenêtre matinale sans pluie qui nous a été offerte contre toute attente météorologique.

Bon à savoir:

  • L’accès au réseau de vélo de montagne est payant (en plus de l’accès général au parc).
  • Le parc compte de nombreux et magnifiques sentiers pédestres, pour grimper à l’assaut du mont Chauve ou des crêtes du mont Orford, à moins qu’on ne préfère emprunter la Boucle des Trois Étangs (5 km, de niveau facile).
  • On peut louer des vélos fatbikes et des embarcations au Centre de découverte et de services Le Cerisier, des pédalos, canots et planches à pagaie au Centre de services Le Bonnallie, au lac Stukely.
  • Les campeurs de la SÉPAQ ont droit à 15% de réduction au golf du Mont-Orford, du lundi au jeudi, et 10% du vendredi au dimanche.
  • Les chiens en laisse sont autorisés à certains emplacements de camping du lac Fraser et du lac Stukely, sur certains sentiers de randonnée et secteurs limités de bords de l’eau.

Dernières nouvelles de Magog:

  • L’Auberge jeunesse Magog-Orford a rouvert ses portes le 4 juin et son café Les Estries est ouvert à tous, même sans hébergement sur place, avec pâtisseries maison et bagels frais.
  • La lavanderaie de Bleu Lavande a déménagé ses pénates de Stanstead à Magog; le site est ouvert depuis le 7 juin.

Le Québec tout en couleurs

La saison d’automne est officiellement lancée et les deux ou trois prochains week-ends seront les meilleurs pour profiter des couleurs. Dans plusieurs régions, des festivals d’automne font la part belle à la randonnée, au vélo de montagne ou à d’autres activités de plein air. Tour d’horizon.

Dans les Cantons-de-l’Est

Festival d’automne du mont Sutton

Tous les week-ends jusqu’au 14 octobre

La station de ski alpin a pris une forte tangente vélo de montagne pour le printemps, l’été et l’automne, en offrant un beau réseau de sentiers. Heureuse initiative: on y offre tous les week-ends, à 10h et à 13h, des cours de deux heures d’initiation au vélo de montagne, histoire de bien démarrer cette activité pour en profiter pleinement.

Durant le festival, le mini-parcours d’hébertisme pour enfants est gratuit, tout comme les initiations à la randonnée organisées par le Parc d’environnement naturel de Sutton, tout proche de la station. Une zone d’essai de slackline, jeu d’équilibre sur sangle entre deux arbres, est aussi aménagée pour ceux qui voudraient jouer aux funambules.

Photo: Facebook Mont Sutton

La Flambée des couleurs Magog-Orford

Tous les week-ends jusqu’au 14 octobre

Marais de la Rivière aux cerises: une exposition de photos nature est présentée au centre d’interprétation de ce petit parc qui compte plusieurs courts sentiers pour bien visiter ce joli marais.

Station de ski du mont Orford: les remontées mécaniques sont en fonction tous les week-ends du festival. On peut ainsi accéder facilement au sommet à 850 mètres d’altitude et notamment aux cinq belvédères qui offrent un super panorama sur la région. Un sentier sur pilotis accrochés à la roche (circuit Altitude) mène aussi à un observatoire. Évidemment, c’est plus sportif de partir de la base et de «grimper» via les pistes de ski, par exemple la piste 4 km (pour débutants-intermédiaires) ou la Super, très cardio.

Parc national du mont Orford: vous pourrez aussi profiter de ses nombreux sentiers de randonnée ou tester ses toutes nouvelles pistes de vélo de montagne. La piste «La cavalière» permet en outre aux adeptes de vélo de route de passer du secteur du Lac-Stukely au secteur du Lac-Fraser: 10,6 km (aller) de niveau facile. Quant aux amateurs de yoga, ils sont invités tous les samedis matins d’ici le 12 octobre à une séance d’une heure gratuite sur la plage du lac Stukely. Tapis fournis.

Photo: Facebook Parc national du Mont-Orford

Dans Charlevoix

Le Massif en couleurs

Du 5 au 14 octobre

La station de ski alpin, située juste avant Baie-Saint-Paul, invite à venir la visiter à bord du train des couleurs, qui fera la navette entre Québec et Petite-Rivière-Saint-François, au ras du fleuve, les 5 et 6 octobre.

