Le tricot est bien plus qu’un passe-temps créatif qui revient à la mode depuis quelques années. Jusqu’à récemment, il s’agissait d’un travail essentiel, majoritairement féminin, pour vêtir toute la famille.
Au cours des deux guerres mondiales, des milliers de tricoteuses canadiennes ont fabriqué des chaussettes, des chandails et autres articles utiles pour les soldats, les prisonniers de guerre et les réfugiés. La Croix-Rouge estime qu’environ 750 000 bénévoles ont tricoté 50 millions d’articles au cours de la Seconde Guerre mondiale.
1- Mme Frothingham et son tricot, Montréal, 1864
2- Missie Ethel N. Frothingham faisant du tricot, Montréal, 1871
3- Missie Ethel N. Frothingham faisant du tricot, Montréal, 1871
4- Mme Finlay en train de tricoter, Montréal, 1929
5- Madame Desjardins en train de tricoter, Montréal, 1890
6- Lady Hendrie en train de tricoter, 1916
7- Un homme qui tricote à l’hôpital de la rue Christie, Toronto, 1938
8- Club de tricot pour enfants «Little Happy Gang» pour les soldats canadiens et la Société canadienne de la Croix-Rouge, 1940
9- Une pause occupée…
10- Les deux filles d'Uldéric Grisé au tricot, Drummondville, 1951
11- Cours de tricot dans une école d'enseignement ménager, 1948
12- Deux femmes assises sur le perron d'une maison en bois, 1944
13- Maman cuit le pain et Céline tricote chez Jos André Pelletier, Saint-Pascal, comté de Kamouraska, 1952
14- Classe de tricot, quatre élèves et mademoiselle Chamsi Mossaheb de l'Iran à l'École supérieure de Loretteville, 1951
15- Classe de tricot, deux religieuses et neuf élèves et mademoiselle Chamsi Mossaheb de l'Iran à l'École supérieure de Loretteville, 1951
16- Eileen Greenwood qui tricote, 1942
17- Margaret Oscarson qui tricote, 1942
18- Tricot dans une école pour les non-voyants, 1942
19- Eileen Greenwood tricote des chaussettes, 1942
20- Chez Mme Gordon Hyde, 1945
21- Chez Mme Gordon Hyde, 1945
22- Eileen et Shirley Greenwood, 1942
23- Tricot dans une école de l’ouest de Montréal pour la Croix-Rouge, 1939