Il y a 100 ans, le 16 octobre 1923, Walt et Roy Disney fondaient les studios Disney Brothers à Hollywood. Quelques années plus tard naîtra une sympathique souris nommée Mortimer, qui deviendra Mickey à la demande de l’épouse de Walt. Celui-ci n’hésite pas à s’endetter pour son premier long métrage, Blanche-Neige et les sept nains, sorti en 1937. Devenue un véritable empire, l’entreprise Disney compte six parcs d’attractions à travers le monde et génère des milliards de revenus chaque année pour ses films.
Né il y a 100 ans, le 7 octobre 1923, le peintre et sculpteur Jean Paul Riopelle a laissé une œuvre d’envergure que l’on peut admirer dans plusieurs grands musées à travers le monde. Le voici en photos.
Le talent artistique de Riopelle se manifeste dès sa jeunesse. Au cours des années 1940, il étudie à l’École des beaux-arts et à l’École du meuble et se joint au mouvement des Automatistes qui signeront le manifeste du Refus global en 1948. Vers la fin de la décennie, il habite à Paris avec sa conjointe, la danseuse et chorégraphe Françoise Lespérance. Tout au long de sa prolifique carrière, Jean Paul Riopelle expérimente plusieurs techniques et styles et récolte un grand nombre d’honneurs et de prix.
1- Jean Paul Riopelle, 1923-2002
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2- Jean-Paul Riopelle, 1923-2002
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3- Exposition Riopelle à la Galerie nationale, 1963
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4- Exposition Riopelle à la Galerie nationale, 1963
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5- Jean Paul Riopelle, 1923-2002
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6- Jean Paul Riopelle au Salon des galeries d'art du Palais des congrès de Montréal, 1985
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7- Rencontre entre Maurice Richard et Jean Paul Riopelle à son atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, en 1990. Le peintre a réalisé une œuvre en utilisant la main du joueur de hockey.
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8- Rencontre entre Maurice Richard et Jean Paul Riopelle à son atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, en 1990. Le peintre a réalisé une œuvre en utilisant la main du joueur de hockey.
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9- Rencontre entre Maurice Richard et Jean Paul Riopelle à son atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, en 1990. Le peintre a réalisé une œuvre en utilisant la main du joueur de hockey.
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10- Rencontre entre Maurice Richard et Jean Paul Riopelle à son atelier de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson, en 1990. Le peintre a réalisé une œuvre en utilisant la main du joueur de hockey.
Souvent assistés de leurs familles, les gardiens de phare ont la responsabilité de garder ces lumières essentielles à la navigation maritime. Le premier phare canadien est construit à Louisbourg au Cap-Breton en 1734, mais le plus vieux encore debout se trouve à l’entrée du port d’Halifax. Au cours du 19e siècle, le nombre de phares gardés se multiplie sur le territoire canadien avant de décliner au siècle suivant au profit de nouvelles technologies. Aujourd’hui, on dénombre 750 phares à travers le pays, dont une cinquantaine de phares gardés.
Au tournant du 20e siècle, Vienne, la brillante capitale de l’empire austro-hongrois, comptait plus de deux millions d’habitants et vivait ses heures de gloire. Patrie d’origine de grands compositeurs, artistes et intellectuels de renom tels que Mozart, Beethoven, Gustav Mahler, Gustav Klimt et Sigmond Freud, la ville sera frappée de plein fouet par une importante crise économique à la suite de la Première Guerre mondiale et la dislocation de l’empire austro-hongrois.
1- Vue extérieure du palais de la Hofburg, Vienne, entre 1880 et 1910
Bibliothèque du Congrès
2- Franzensring, 1890-1906
Bibliothèque du Congrès
3- Schönbrunn, 1890-1906
Bibliothèque du Congrès
4- Parlamentsgebaude, Vienne, 1890-1906
Bibliothèque du Congrès
5- Marché en plein air et statue équestre au premier plan, entre 1890 et 1900
Quel plaisir d’observer les gens dans la rue… encore plus si c’est en 1970! Des mini-jupes aux pantalons pattes d’éléphant, en passant par les uniformes de travail et les complets veston-cravate, tous les styles vestimentaires y passent.