Aux plus sportifs, on conseille une initiation à la course en sentier, l’exploration des nouveaux sentiers de vélo de montagne ou la randonnée sur les hauteurs du fleuve. Des ateliers de photo et d’autres de cuisine en plein air sont par ailleurs organisés durant le festival.  

Photo: Facebook Le Massif de Charlevoix

Dans Lanaudière

La Symphonie des Couleurs à Saint-Donat

Jusqu’au 14 octobre

Les activités de découverte du milieu naturel, souvent gratuites, sont à l’honneur. Le 28 septembre aura lieu un atelier de photos d’oiseaux, avec trucs et astuces, tandis que le 5 octobre, un autre atelier permettra d’apprendre où et comment observer les oiseaux.

Les remontées mécaniques du mont Garceau et de Ski La Réserve sont en fonction pour le dernier week-end de septembre et le premier d’octobre, occasion de randonner plutôt sur les hauteurs. Au mont Garceau, on fait aussi la promotion de «La tour d’escalade», qui a 24 mètres de haut. 

Photo: Facebook Tourisme Saint-Donat

Station Ski Montcalm

Tous les week-ends jusqu’au 20 octobre

Des cours de marche active en sentiers sont proposés certains samedis, dont le 5 octobre. Cet entraînement d’une heure en bord de lac (à 12$, incluant l’accès au télésiège pour plus tard) vise une initiation à la course à pied (avec option marche rapide), une amélioration de la posture et de l’équilibre.

Le 19 octobre, place à La Grande Marche du Défi Pierre Lavoie: départ à 11h; inscription gratuite.

Photo: Facebook Ski Montcalm

En Montérégie 

Le Festival des couleurs de Rigaud 

Du 12 au 14 octobre

Il se tient sur trois sites: au parc Chartier-De Lotbinière, au mont Rigaud et à Arbraska Rigaud. On peut se rendre à pied (ou en télésiège) au sommet du mont Rigaud, emprunter le sentier «L’escapade» ou profiter des pistes de vélo de montagne. D’autres préfèrent se contorsionner dans les arbres (en couleurs) d’Arbraska Rigaud.

Le plus? Les navettes gratuites durant le festival pour se rendre à Rigaud en transport en commun (depuis le métro Côte-Vertu et la gare de Vaudreuil).

Photo: Facebook Festival des couleurs de Rigaud

Dans la région de Québec

La Grande Virée des couleurs au mont Sainte-Anne

Jusqu’au 14 octobre

Les sentiers de marche et de vélo de montagne sont souvent en forêt, mais comme elle est belle en automne! On peut tout de même avoir quelques beaux points de vue sur le fleuve Saint-Laurent et l’île d’Orléans.

Les 4 et 5 octobre, le Défi des couleurs Simard plaira aux coureurs de tout acabit. Le parcours en trail offre trois options: 11 km, 23 km et 42 km, plus un parcours de nuit de 5 km. La course en sentier, plus facile, est ouverte sur 6,5 et 10 km, plus un circuit de 1 km pour les enfants.

Photo: Facebook Mont-Sainte-Anne

En Outaouais

Le coloris automnal au parc de la Gatineau

Du 5 au 27 octobre

Journée en nature avec randonnées guidées gratuites au lac Philippe les 5, 6, 19 et 20 octobre; activités spéciales au Relais plein air du parc les 28 septembre, 5 et 19 octobre.

Le plus: la navette gratuite de la Commission de la capitale nationale, au départ du centre-ville d’Ottawa et de Gatineau, tous les week-ends d’octobre, pour le secteur des promenades du parc.

Photo: Facebook Parc de la Gatineau

AVERTISSEMENT

  • L’automne, c’est aussi la saison de la chasse. Soyez donc prudents si vous vous baladez en forêt et vérifiez auparavant que vous n’entrez pas dans une zone de chasse.
  • Quand les feuilles commencent à tomber, elles recouvrent facilement les roches et les racines dans les sentiers, aggravant les risques de chute. Les bâtons de marche sont hautement recommandés pour limiter les dégâts!