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Le Québec en 20 affiches publicitaires rétro

Cet été, c’est au Québec et à l’extérieur que ça se passe! Redécouvrez la province avec ces affiches rétro du début du XXe siècle aux années 1980.

1- Affiche, province du Québec, 1920-1950

Bibliothèque et Archives Canada

2- Affiche de l'office du tourisme de la province de Québec, 1948

Bibliothèque et Archives Canada

3- Affiche de l'office du tourisme de la province de Québec, 1948

Bibliothèque et Archives Canada

4- Bateau sur le Fjord du Saguenay, 1938

Bibliothèque et Archives Canada

5- Affiche de Gaspé, vers 1948

Bibliothèque et Archives Canada

6- Une croisière à l'hôtel Tadoussac, 1938

Bibliothèque et Archives Canada

7- Affiche de Tadoussac, vers 1938

Bibliothèque et Archives Canada

8- Manoir Richelieu, 1938

Bibliothèque et Archives Canada

9- Affiche de Tadoussac, vers 1938

Bibliothèque et Archives Canada

10- Affiche de la province de Québec entre 1946 et 1961

BAnQ

11- Québec, la belle province, entre 1961 et 1963

BAnQ

12- Québec, la belle province, vers 1967

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13- La province de Québec, entre 1946 et 1959

BAnQ

14- Québec, entre 1979 et 1984

BAnQ

15- Province du Québec, 1945

Bibliothèque et Archives Canada

16- Affiche du Canadian Pacific, 1950

Bibliothèque et Archives Canada

17- Place Royale, Québec

Bibliothèque et Archives Canada

18- Affiche du Canadian Pacific, 1956

Bibliothèque et Archives Canada

19- Affiche de Tourisme Québec dans les années 70

BAnQ

20 – Affiche du  Ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pêche, entre 1969 et 1973

BAnQ

Mangez local !: Faire provision du Québec à l’année

Comment conserver des fraises du Québec toute l’année? Quoi faire avec la fleur d’ail? Comment faire sécher ses herbes? Comment faire honneur aux aubergines? Dans son nouveau livre, Mangez local!, la nutritionniste Julie Aubé nous amène mois par mois dans l’aventure de la conservation afin de plus et mieux savourer le Québec à l’année.

Julie Aubé, nutritionniste et auteure, est passionnée des artisans et des aliments du Québec. Si dans son premier livre, Prenez le champ!, elle encourageait les lecteurs à visiter le Québec gourmand, elle continue cette fois sa mission en guidant les Québécois qui souhaitent «locavoriser» leur alimentation à travers une multitude de conseils, de trucs et de recettes.

Jamais moralisatrice, Julie Aubé, consciente de la réalité et du quotidien différents de chacun, encourage simplement les gens à suivre les saisons et à faire ce qu’il est possible, selon le rythme de sa vie, pour intégrer, un aliment à la fois, plus de local à son assiette. «Est-ce que c’est nécessaire de manger 100% local? Non, disait-elle dans une entrevue récente. Le but, c’est de partir de son point de départ à soi et de faire des pas vers plus de proximité au menu.»

Photo: Pixabay

Une alimentation inspirée du Québec, mois par mois

L’originalité de Mangez local! est certainement cette idée de prendre les lecteurs par la main mois par mois. De mai à octobre, Julie Aubé parle des récoltes et des façons de conserver les aliments que le Québec nous offre.

En juin, par exemple, l’auteure nous encourage à «planter quelque chose qui se mange», «à congeler de la rhubarbe, des fraises et des camerises» et à «commencer à prévoir du vert pour l’hiver», en congelant des courgettes râpées ou un pesto de fleur d’ail et d’herbes.

Ensuite, de novembre à avril, elle propose plutôt des missions, des techniques et des recettes qui permettent de savourer les récoltes de l’été.

Finalement, un tour complet de l’année est exécuté sans que l’on s’en rende compte, et pour ceux qui auront suivi quelques-uns des conseils de Julie Aubé, le congélateur et le garde-manger pourraient regorger de récoltes du Québec. Mangez local! est la preuve qu’avec les outils et la curiosité nécessaires «manger près» est parfois plus accessible qu’on peut le penser.

