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Camping dans le parc du Mont Tremblant dans les années 1960

Le camping est très populaire auprès des Québécois. Retour en photos sur ce populaire loisir!

Le camping récréatif fut d’abord pratiqué essentiellement par les hommes de la bourgeoisie anglaise avant de se démocratiser et devenir de plus en plus populaire après la Première Guerre mondiale.

Créé en 1895, le parc de la Montagne Tremblante est devenu une aire vouée à la conservation de la nature à la fin des années 1950, mais ce n’est qu’en 1977, lors de l’adoption de la Loi sur les parcs, que la chasse et l’exploitation forestière furent interdites et le territoire réellement protégé.

1- Parc des Deux-Montagnes et parc du Mont-Tremblant, 1962

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

2- Familles profitant des terrains de camping Le Petit chaudron au lac Chat, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

3- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

4- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

5- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

6- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

7- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

8- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

9- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

10- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

11- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

12- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

13- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

14- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

15- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

16- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

17- Messe célébrée en plein air au lac Monroe, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

18- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

19- Camping au parc du Mont-Tremblant, 1960

Photo: Albert Courtemanche, BAnQ

Plein air-aventure: du pire au rêve de demain

La crise actuelle oblige les amateurs de plein air et de tourisme d’aventure à faire preuve de beaucoup de patience. Trois spécialistes de tourisme d’aventure racontent dans quelles conditions ils travaillent depuis que les frontières se sont fermées ou que le confinement est en vigueur et comment ils préparent pour vous la sortie de crise, avec l’espoir – comme pour nous tous – qu’elle vienne vite! 

Parcs et entreprises en tourisme d’aventure fermés, obligation de sorties réduites à la proximité des domiciles, accès limités à certaines régions… Le monde du plein air au Québec subit de plein fouet les effets de la crise de la COVID-19 et fournit sa part d’efforts pour réduire au minimum les risques de propagation du virus.

Même chose pour les agences spécialisées en tourisme d’aventure à l’international, dont il faut louer les efforts incroyables accomplis pour rapatrier leurs clients, aider les autres dans leurs démarches d’assurance annulation de voyages, tout en continuant à préparer les séjours de l’été avec un personnel réduit et dans des conditions financières très difficiles.

La crise de mars au Québec

«Nous avons manqué deux ou trois semaines d’activités en fin d’hiver», dit le directeur général d’Aventure Écotourisme Québec (AEQ), Pierre Gaudreault.

Dans cet entre-deux saisons, les effets de la crise semblent limités dans les 135 entreprises en écotourisme et tourisme d’aventure ainsi que dans les 50 parcs régionaux du Québec membres d’Aventure Écotourisme Québec. «Le moral est assez bon et les membres demeurent optimistes», affirme monsieur Gaudreault. Ceux qui travaillent avec une clientèle internationale sont nettement «plus nerveux».

Les plus affectés ces temps-ci sont ceux qui offrent habituellement au printemps des sorties ou des formations en rafting et kayak en eau vive. Pour eux, ce sera zéro revenu.

Les autres ne paniquent pas, mais l’incertitude provoque beaucoup d’inquiétude, note Pierre Gaudreault.

Si les parcs nationaux peuvent recevoir l’aide de leurs MRC respectives, les petites entreprises locales du secteur ne peuvent compter que sur elles-mêmes. «Notre secteur avait le vent dans les voiles en 2019. Tout allait bien, mais certains ont fait des investissements et le ralentissement actuel pèse sur les finances. C’est le calme plat depuis trois semaines. Les écoles fermées ont annulé leurs activités de plein air sans payer; les gens annulent leurs réservations et personne ne réserve pour l’été. Nos entreprises sont donc sans entrées d’argent».

L’AEQ a mis en place une équipe pour les aider à gérer la crise, avec une chaîne téléphonique, la fourniture d’un aide-mémoire sur les actions à prioriser, des conseils pour prendre des arrangements avec leurs fournisseurs et bailleurs de fonds.

Les plus affectés ces temps-ci sont ceux qui offrent habituellement au printemps des sorties ou des formations en rafting et kayak en eau vive. Photo: Rune Haugseng, Unsplash

Rapatriements rocambolesques

Il faut louer les efforts incroyables accomplis depuis mars par les agences de voyages québécoises pour rapatrier leurs clients de l’étranger. Tel fut le cas chez Terres d’Aventure Canada et Karavaniers, nos deux plus importantes agences spécialisées en tourisme d’aventure à l’international, qui travaillent toujours d’arrache-pied, à effectifs réduits et sans recettes nouvelles, pour servir leur clientèle.

