Archives du mot-clé histoire

Voyage dans le temps à l’Ile Sainte-Hélène

2 septembre 2024Auteur : Françoise Genest

Haut lieu d’histoire et de loisirs pour les Montréalais, l’Ile Sainte-Hélène doit son nom à la jeune épouse de Samuel de Champlain, Hélène Boullé. La voici en images dans les années 1900.

Cédée à Charles Le Moyne sous la Nouvelle-France, l’île Sainte-Hélène prendra une vocation militaire après la conquête britannique. Transformée en parc municipal à la fin du 19^e siècle, l’île était accessible par navette fluviale jusqu’à la construction du pont Jacques Cartier en 1929.

Au cours des années 1930, d’importants travaux d’aménagement sont réalisés en majeure partie par les chômeurs frappés par la crise économique. L’île sera ensuite agrandie pour l’Expo de 1967, qui lui donnera ses plus grandes heures de gloire.

Pour en savoir plus: L’île Sainte-Hélène, incontournable dans l’histoire de Montréal

1- Foule embarquant sur le Garden City pour aller au grand pique-nique de fin de vacances donné par la Ville sous les auspices de la Presse, années 1920

2- Groupe des sociétés historiques et autres associations civiques en visite à l'Ile Sainte-Hélène

3- Quai de bois, débarcadère, années 1910

4- Île Sainte-Hélène

5- Île Sainte-Hélène, années 1920

6- Festival annuel des terrains de jeux, 1947

7- Pique-nique annuel des terrains de jeux, 1945

8- Île Sainte-Hélène

9- Île Sainte-Hélène

10- Île Sainte-Hélène, élèves de la classe de dessin de l'École supérieure Saint-Louis, 1934

11- Île Sainte-Hélène, années 1920

12- Festival annuel des terrains de jeux, 1947

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Vacances en famille à Rivière-du-Loup en 1919

26 août 2024Auteur : Françoise Genest

À partir de la seconde moitié du 19^e siècle, notamment grâce à la construction du chemin de fer intercolonial, la région de Rivière-du-Loup (autrefois Fraserville) devient une destination prisée par les touristes aisés en quête d’aventure et de détente. Voici un album photo des membres de la famille de Blanche Lacoste et de Joseph Philippe Landry et leurs amis en villégiature à la «Maison Blanche» de la Pointe de Rivière-du-Loup.

1- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

2- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

3- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

4- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

5- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

6- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

7- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

8- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

9- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

10- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

11- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

12- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

13- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

14- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

15- Vacances d'été 1919 à la Pointe de Rivière-du-Loup

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Plaisirs d’été d’hier à aujourd’hui

19 août 2024Auteur : Marie-Lyse Paquin

En temps de canicule, les piscines publiques et les jeux d’eau sont pris d’assaut par les petits et les grands. Voici une sélection de photos rafraîchissantes!

Les fontaines et les bains publics remontent à l’Antiquité, notamment chez les Romains qui en avaient fait le centre de leur vie sociale. La baignade publique n’a toutefois pas toujours été recommandée ni même permise à toutes les époques à travers le monde.

À partir de la fin du 19^e siècle, avec la montée de l’urbanisation, on voit se multiplier les bassins et les piscines urbaines. Il s’agit aussi de la belle époque des bains publics qui permettaient aux plus défavorisés de se laver.

1- Pataugeoire du terrain de jeux de l'avenue Henri-Julien à Montréal

2- Pataugeoire

3- Baignade, 1938

4- Pataugeoire située près du boulevard Dorchester et de la rue Sainte-Catherine Ouest à Westmount, 1944

5- Pataugeoire située près du boulevard Dorchester et de la rue Sainte-Catherine Ouest à Westmount, 1944

6- Bassin à Ville Saint-Pierre, 1938

7- Fils de Paul Jean dans la pataugeoire du terrain de jeux de l'avenue Henri-Julien à Montréal, 1945

8- Pataugeoire au terrain de jeu Dufferin

9- Baignade, 1943

10- Enfants au parc Hampstead, 1947

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Il y a 50 ans, la SuperFrancoFête en images

12 août 2024Auteur : Françoise Genest

En photos: des souvenirs de la SuperFrancoFête de 1974, dont le mythique spectacle J'ai vu le loup, le renard et le lion.

Du 13 au 24 août 1974, la ville de Québec accueillait des milliers de visiteurs et des représentants de 25 pays au Festival international de la jeunesse francophone, renommé depuis la SuperFrancoFête.

Inaugurée par un spectacle mythique –J'ai vu le loup, le renard et le lion – réunissant Félix Leclerc, Gilles Vigneault et Robert Charlebois devant plus de 100 000 personnes sur les plaines d'Abraham, la SuperFrancoFête comptait 770 événements culturels et sportifs ainsi qu’un village des arts.

Pour en savoir plus sur cet événement historique, écoutez Les 50 ans de la SuperFrancoFête et d’un concert mythique.

1- Robert Charlebois lors du spectacle d'ouverture de la SuperFrancoFête, 1974

2- Gilles Vigneault, spectacle d'ouverture de la SuperFrancoFête, 1974

3- Félix Leclerc, spectacle d'ouverture de la SuperFrancoFête, 1974

4- Spectacle du Liban

5- Spectacle de Madagascar

6- Spectacle du Niger

7- Spectacle de la Guadeloupe

8- Spectacle de la Martinique

9- Spectacle de la République centrafricaine

10- Spectacle de la Tunisie au Jardin de la Grande Allée

11- Spectacle de la Tunisie au Jardin de la Grande Allée

12- Spectacle du Rwanda

13- Ballets africains de la République centrafricaine et du Niger

14- Portraits de participants et échassiers du Luxembourg et de la France

15- Spectacle du Gabon

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Souvenirs des colonies de vacances

18 juillet 2024Auteur : Marie-Lyse Paquin

En colonie de vacances, la si, la sol, en colonie de vacances... Voici une sélection de photos qui vous plongera dans les plaisirs des colonies de vacances!

Apparues vers la fin du 19^e siècle en Amérique du Nord, les colonies de vacances visaient à initier les enfants des milieux urbains à la nature. Au Québec, les premiers camps anglophones tels que les camps Kanawan et Oolawhan dans les Laurentides seront bientôt suivis par la colonie de vacances des Grèves, en 1912 à Contrecœur. Alors que plusieurs camps sont gérés par des communautés religieuses et des œuvres de bienfaisance, d’autres relèvent d’initiatives privées destinés aux élites bourgeoises.