Mangez local!, Recettes et techniques de conservation pour suivre le rythme des saisons, aux Éditions de l’Homme, 22,99$

Pleins feux sur le camping au Québec

Le camping au Québec sera l’une des vedettes de cet été, à n’en pas douter, mais les places seront «chères», car nombreux sont les sites qui n’ouvrent pas au maximum de leur capacité et qui bénéficient déjà de réservations de «fidèles». Voici quelques nouvelles toutes fraîches sur le camping, la location d’équipements et le transport collectif vers certains parcs. 

«L’industrie» québécoise du camping trépignait en mai de pouvoir ouvrir ses sites. C’est maintenant chose faite avec des dates d’ouverture variant d’un camping à l’autre, qu’il soit privé ou public.

De parc en camping privé

Dans le réseau des parcs nationaux de la SÉPAQ, les hébergements – chalets, campings, prêts-à-camper, camps rustiques, yourtes – ont ouvert le 1er juin pour la plupart, avec des règles sanitaires strictes, dont celle d’être «de la même unité familiale» pour réserver un site. Parcs Canada a décidé pour sa part d’attendre le 21 juin pour procéder à l’ouverture de ses campings.

Les autres parcs (privés, OBNL, municipaux ou régionaux) agissent en ordre dispersé. Certains débutent leurs opérations ce week-end, d’autres plus tard en juin. On a appris cette semaine, par exemple, que certains n’ouvriraient carrément pas leurs portes aux campeurs avec tentes, mais seulement aux véhicules récréatifs pour ne pas avoir à ouvrir et entretenir les toilettes.

Le très couru Paradis marin à Grandes-Bergeronnes, sur la Côte-Nord, est l’un de ceux qui ont pris cette décision de garder leurs blocs sanitaires fermés et de n’accepter que les réservations de voyageurs à bord de véhicules ayant leurs propres toilettes et douches. Bien triste pour ceux qui n’ont pas les moyens d’avoir plus qu’une auto et une tente.

À la SEBKA (camping, kayak, escalade), près de Kamouraska, dans le Bas-Saint-Laurent, on ouvre le 15 juin, mais en accès limité tant pour le camping que pour l’escalade, et sans sorties guidées de kayak cet été. Le site très sympathique en bordure du Saint-Laurent a (heureusement pour lui et malheureusement pour ceux qui n’ont pas été prévoyants) rempli son quota de sites de campings réservés pour TOUT l’été, de mi-juin au 7 septembre. Il faut dire qu’avec 50% de sites en moins et alors que 25% des restants étaient déjà réservés en janvier, il ne restait pas beaucoup de chances aux retardataires… Parfois, il y a quand même des annulations!

La SEBKA, site très sympathique en bordure du Sainte-Laurent, a rempli son quoto de sites de campings réservés pour TOUT l'été. Photo: Facebook SEBKA

Pour les ouvertures de campings des parcs régionaux (52) et autres activités des membres (140 entreprises) de l’association Aventure Écotourisme Québec, je vous suggère de visiter la toute nouvelle page «Plein air d’ici» mise à jour en permanence. On y répertorie les lieux ouverts et bientôt, espère-t-on, leurs activités guidées. Dans tous les cas, réservez là où vous voulez camper au plus vite... s’il reste de la place!

Camper sur l’île d’Orléans

La pointe d’Argentenay, à Saint-François-de-l’île-d’Orléans, est l’un des plus beaux sites encore sauvages de l’île d’Orléans, entourée de battures faisant face au fleuve côté est, mais elle n’est pas facile d’accès. Elle est partagée entre des terres privées et la propriété des Scouts du district de Québec, que Huttopia avait lorgnée il y a quelques années pour en faire un site de choix afin d’agrandir sa famille de villages de glamping (prêts-à-camper) au Québec (Sutton) et dans l’Est américain (Montagnes Blanches et sud du Maine). Le groupe a renoncé à ce projet et les Scouts ont gardé le site.

Je vous annonce donc en primeur un nouveau partenariat qui va plaire aux amateurs de camping rustique. Il a été conclu par les Scouts de Québec avec Quatre Natures, entreprise en tourisme d’aventure de la région de Québec, pour gérer conjointement le Camping de la Pointe.

