Au pays de la traite des fourrures, les manteaux de poils se sont naturellement imposés depuis le début de la colonie. Même si de nos jours l’éthique nous pousse davantage vers le synthétique, voici quelques images qui réchauffent.
1- Marie Gervais, épouse du docteur Charles Tétrault, vers 1875
BAnQ
2- Par un temps de neige, gravure de MM . Bauchart Frères, 1890
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3- Manteau en drap prune doublé d'écureuil et garni de renard, 1905
Illustration de l’Album universel, BAnQ
4-Manteau en sealette bleu-marine pour fillette, 1905
Illustration de l’Album universel, BAnQ
5- Élégant manteau empire, 1905
Illustration de l’Album universel, BAnQ
6- L'hiver au Canada. Enfants canadiens et traîne-sauvage, 1908
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7- Jeune enfant portant un manteau, entre 1890 et 1909
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8- Pose en manteau de fourrure chez le photographe
Photo: A. Héroux, BAnQ
9- Rayon des manteaux et costumes, Dupuis frères limitée, entre 1911 et 1920
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10- Quatre enfants de la famille Chalifoux habillés pour l'hiver, années 1910
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11- Photo d'une femme avec un manteau de fourrure, vers 1920
Photo: Dupras et Colas, BAnQ
12- Grand-père portant un manteau de fourrure, 1916
Photo: Harry Sutcliffe, Musée McCord
13- Femme portant un chapeau et un manteau, vers 1925
Photo: Harry Sutcliffe, Musée McCord
14- Hommes en manteau d'hiver, vers 1925
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15- Madame Kimber sur l'avenue Connaught à Montréal-Ouest, 1933
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16- Photo d'une femme avec un manteau de fourrure, vers 1920
Photo: Dupras et Colas, BAnQ
17- Deux femmes et un homme en habits d'hiver, vers 1925
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18- Cyril Morrison, 1935
Photo: Conrad Poirier, BAnQ
19- Chez Fanchette, 1938
Photo: Conrad Poirier, BAnQ
20- Enfant en manteau d'hiver, sur la rue Champlain, à Hull, années 1940
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21- Bébé Sherrell Litchfield, 1942
Photo: Conrad Poirier, BAnQ
22- Manteau de vison naturel, création des Ateliers Reid, années 1950
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23- Fillette autochtone avec un manteau de peaux de lièvres, Grand Lac Mistassini, 1950
Le 10 janvier 1971, la célèbre créatrice de mode Gabrielle, dite «Coco» Chanel, s’éteignait à l’hôtel Ritz où elle habitait depuis les années 1930. Cette femme fascinante et libérée qui est partie de rien pour se hisser parmi les grands de ce monde a eu une vie bien remplie marquée par les deux guerres mondiales. Ces photos vous offrent un retour au début de sa carrière, quand elle a libéré la femme du corset, osé le pantalon et coupé ses cheveux.
La majorité des images de cette galerie sont tirées de Chanel Archive, une page incontournable pour les amateurs de mode.
1- Gabrielle Chanel à Royallieu, 1910
2- Gabrielle et sa tante Adrienne dans le parc de Vichy, 1906
3- Gabrielle Chanel à Moulins, 1903
4- Gabrielle Chanel, qui a commencé sa carrière comme modiste, présente un chapeau de sa conception, Comoedia Illustre, octobre 1910
5- Gabrielle Chanel, 1910
6- Gabrielle Chanel (centre) et sa tante Adrienne (à sa gauche) devant la boutique de Gabrielle à Deauville, en 1913
7- Gabrielle Chanel et Adrienne devant sa boutique à Deauville, en 1913
8- Gabrielle Chanel et son neveu André Palasse à Biarritz en 1920 (Chanel adoptera André à l’âge de 7 ans suite à la mort de sa sœur.)