Jad Haddad, directeur de Terres d’Aventure Canada, raconte: «Mi-mars a été une véritable course contre la montre car la situation changeait d’heure en heure, avec des pays fermant leurs frontières les uns après les autres, alors que nous tentions de ramener ici une vingtaine de clients se trouvant au Costa Rica, en Afrique du Sud, au Sri Lanka, en Australie, Nouvelle-Zélande, Maroc et Vietnam.» Les quelques employés de Montréal ont dû jouer des pieds et des mains, 24 heures sur 24, pour les épauler, leur trouver des vols de retour qui étaient ensuite annulés…

L’histoire d’un client qui devait partir en Jordanie début mars est éclairante. La veille, le pays ferme sa frontière. Terres d’Aventure lui propose alors de rejoindre plutôt un groupe pour un trek au Maroc. Le client à peine arrivé à Marrakech, le pays ferme aussi ses frontières et le reste du groupe n’arrive pas… «Nous avons dû le prendre en charge à distance et lui trouver un vol via la France.»

Jad Haddad, directeur de Terres d’Aventure Canada, a fait des pieds et des mains pour rapatrier un client qui devait partir en Jordanie début mars. Photo: Emile Guillemot, Unsplash

Richard Rémy, fondateur de Karavaniers et guide, explique de son côté que l’équipe de Montréal «a eu beaucoup d’adrénaline quand il a fallu rapatrier une quarantaine de clients en expédition au Népal et au Maroc. Nous avions sept personnes y travaillant à temps plein et l’un des rapatriements est digne d’un film de James Bond». Un groupe de jeunes adultes québécois traumatisés crâniens et leurs accompagnateurs se trouvaient dans le désert marocain avec leurs guides et éducateurs spécialisés quand l’heure du rapatriement a sonné. «Nous ne voulions pas les séparer sur différents vols et ça nous a pris du temps pour trouver la solution. La compagnie minière canadienne Thyssen cherchait elle aussi à ramener 40 employés du Maroc. On a négocié en secret avec elle pour noliser un avion qui est passé de Montréal à l’Islande, puis par l’Irlande, avant de ramener tout le monde de Marrakech au Québec.» La belle histoire, c’est que Thyssen a finalement pris en charge tous les frais de ce transport aérien!

L'équipe de Karavaniers a eu beaucoup d’adrénaline quand il a fallu rapatrier une quarantaine de clients en expédition au Népal et au Maroc. Photo: Sergey Pesterev, Unsplash

Aide aux annulations

En plus de s’occuper des rapatriements, Karavaniers a dû gérer les annulations de tous les voyages prévus en mars et avril pour cause de COVID-19. «On a travaillé fort et ce n’est pas fini», résume Richard Rémy. Une quinzaine de groupes ne sont pas partis. Il a fallu ensuite conseiller les gens pour qu’ils vérifient leurs couvertures d’assurance et demandent des remboursements.

Même son de cloche chez Terres d’Aventure Canada, où le gros du travail actuel est encore de servir le client en produisant notamment des documents pour faciliter les demandes aux assureurs ou au FICAV (Fonds d’indemnisation des clients d’agence de voyages), qui accepte les requêtes de clients dont les voyages sont annulés dans les 72 heures de la date de départ.

En général, «les clients ont été très compréhensifs sur le fait que nous ne pouvions pas nous-mêmes les rembourser, alors que nous avions déjà payé nos fournisseurs», précise Richard Rémy. Karavaniers travaille – depuis des années souvent – avec des agences locales et des guides qui préparent ses expéditions sur le terrain, au Pérou comme au Népal, notamment. «Pour avoir le meilleur service, on leur avance de l’argent pour qu’ils prennent des réservations, par exemple pour payer les permis d’accès au chemin des Incas. C’est aussi très important pour le futur que ceux avec qui nous travaillons à l’étranger ne perdent pas tout, alors qu’ils n’ont pas le filet social que nous pouvons avoir ici.»

«Nous n’allons pas demander à nos partenaires à l'étranger de nous rembourser alors qu’ils vivent des situations bien pires que les nôtres!» Photo: Adrian Dascal, Unsplash

Jad Haddad tient le même propos. «Certains ont l’impression que nous gardons leur argent, mais ce n’est pas le cas. En plus de tous nos services de conseils aux clients, notre travail de formation des équipes à destination est fait bien avant les départs et nous payons nos fournisseurs d’avance. Nous n’allons pas leur demander de nous rembourser alors qu’ils vivent des situations bien pires que les nôtres!»