Créée par Johann Moucheboeuf, Quatre Natures propose des sorties guidées en kayak de mer à l’île d’Orléans, ainsi que du canot-camping dans le parc de la Jacques-Cartier, de la randonnée et du vélo de montagne dans la région de Québec. Cet été, exit ces trois dernières activités pour cause de COVID-19. Restera, espère Johann, le kayak de mer dès que les autorités gouvernementales autoriseront les sorties guidées avec règles de santé publique et un nouveau service de location de vélos électriques. Sans compter le camping rustique de l’île d’Orléans qui ouvre ce 8 juin, et jusqu’à mi-septembre. Au programme: une cinquantaine de sites, dont une douzaine en bordure de fleuve et le reste en forêt. Une jolie cabane-tipi est aussi à louer et devrait faire des petits bientôt.

Le camping rustique de l’île d’Orléans ouvre ce 8 juin, et jusqu’à mi-septembre. Photo: Facebook Camping de la Pointe

Des services novateurs québécois pour aller camper

Voici un autre fou de plein air qui ne manque pas d’idées. David Tall a bien profité des temps libres que lui laissait son travail à Aéroports de Montréal ce printemps. Le jeune homme a peaufiné son idée de fournir aux gens de la région du Grand Montréal qui voudraient faire du camping tout le matériel nécessaire (de bonne qualité et à prix raisonnable) sans avoir à l’acheter, et ce, à partir du 24 juin.

Locapaq offrira dès le 10 juin sur son site la possibilité de réserver aussi bien une tente que tout ce qu’il faut pour y dormir confortablement et le nécessaire pour cuisiner en camping (incluant réchaud, casseroles…). La location (avec instructions de montage et d’utilisation par produit) est faite pour 3, 7, 10 ou 24 jours. On peut louer ce qui nous manque à la pièce, par exemple une bonne tente pour trois personnes à 50$ du vendredi au dimanche. Des «ensembles» pour une, deux ou quatre personnes sont offerts à prix compétitifs. Nettoyage, inspection et aseptisation sont garantis entre chaque utilisation.

David était déjà partenaire de Karavaniers pour la location de matériel d’expédition performant et propose donc aussi des sacs à dos de qualité, des bâtons de marche, des trousses de premiers soins et même des repas lyophilisés de qualité supérieure. Provenant de la compagnie québécoise Happy Yak, ils sont faciles à réhydrater à l’eau bouillante et délicieux, ce qui est rare, parole d’experte.

Locapaq propose aux gens de la région du Grand Montréal qui voudraient faire du camping tout le matériel nécessaire (de bonne qualité et à prix raisonnable) sans avoir à l’acheter. Photo: Facebook Locapaq

Navette Nature: partira, partira pas?

Locapaq s’est aussi associé avec Navette Nature, dite NANA. Cette autre entreprise montréalaise créée par deux jeunes entrepreneuses se spécialise depuis cinq ans dans le transport par autobus vers quelques parcs nationaux, été comme hiver, pour permettre aux gens qui ne peuvent ou ne veulent pas prendre une auto d’aller y faire de la randonnée, du canot, de la baignade ou du camping au départ de Montréal. Ses clients se verront désormais proposer en location une «trousse Navette Nature» préparée par Locapaq (avec sac à dos, bâtons de randonnée, trousse de premiers soins et coussin pour s’asseoir). À condition que la navette reprenne du service cet été…

Pas facile, en effet, de faire du transport collectif par les temps qui courent! «On est prêt à démarrer au 24 juin; notre calendrier est en ligne et les réservations sont ouvertes, mais nous ne pourrons pas fonctionner comme petite entreprise avec 50% de passagers dans nos autobus comme l’exigent les règles sanitaires actuelles», précise Catherine Lefebvre, co-fondatrice de Navette Nature. «On a besoin d’une aide gouvernementale, ajoute-t-elle, pour démarrer nos sorties à la journée cette année.»

