Né le 27 octobre 1928 à Natashquan, l’infatigable Gilles Vigneault soufflera ses 96 bougies cette année. Son immense œuvre de poésie, de contes et de chansons lui a valu d’innombrables honneurs et distinctions ici et à travers la francophonie. Ardent défenseur de la langue et de la culture québécoise, il a participé activement aux deux campagnes référendaires et sa chanson Mon Pays, composée en 1964, est considérée comme l’hymne national non officiel du Québec.
1- Gilles Vigneault en 1930
Négatif reproduit en 1983 (original créé en 1930). BAnQ
2- La mère de Gilles Vigneault, Marie Appoline Adélaïde, dite « Marie Landry », à Natashquan
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3- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
4- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
5- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
6- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
7- Gilles Vigneault avec Pauline Julien et Jacques Normand
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
8- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
9- Gilles Vigneault avec Monique Leyrac
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
10- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
11- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
12- Gilles Vigneault, 1960-1976
Photo: Antoine Desilets, BAnQ
13- Gilles Vigneault avec Yvon Deschamps et Félix Leclerc
Née le 24 septembre 1932 à Sorel, celle que l’on prénomme affectueusement «Dodo» fait ses débuts comme chanteuse dans les années 1950 avant de se tourner vers la comédie où elle connaîtra ses plus grands succès.
Dès le début des années 1960, elle se joint à l'équipe du Bye Bye et participera à plus de 17 éditions du populaire rendez-vous annuel québécois. Son inoubliable duo avec la comédienne Denise Filiatrault dans la télésérie Moi et l’autre sera l’un des grands succès de la télévision québécoise, suivi de plusieurs premiers rôles au petit écran (Dominique, Chère Isabelle et Métro-boulot-dodo). Comédienne polyvalente, elle brille également au théâtre et au cinéma et récolte un grand nombre de distinctions, dont plusieurs prix Gémeaux.
1-Dominique Michel, 1963
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2- Dominique Michel, 1970
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3- Dominique Michel, scène de l'émission Moi et l'autre
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4- Dominique Michel, 1966
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5- Dominique Michel avec Olivier Guimond, Claire Lepage et Daniel Guérard, Gala des Artistes, 1966
Ces images de l'Afrique du Sud prises au tournant du 20e siècle témoignent à la fois de la beauté de la région et de l’horreur du système colonialiste.
Territoire riche en ressources naturelles et premier producteur d’or mondial, l’Afrique du Sud a longtemps suscité la convoitise des puissances coloniales européennes. Dès le milieu du 17e siècle, des colons hollandais occupent progressivement les terres des premiers peuples, dont les Khoi khoi, les Bochimans (San) et les populations de langue bantoue.
Au 19e siècle, la colonie du Cap passe sous la domination de la Grande-Bretagne. S’en suit une importante migration des Boers (les descendants des colons hollandais), qui refoulent les tribus installées sur les territoires convoités et des affrontements avec les forces britanniques à la fin du siècle.
1- Government Avenue, Cape Town, 1890-1910
Bibliothèque du Congrès
2- Lion's Head et Three Anchor Bay,1890-1910
Bibliothèque du Congrès
3- Une vieille maison hollandaise, colonie du Cap, 1890-1910
Bibliothèque du Congrès
4- Pic du Diable, depuis Waterloo Green, Wynberg, 1890-1910
Bibliothèque du Congrès
5- Jinrikisha, dans le Natal, 1890-1910
Bibliothèque du Congrès
6- Guérisseur autochtone, Afrique du Sud, 1890-1910
À voir: des photos historiques des rencontres entre Churchill et Roosevelt à Québec en 1943 et en 1944.
En août 1943 et en septembre 1944, le premier ministre canadien William Lyon Mackenzie King accueillait Winston Churchill et Franklin D. Roosevelt ainsi que de hauts dirigeants des armées alliées pour deux importantes réunions stratégiques dans la ville de Québec.
Au cours de la première conférence, les alliés commencent à planifier le débarquement de Normandie qui aura lieu en juin 1944.
Le contexte est fort différent en 1944 alors que l’Allemagne nazie est sur le point de capituler. Les alliés se penchent alors sur l’après-guerre et la reconstruction de l’Europe. Au milieu de ces heures sombres, les trois chefs d’État en profitent tout de même pour se détendre un peu, notamment lors de mémorables parties de pêche.
1- Franklin D. Roosevelt, William Lyon Mackenzie King et Winston Churchill à la citadelle pendant la conférence de Québec
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
2- Le président Franklin D. Roosevelt salue Anthony Eden, secrétaire aux Affaires étrangères britanniques
Photo: Bibliothèque et Archives Canada
3- Photographie de groupe lors de la première Conférence de Québec (1943) ou la deuxième Conférence de Québec (1944)
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4- Mackenzie King, Franklin D. Roosevelt et Winston Churchill avec des officiers supérieurs américains et britanniques
Bibliothèque et Archives Canada
5- Chef d'état-major de l'air Marshal Lloyd S. Breadner, Vice-amiral Percy W. Nelles et le Lieutenant-General Kenneth Stuart
Bibliothèque et Archives Canada
6- Le premier ministre Mackenzie King, le maréchal en chef de l'air Lloyd S. Breadner, Lady Clementine Churchill, le vice-amiral Percy W. Nelles et le lieutenant-général Kenneth Stuart à la Citadelle lors de la Conférence de Québec
Bibliothèque et Archives Canada
7- Le premier ministre L. Mackenzie King avec Henry L. Stimson, secrétaire à la Guerre des États-Unis
Bibliothèque et Archives Canada
8- Le comte d'Athlone, gouverneur général du Canada, avec les dirigeants du Canada, de la Grande-Bretagne et des États-Unis
Bibliothèque et Archives Canada
9- Réunion conjointe des chefs d'état-major britanniques et canadiens
Bibliothèque et Archives Canada
10- Mme Franklin D. Roosevelt, le premier ministre MacKenzie King, Mme Winston Churchill et Sir Shuldam Redfern arrivant à la Citadelle
Haut lieu d’histoire et de loisirs pour les Montréalais, l’Ile Sainte-Hélène doit son nom à la jeune épouse de Samuel de Champlain, Hélène Boullé. La voici en images dans les années 1900.
Cédée à Charles Le Moyne sous la Nouvelle-France, l’île Sainte-Hélène prendra une vocation militaire après la conquête britannique. Transformée en parc municipal à la fin du 19e siècle, l’île était accessible par navette fluviale jusqu’à la construction du pont Jacques Cartier en 1929.
Au cours des années 1930, d’importants travaux d’aménagement sont réalisés en majeure partie par les chômeurs frappés par la crise économique. L’île sera ensuite agrandie pour l’Expo de 1967, qui lui donnera ses plus grandes heures de gloire.
1- Foule embarquant sur le Garden City pour aller au grand pique-nique de fin de vacances donné par la Ville sous les auspices de la Presse, années 1920
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2- Groupe des sociétés historiques et autres associations civiques en visite à l'Ile Sainte-Hélène
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3- Quai de bois, débarcadère, années 1910
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4- Île Sainte-Hélène
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5- Île Sainte-Hélène, années 1920
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6- Festival annuel des terrains de jeux, 1947
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7- Pique-nique annuel des terrains de jeux, 1945
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8- Île Sainte-Hélène
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9- Île Sainte-Hélène
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10- Île Sainte-Hélène, élèves de la classe de dessin de l'École supérieure Saint-Louis, 1934