Quand vient le temps d’annuler à la dernière minute, le client doit se tourner vers son assureur, mais pour les réservations à venir de mai ou pour plus tard, Terres d’Aventure Canada songe à offrir des crédits-voyage à ceux qui voudraient les annuler.

Karavaniers va s’attaquer bientôt pour sa part aux réservations faites pour des voyages en juin-juillet et pourrait envisager des remboursements partiels à la pièce, en fonction des conditions particulières à chaque destination mais, pour l’instant, aucun voyage pour juin-juillet n’est annulé.

Préparer «l’Après» maintenant

«Malgré un bon début, 2020 s’annonce comme une année catastrophique parce que nous faisons 80% de notre chiffre d’affaires entre janvier et mai, précise Jad Haddad. 2019 ayant été excellente, on devrait passer à travers et repartir sur notre lancée en 2021.» Il croit que l’envie de voyager des amateurs de tourisme d’aventure ne s’envolera pas. «Notre clientèle, ajoute-t-il avec conviction, en est une de gens curieux et avides de découvertes. Ils vont vouloir repartir.»

Richard Rémy pense aussi que les Québécois ne vont pas se fermer au reste du monde, même si le redémarrage risque d’être lent. «Nous espérons que cette pause forcée sera la plus courte possible et n’affectera pas les départs de cet été et de l’automne à l’étranger», précise-t-on sur le site. Karavaniers réfléchit toutefois dès maintenant à une offre alternative d’expéditions en randonnée ou en kayak de mer au Québec. «Nous travaillons déjà avec des membres d’Aventure Écotourisme Québec pour offrir à nos clients des séjours de plus de quatre jours qu’ils n’offrent pas actuellement à leur propre clientèle québécoise: cinq jours en kayak de mer sur le fjord du Saguenay ou dans l’archipel des iles Mingan, par exemple. À nos clients habituels, nous demanderions une inscription sur l’honneur afin de commencer à travailler sur la logistique de ces nouvelles expéditions pour groupes de 12 maximum.»

Karavaniers réfléchit à une offre d’expéditions en randonnée ou en kayak de mer au Québec, notamment dans l’archipel des iles Mingan. Photo: Facebook Réserve de parc national de l'Archipel-de-Mingan

Le plein air de proximité en hausse attendue

Tout le monde s’accorde à dire que le marché du tourisme de proximité va bondir dès que le confinement sera levé et celui du plein air n’échappera pas à la règle. Pierre Gaudreault en est convaincu: «Le tourisme d’aventure au Québec sera dans une situation favorable dès la sortie de la crise parce que les gens vont vouloir s’évader un peu, pas trop loin, en famille ou en petits groupes, pour faire du camping, de la randonnée, une via ferrata ou du kayak. Nous conseillons donc à nos membres de se préparer à une hausse des demandes venues de leurs régions comme à un afflux de visiteurs d’ailleurs au Québec, ce qui compensera au moins en partie une baisse d’accueil de touristes étrangers. Ils doivent dès maintenant penser à adapter leurs produits, par exemple en offrant plus d’activités à la journée que sur plusieurs jours.»

Le tourisme d’aventure au Québec sera dans une situation favorable dès la sortie de la crise. Photo: Facebook Parc de la Chute-Montmorency

Tout en mettant la pédale douce sur leurs dépenses, il leur faut aussi, dit-il, conserver du personnel clé pour planifier leurs opérations et leur recrutement de personnel «en fonction de deux ou trois scénarios: une ouverture en juin, une au 1er juillet ou une plus tard en été. Dans le meilleur des cas, pense-t-il, si la sortie de crise nous permet d’ouvrir la saison en juin, on va sauver les meubles.»

Conseils aux «consommateurs» de plein air

«Il est temps de rêver, de faire des projets, de regarder de la documentation, de lire des guides de voyage, conseille Jad Haddad. Nous étions là pour aider nos clients dans les pires situations. Nous serons là aussi pour concrétiser leurs nouveaux projets, dès que la situation va le permettre.»

Chez Karavaniers, on invite notamment les passionnés à assister à des conférences sur des destinations étrangères en Facebook Live puisque celles prévues ce printemps en région ont toutes été annulées.

Quant à Pierre Gaudreault, il suggère aux amateurs de plein air de profiter de leur confinement pour préparer de belles activités de vacances ou de week-end au Québec et de les réserver dès maintenant pour donner un coup de pouce aux gestionnaires d’activités. Sans danger pour eux puisque la plupart ont d’ores et déjà assoupli leurs conditions d’annulation et de remboursement!