9- Gabrielle Chanel à Deauville, 1913
10- Gabrielle Chanel en tenue de soirée, vers 1913
11- Gabrielle Chanel avec le Grand Duc Dimitri Pavlovitch, cousin du Tsar de Russie, avec qui elle a eu une liaison au début des années 1920
12- Gabrielle Chanel et le Duc de Westminster en 1924
13- Gabrielle Chanel vers 1926
14- Gabrielle Chanel à Eaton Hall, fin des années 1920
Au début du 20e siècle, bien avant la vente en ligne, les grands magasins comme Eaton, Simpson, Morgan et Dupuis et Frères ont popularisé la vente par catalogue.
Créés au départ pour atteindre les consommateurs de régions éloignées des grands centres urbains, les catalogues des grands magasins étaient très attendus par les petits et les grands. Levez la main ceux et celles qui se rappellent avoir découpé des images dans les catalogues pour la liste du père Noël!
Voici quelques pages de jouets de catalogues Eaton et Dupuis et Frères des années 1939 à 1975.
Malgré les privations des années 1930 et de la Seconde Guerre mondiale, on célébrait la magie des Fêtes dans les temples du magasinage de la rue Sainte-Catherine.
Nés au milieu du 19e siècle avec le magasin Harrods à Londres, les grands magasins du centre-ville de Montréal tels que Eaton, Morgan (qui sera acheté par La Baie en 1960) et Dupuis et Frères étaient incontournables.
À partir des années 1970, les magasins à rayons du centre-ville subissent la concurrence des grandes surfaces de banlieues, mais la rue Sainte-Catherine demeure une destination de magasinage populaire.
On constate aussi sur ces images de la fin des années 1930 et 1940 que l’affichage unilingue anglais n’était pas encore règlementé par la Loi 101.
L’explosion dans le port de Beyrouth en août dernier rappelle un triste épisode souvent oublié de la Première Guerre mondiale. À cette époque, le port d’Halifax était une importante plaque tournante de l’effort de guerre. Le matin du 6 décembre 1917, le Mont-Blanc, un navire français rempli de munitions, entre en collision avec le navire belge Imo, causant une violente explosion qui fera plus de 2 000 victimes, 9 000 blessés et jettera 10 000 personnes à la rue. Il s’agissait alors de la plus puissante déflagration de l’histoire avant les bombes atomiques.
1- Quai ferroviaire, Halifax, vers 1914 (avant l’explosion)
Photo: Don de Mr. Stanley G. Triggs. Musée McCord
2- Débris de bâtiments et de wagons à marchandises, avec le bateau « Imo » à l'arrière-plan, Halifax, 1917
Photo: Don de C. F. Crandall. Musée McCord
3- Dommages causés par l'explosion dans le nord de la ville, près du réservoir
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
4- Après l’explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
5- Bâtiments endommagés sur Gottingen Street
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
6- Après l’explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
7- Vue d’Halifax après l’explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
8- Vue nord-sud des dommages causés par l'explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
9- Soldats engagés dans des opérations de sauvetage après l'explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
10- Dommages causés par l'explosion
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
11- Le YMCA d’Halifax a été converti en hôpital temporaire réapprovisionné quotidiennement en médicaments et en fournitures médicales par les bénévoles de la Croix-Rouge
Photo: Croix-Rouge canadienne
12- L’un des 13 postes de secours installé dans un bâtiment qui a résisté à l’explosion.
Photo: Croix-Rouge canadienne
13- 300 bénévoles de la Croix-Rouge se sont affairés à transformer des draps et des tissus en bandages et en pansements.
Photo: Croix-Rouge canadienne
14- Un blessé transporté à l’école St. Mary’s, aménagée en hôpital temporaire par la Croix-Rouge américaine.
Photo: Croix-Rouge canadienne
15- Dortoir de l’école St. Mary’s
Photo: Croix-Rouge canadienne
16- Bureau temporaire du Comité de secours médicaux
Photo: Croix-Rouge canadienne
17- Des enfants emportent des caisses de vivres provenant de partout au Canada par l’entremise de la Croix-Rouge et d’autres organismes
Photo: Croix-Rouge canadienne
18- Après l’explosion
Photo: Bibliothèque du Congrès
19- Des membres de la Croix-Rouge américaine emmènent des blessés à l'hôpital