Il existe de nombreux services de prévision météo sur Internet. Si leurs prédictions se ressemblent souvent, il arrive aussi qu'elles diffèrent. Qui se rapproche le plus de la vérité? C’est ce que tente de découvrir Climendo, peu importe où que vous soyez.
Climendo analyse depuis plusieurs années les données d’une multitude de fournisseurs de services météo. Leurs prévisions sont ensuite comparées avec les observations actuelles sur une base quotidienne. Cette démarche s’effectue en fonction de la position géographique de l’utilisateur, puisque les modèles d’un service peuvent être plus précis à un endroit, mais moins à un autre.
C’est ce qui permet par exemple à Climendo d’affirmer que le service le plus efficace pour prédire la température dans les 24 prochaines heures à Montréal est Wunderground (90% d’efficacité), mais AccuWeather à Québec (94% d’efficacité).
Les prévisions avec Climendo sont un peu plus longues à obtenir qu’avec un service régulier. En contrepartie, l’application indique la prévision la plus probable, en incluant son niveau de certitude pour chaque donnée, selon que les différents services sont sur la même longueur d’onde ou non.
En plus de la météo aux six heures pour les dix prochains jours, Climendo affiche aussi les prévisions pour les 24 prochaines heures, les températures enregistrées au cours des quatre dernières années et il y a 10 ans et les statistiques d’exactitude des services météo.
L’application mobile Climendo est offerte sur Android et iOS pour 5,99$ ou 5,49$ respectivement. Elle est aussi offert gratuitement en version avec publicités.
Saviez-vous qu’on compte à Montréal plus de restaurants par habitant que dans toutes les autres villes d’Amérique du Nord? Qu’on peut commander dans la métropole une trentaine de marques de microbrasseries? Ou que la poutine est née dans les années 1950?
Depuis quelques mois, une fascinante exposition flotte des centaines de mètres au-dessus de Montréal. Installée au 45e étage de la Place Ville Marie, l’exposition #MTLGO présente de brillante façon diverses facettes de Montréal.
Ainsi, des dizaines de portraits vidéo, de nombreuses photos d’archives, des livres et des magazines mettent en valeur l’art de la scène, le nightlife, la langue, les quartiers, le hockey et… la gastronomie montréalaise.
Autant que sa vie artistique, sa vie nocturne ou ses quartiers, sa gastronomie façonne Montréal, ses habitants et leurs habitudes. On le réalise encore davantage pendant la visite de #MTLGO.
Photo: The Kozy Shack, Flickr
Avec une vue imprenable sur la ville, on apprend donc plusieurs faits fascinants sur l’alimentation des Montréalais. Entre autres, qu’on compte dans la métropole 6500 restaurants pour 1,65 million d’habitants. Que deux des plus célèbres spécialités de Montréal, le bagel et smoked meat, sont des contributions de la communauté juive. Que la tradition brassicole de Montréal date de 1786. Ou que Montréal compte une quinzaine de marchés publics...
Les touristes ou les Québécois de l’extérieur de Montréal y découvrent la ville comme jamais et les Montréalais la redécouvrent. On s’y rend pour la vue et pour l’exposition #MTLGO et on en ressort avec l’envie d’écumer tous les restos et de goûter toutes les spécialités de la ville.
«Passionnée par le langage de l’abstraction, je cherche à créer un équilibre entre le désir de contrôler la matière que je manipule et la capacité d’accepter les résultats du hasard sur sa substance.»
- Sonia Paradis
À la fois artiste peintre et designer de mode, Sonia Paradis joue avec la matière et l’environnement.
La démarche artistique de Sonia Paradis a pour but d’élucider, à l’intérieur de notre contexte environnemental, comment le désir de contrôle éprouvé par l’homme peut cohabiter avec l’éphémère, le désordre et l’inconnu.
L’artiste débute son processus en laissant fondre des morceaux de glace sur la surface du canevas. Cette trace, non contrôlée, deviendra le point de départ du travail de Paradis. S’affrontent dans les œuvres de cette artiste la spontanéité des résultats obtenus naturellement et les gestes parfaitement contrôlés de cette dernière.
Andrey Ostanin, un alpiniste russe de 30 ans, a tenté d’atteindre le sommet du mont Elbrouz avec son chat.
Avec ses 5642 mètres, le mont Elbrouz est le plus haut sommet d’Europe. Forts vents et précipitations de neige attendent les aventuriers qui en font l’ascension… dont Andrey Ostanin et Graf, son chat.
C’est après avoir entendu parler d’un chat qui avait conquis l’Himalaya que Andrey Ostanin a eu l’idée de faire un voyage avec Graf. «Je voulais que Graf devienne le premier chat alpiniste», raconte-t-il.
Photo: Andrey Ostanin
Avec une laisse en ville, sur les épaules dans les bois, dans un sac ou dans un manteau ; Andrey Ostanin a multiplié les sorties avec Graf plusieurs mois avant le grand départ. Le chat, jeune et curieux, s’est rapidement acclimaté à ce mode de vie.
Pour l’ascension du mont Elbrouz, Graf avait un manteau spécialement conçu pour lui et une boîte de transport bien isolée. Andrey Ostanin s’inquiétait des effets du froid et du manque d’oxygène, mais affirme que Graf n’a montré aucun signe d’inconfort. «Sa boîte de transport était l’endroit le plus chaud. C’est d’ailleurs là où je plaçais mes mains lorsque je ne pouvais plus les sentir.» Aux dires de l’alpiniste, la plus grande épreuve était de mettre le manteau à Graf!
Malgré toute la préparation et les efforts, Graf et son maître n’ont pas atteint le sommet du mont Elbrouz. Les conditions météorologiques se détériorant, le duo a rebroussé chemin. «Nous avons perdu un Thermos et il ne nous restait qu’une bouteille d’eau. Ça nous aurait pris douze heures pour atteindre le sommet, ce qui aurait pu nous mener à un état de déshydratation sévère», explique l’alpiniste.
Photo: Andrey Ostanin
Même si l’objectif n’a pas été atteint, on pense que Graf mérite le titre de chat alpiniste malgré tout.
«Un court roman, des chapitres alternant entre présent et passé, une cité préhistorique, un peuple méconnu. Des ingrédients parfaitement maîtrisés par l’auteur Camille Bouchard pour retenir le lecteur au fil des pages de ce récit fantastique.»
- Martine Lamontagne, Librairie Paulines
Résumé
Jason Byrd est un drôle d’oiseau. Ses camarades de classe l’ont remarqué et ne se gênent pas pour le lui dire. On se moque d’ailleurs souvent de son nez crochu, qui lui donne un profil de volatile. Or ce trait physique un peu particulier n'est pas la seule chose dont Jason a hérité de ses ancêtres : il fait partie d'une longue lignée d'hommes-oiseaux aux pouvoirs extraordinaires.
Lorsque Jason perd conscience sur le site de la cité préhistorique de Cahokia, dans l’Illinois, à l’est de la ville de Saint Louis, il voit se dérouler comme un film les images des générations qui l’ont précédé. Dans ses visions, les siècles et les millénaires passent, mais il y a toujours un garçon au profil d'oiseau qui apprend à maîtriser un don mystérieux. Ce don, l’a-t-il reçu, lui aussi ?
Cahokia, Camille Bouchard, Les éditions du Boréal, 2016, 144 pages, 11,95$.
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