Et si on préparait notre été au Québec?

Voici venu le temps de songer aux prochaines vacances ou à quelques escapades estivales. Je vous propose un tour de piste à la grandeur du Québec axé sur les nouveautés plein air.

Dans Charlevoix 

Randonner avec un alpaga

La ferme Alpagas Charlevoix n’a pas qu’une jolie boutique de produits faits en laine d’alpaga aux Éboulements, on peut aussi aller se balader alentour avec «son» alpaga. 

Cani-trottiner sur le sentier des Caps

Près de Baie-Saint-Paul, les spécialistes du traîneau à chiens de La Reine et le Millionnaire proposent une nouvelle activité de cani-trottinette, style vélo sans selle tracté par un ou deux chiens de traîneau. 

La Reine et le Millionnaire proposent le cani-trottinette, style vélo sans selle tracté par un ou deux chiens de traîneau. Photo: Facebook La Reine et le Millionnaire

En Abitibi-Témiscamingue

Découvrir le parc national Opémican

À pied, en canot, en kayak, en camping ou en prêt-à-camper, profitez de l’été pour découvrir le tout nouveau parc national Opémican. Il ouvre ses portes en grand le 22 juin aux abords des lacs Témiscamingue et Kipawa.

La rivière Kipawa est incluse dans les limites du parc national d'Opémican qui ouvrira le 22 juin. Photo: Facebook Parc national d'Opémican

Grimper dans les arbres

À Rouyn-Noranda, le Parc-Aventure Joannès complète ses parcours d’arbre en arbre avec dix nouveaux jeux aériens et offre un parcours nocturne le 3 août. 

Sur la Côte-Nord 

Enfourcher un fatbike électrique

Offert en location pour une heure ou plus à Tadoussac, c’est le moyen parfait pour visiter cette belle région.

S’initier à la voile

Le voilier Chelona navigue dans le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent au départ de Tadoussac avec jusqu’à huit personnes à son bord. On en profite pour la journée ou pour dormir à bord.

Naviguer dans le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent à bord du voilier Chelona. Photo: Facebook Voile Estuaire

Traverser en planche à pagaie

Avec Les Vagues, on s’installe sur une planche à pagaie sur la plage de Havre-Saint-Pierre, puis on file vers la Grosse Île et la Petite Île au Marteau. On fait ensuite une randonnée jusqu’au phare de la Petite Île au Marteau. Une belle aventure au milieu du fleuve!

Plonger dans la culture innue d’Unamen Shipu

Près de La Romaine sur la Basse-Côte-Nord: balade en mer sur le Bella Desgagnés, immersion chez les Innus, pêche au saumon et au homard…

En Gaspésie 

Faire une randonnée guidée

Au Géoparc mondial UNESCO de Percé pour mieux «interpréter» paysages et géosites du littoral.

Avec une randonnée guidée, on apprend à mieux interpréter paysages et géosites. Photo: Facebook Géoparc mondial UNESCO de Percé

Pousser l’adrénaline

Avec Eskamer Aventure, à Sainte-Anne-des-Monts, on survole la vallée du canyon Castor (où se pratique le canyoning) via une tyrolienne de 330 mètres de long, puis en sautant en chute libre (ou presque) d’une hauteur de 15 mètres! 

Faire de la planche à pagaie

Notamment sur un lac perdu près de l’Auberge de montagne des Chic-Chocs.

Dans Lanaudière 

Combiner vélo et produits du terroir

Le nouveau circuit cyclable «Goûtez Lanaudière» propose plein d’arrêts gourmands sur 75 km. 

Les nombreux circuits cyclables sont une bonne façon de découvrir la région. Photo: Jimmy Vigneux, Facebook Tourisme Lanaudière

Randonner avec un âne

À l’asinerie L’Âne Gardien, à Sainte-Mélanie, on ne vend pas seulement des produits à base de lait d’ânesse, on peut aussi partir en forêt avec un âne.

S’initier à la voile

Sur le fleuve, dans la région de Berthierville et des îles de Sorel, c’est possible avec l’école Voilévolution. 

Dans les Laurentides

Randonner dans le parc national du Mont-Tremblant

On y ouvre le 24 juin la piste du Loup, un nouveau sentier multifonctionnel reliant le camping du Lac-Chat et les chalets Nature au centre de services du Lac-Monroe.

Faire une expérience tyrolienne

Cette expérience peut être doublée d’une balade en télécabine et d’une courte randonnée avec Ziptrek Écotours Tremblant.