Navette Nature se spécalise dans le transport par autobus vers quelques parcs nationaux pour permettre aux gens qui ne peuvent ou ne veulent pas prendre une auto d’aller y faire de la randonnée, du canot, de la baignade ou du camping au départ de Montréal. L'entreprise aura besoin d'aide pour y arriver cet été. Photo: Facebook La Navette Nature

On leur souhaite parce que ce «service de facilitateur» d’accès à la nature est essentiel. Il a été utilisé par 6400 personnes en 2019 pour se rendre dans cinq parcs nationaux: Orford, Mauricie, Tremblant, Oka et Yamaska. Cet été, le service se limiterait aux trois premiers.

Navette Nature avait même l’ambition cet été de proposer des départs de Québec vers les trois parcs nationaux de la Jacques-Cartier, des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie et des Grands-Jardins. «On était bien excité, mais on garde l’idée pour 2021», souligne Catherine. Même chose pour un développement à venir de tournées gourmandes en région et de déplacements vers quelques parcs régionaux.

N’hésitez tout de même pas à réserver une place à bord d’une Navette Nature pour le jour de votre choix cet été, car vous pourrez toujours modifier vos dates ou vous faire rembourser. Ça, c’est garanti!

De la variole au coronavirus, petite histoire des épidémies au Québec

L’épidémie de coronavirus est préoccupante et il est important de prendre les précautions nécessaires pour vous protéger. Malgré tout, on peut se réjouir de vivre à une époque et dans un pays où les conditions d’hygiène et les connaissances médicales sont assez avancées pour mieux contenir et traiter le virus.

Méfiez-vous des comparaisons apocalyptiques avec la grippe espagnole de 1918. La mésinformation en temps de crise peut gravement nuire à la santé publique en créant des mouvements de panique (comme la frénétique «course au papier de toilette»).

La perspective historique peut parfois nous rassurer en nous rappelant que notre société s’est relevée et a appris quelques leçons des crises majeures qu’elle a traversées.  

Les ravages de la variole et les défis de la vaccination publique

Nous savons tous que l’arrivée des Européens en Amérique a causé l’une des plus grandes dépopulations de l’histoire. Isolés sur le continent, les peuples autochtones n’avaient pas été exposés aux maladies contagieuses comme la variole, la rougeole et la fièvre jaune. Bien qu’il demeure difficile d’estimer l’ampleur de la chute des populations autochtones en Amérique en raison du choc microbien, certains avancent des chiffres au-delà de 90% du XVIe siècle au début du XXe siècle.

Longtemps, les épidémies de variole ont été les pires tueuses, non seulement chez les tribus autochtones, mais aussi dans les grands centres urbains. Malgré les débuts timides de l’inoculation à partir du XVIIIe siècle, de graves épidémies continuent de faire des milliers de victimes jusqu’au début du XXe siècle.

Si, de nos jours, malgré les médias de masse et les progrès de la science, il reste difficile de convaincre la population de se faire vacciner, imaginez le défi de communication il y a 150 ans! C’est ainsi qu’au milieu de la terrible épidémie de variole de 1885, une violente émeute anti-vaccination éclate à Montréal.

Au cours de l’épidémie de variole qui a frappé Montréal en 1885, une charrette sillonnait les rues de la ville. On y embarquait les enfants infectés, le plus souvent des francophones des quartiers défavorisés, afin de les mettre en quarantaine. Photo: Antonio Pierre De Almeida
Émeute anti-vaccination devant l’hôtel de ville de Montréal. Photo: Bibliothèque et Archives du Canada

La mise en place des quarantaines

Les récentes éclosions de coronavirus sur des paquebots de croisière rappellent qu’un grand nombre de maladies et d’épidémies naissaient pendant les longues traversées de l’Atlantique sur des navires où les passagers s’entassaient dans des conditions malsaines.

L’une des plus tragiques fut l’épidémie de typhus de 1847, qui a fait plus de 20 000 victimes, en majorité des immigrants irlandais fuyant la famine dans leur pays, et ce, malgré les mesures de quarantaine imposées aux navires de passagers à Grosse-Île, près de Québec.