Avez-vous assez de courage pour tenter cette expérience de tyrolienne à Tremblant? Photo: Facebook Ziptrek Tremblant

Dans le Bas-Saint-Laurent

Partir en bateau

La Société Duvetnor, qui gère visites et hébergements sur l’île aux Lièvres et l’île du Pot-à-l’Eau-de-Vie, a fait l’acquisition d’un nouveau bateau qui sera utilisé pour le transport vers les îles, où la marche est à l’honneur, mais aussi pour des croisières à la découverte d’autres îles du Saint-Laurent. 

Faire du vélo et camper

Notamment au parc côtier Kiskotuk. Entre Cacouna et L’Isle-Verte, ce parc a deux nouveaux chalets perchés, en plus de belles plateformes de camping avec vue sur le fleuve. Il ouvre fin juin un sentier de 5 km pour le vélo de montagne et la course à pied.

Une belle plateforme de camping avec vue sur le fleuve! Photo: Facebook Parc côtier Kiskotuk

En Mauricie

Redécouvrir les sentiers pédestres

Le secteur Rivière-à-la-Pêche du parc national de la Mauricie annonce sa réouverture après la réfection de routes. Pour mieux se balader en canot ou en kayak sur le lac Wapizagonke, le parc fournira cet été de sympathiques livrets explicatifs sur l’aqua-rando. 

Faire un safari dans les bayous

Embarquez dans une chaloupe du Domaine du Lac Saint-Pierre pour une sortie guidée axée sur la faune et la flore de ce dédale de canaux. 

Une expérience hors de l'ordinaire : un safari dans les bayous! Photo: Facebook Domaine du lac St-Pierre

Au Saguenay–Lac-Saint-Jean

Enfourcher une monture!

À Labrecque, Haagendaz Expéditions propose des forfaits d’équitation d’une heure à deux jours, avec ou sans hébergement en gite. 

Haagendaz Expéditions propose des forfaits d’équitation d’une heure à deux jours. Photo: Facebook HaagenDaz Expéditions inc.

Randonner sur le sentier du lac Kénogami

Pour une courte marche, direction cap à l’Aigle; pour la longue randonnée, le sentier compte 40 km entre Hébertville et Laterrière, avec deux refuges et trois campings en route. 

Dans les Cantons-de-l’Est

Enfourcher un vélo de montagne

Dans le parc national du Mont-Orford, cinq sentiers dédiés «simple trace» et totalisant 12 km ouvrent cet été. Une piste cyclable de niveau facile reliera par ailleurs les secteurs Lac-Stukely et Lac-Fraser sur 10,6 km. 

De nouveaux sentiers ouvriront cette année au parc national du Mont-Orford. Photo: Facebook Parc national du Mont-Orford

Se dégourdir

Tyrolienne, avec jeu d’hébertisme aérien, méga-balançoire, mur d’escalade… Divertigo propose tout cela à flanc de mont Soleil, près du parc aquatique de Bromont.

En Montérégie

Participer au premier festival de plein air Beside

Celui-ci est organisé au parc national des Îles-de-Boucherville du 14 au 16 juin. Au programme: ateliers, conférences, activités de plein air et camping! 

Identifier les oiseaux de proie du Québec

Sur le site de Chouette à voir!, participez à un atelier, puis allez marcher sur leurs sentiers et visiter les volières de réhabilitation.

Dans Chaudière-Appalaches

Enfourcher son vélo de montagne

Au parc régional Massif-du-Sud, deux nouveaux sentiers «simple trace» totalisant 2,2 km complètent le réseau existant de 15 km.

En Outaouais

Randonner au long cours

C’est pour cet été: l’ouverture d’un sentier pédestre de 100 km qui traversera de bord en bord le territoire de Kenauk Nature, la plus vieille réserve naturelle privée d’Amérique du Nord.

Un nouveau sentier pédestre de 100 km traversera de bord en bord le territoire de Kenauk Nature. Photo: Facebook Kenauk Nature

Gravir la montagne en vélo

Au Parc des Montagnes Noires de Ripon: deux nouveaux sentiers de vélo de montagne, celui du Grand Pic (pour la descente) et celui de l’Ancêtre (pour le cross-country), ouvrent cet été. Un nouveau camping sauvage et une tour d’observation sont aussi prévus. 

Dans le Centre-du-Québec

Découvrir le «gravel bike»

Nouvelle tendance du vélo de route adapté aux chemins de gravelle. C’est possible d’en faire l’essai sur la véloroute des Appalaches, avec neuf nouvelles boucles dans les contreforts des Appalaches et un guide détaillé.