Le choléra, qui a fait des ravages en Europe en 1831, débarque au Canada l’année suivante et reviendra sporadiquement tout au long du siècle. L’aspect bleuté des cadavres des victimes du choléra a d’ailleurs donné naissance à l’expression «avoir une peur bleue».

Pose de la pierre du monument marquant les tombes de 6 000 immigrants morts du typhus en 1846 et 1847, pont Victoria, Montréal, en 1859. Photo: William Notman © Musée McCord

Pour prévenir de telles hécatombes, certaines villes portuaires font subir des examens médicaux à tous les nouveaux arrivants, alors que le gouvernement canadien prend le relai de l’armée à Grosse-Île, qui demeurera le plus important lieu de quarantaines du pays jusqu’à la Première Guerre mondiale.

Bureau de l’inspecteur du gouvernement. Gravure de 1850 © Musée McCord
Même s’il n’existait pas de remède contre le choléra, certains opportunistes prétendaient avoir trouvé des remèdes miracles. Remèdes Dwight contre le choléra, 1850-1900. Photo: © Musée McCord

La grippe espagnole qui n’avait rien d’espagnol

Le Canada ne fut pas non plus à l’abri de la grippe espagnole (qui provenait véritablement de la Chine), qui a fait des millions de victimes dans le monde à la fin de la Première Guerre mondiale. La maladie, qui disparait miraculeusement en 1919, demeure un épouvantail du pire scénario.

Des hommes portant un masque durant l’épidémie de grippe espagnole en 1918. Photo: Bibliothèque et archives Canada
Équipe de la Croix-Rouge portant des civières à Saint-Louis aux États-Unis, en 1918. Photo: Bibliothèque du Congrès américain

Nous pourrions citer d’autres maladies contagieuses qui ont sévi ici et dans le monde, comme la fièvre jaune et la rougeole (qui a refait surface au cours des dernières années notamment en raison des réticences face à la vaccination), mais ce qui compte au milieu de la crise actuelle ce sont les leçons que nous en tirons.

Sans minimiser la gravité du coronavirus, rappelons-nous qu’un siècle de progrès de la médecine, de l’hygiène et de la santé publique a rendu les maladies contagieuses beaucoup moins mortelles.

Chacun d’entre nous est responsable de lutter contre la mésinformation et de prendre les mesures nécessaires pour éviter la propagation de la maladie. Je vous invite à suivre les recommandations de l'Agence de la santé publique du Canada pour en savoir plus.

Petite histoire du déneigement en photos

Si vous trouvez que le processus de déneigement est long au 21e siècle, imaginez le temps qui était nécessaire lorsque cette opération se faisait à la pelle avec des bennes tirées par des chevaux!

Ce n’est qu’à partir de 1905 que la Ville commence à prendre à charge le déneigement des voies publiques. La première souffleuse mécanisée Sicard, quant à elle, n’apparaît que dans les années 1920. Voici quelques images retraçant l’histoire du déneigement à Montréal et à Québec.

À voir aussi: 20 photos de tempête historiques

1- Bancs de neige, rue Craig, Montréal,  1869

Photo: James Inglis, © Musée McCord

2- Déneigement, rue Notre-Dame, Montréal, vers 1887

Photo: Wm. Notman & Son, © Musée McCord

3- Déneigement, rue Notre-Dame, Montréal, vers 1887

Photo: Wm. Notman & Son, © Musée McCord

4- Rue Sous-le-Cap, Québec, vers 1895

Photo: Wm. Notman & Son, © Musée McCord

5- Vue en direction est de la rue Saint-Jacques, Montréal, vers 1869

Photo: James Inglis, © Musée McCord

6- Journée de tempête, rue Sainte-Catherine, Montréal, 1901

Photo: Wm. Notman & Son, © Musée McCord

7- Chasse-neige électrique, Montréal, vers 1895

Photo: Wm. Notman & Son, © Musée McCord

8- Déneigement de la rue après une tempête, vers 1900

Photo: BAnQ

9- Balayeuse au travail de déneigement de la rue en hiver à Québec, vers 1900

Photo: BAnQ

10- Quartier Saint-Jean-Baptiste, Québec, 1904

Photo: Fred C. Würtele, BAnQ

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