La chronique Voyages en images

Auteur(e)

Julie Chaumont

En plus d'être journaliste et chef de pupitre pour Avenues.ca, Julie Chaumont est réalisatrice d'expositions pour le musée Pointe-à-Callière. On peut aussi la lire dans La Presse et sur Urbania.

7 jours de voile en Martinique

Du 3 au 10 février, j’ai eu la chance d’embarquer à bord d’un catamaran pour une croisière de sept jours en Martinique. En compagnie de l’équipage de Robert Corbeil, alias Capitaine Jack, j’ai vécu une expérience de voyage unique que ces quelques photos résument trop simplement. Si vous avez envie d’en savoir plus, je vous invite à lire mon journal de bord.


La marina du Marin

Des mâts, des mâts, et encore des mâts. Avec ses 830 postes à quai et ses 100 bouées, la marina du Marin impressionne. Sur les quais, tout le monde s’active. On se prépare pour le départ ou on vit les derniers moments d’une traversée.

Des mâts, des mâts, et encore des mâts. Photo: Julie Chaumont

Notre embarcation

C’est à bord de ce catamaran Bali 4.2 que nous partirons découvrir les charmes de la Martinique. Quatre cabines avec salle de bain individuelle, cuisine – cuisinier inclus! –, salle à manger, espaces de repos. Le grand luxe!

Notre embarcation pour les sept jours de croisière. Photo: Julie Chaumont
Ma confortable cabine. Photo: Julie Chaumont

Le rocher du Diamant

Dans les dernières années, j’ai fait la mise en ligne de plusieurs textes sur la Martinique. Cela a alimenté mon rêve de voir scintiller le Diamant. Voguer à ses côtés m’a sans doute offert le meilleur point de vue possible pour l’admirer.

Le précieux Diamant. Photo: Julie Chaumont

Les Anses-d’Arlet

Nous arrivons à l’image «carte postale» de la Martinique. Un quai et, au bout, l’église Saint-Henri. Bienvenue aux Anses-d’Arlet. Ce qui est magique d’arriver à cette destination par l’eau, c’est qu’on se rend sur terre en faisant du snorkeling. Le fond marin des Anses-d’Arlet est aussi beau que la ville elle-même.

Plonger dans cette eau turquoise pour atteindre la terre. Photo: Julie Chaumont
La célèbre église Saint-Henri. Photo: Julie Chaumont

L’île aux fleurs

On comprend rapidement pourquoi la Martinique porte le nom d’île aux fleurs. Je ne me lasserai jamais des bougainvilliers… surtout lorsqu’un joli colibri accepte de se faire immortaliser.

On comprend rapidement pourquoi la Martinique porte le nom d’île aux fleurs. Photo: Julie Chaumont

La montagne Pelée

«C’est très rare qu’on voie le sommet du mont Pelée», me dit Capitaine Jack. Je me sens soudainement très chanceuse de pouvoir admirer dans toute sa splendeur ce volcan ayant rejoint la prestigieuse liste du patrimoine mondial de l’UNESCO en 2023. Avec ses 1397 mètres d’altitude, la montagne Pelée – qui a entièrement détruit la ville de Saint-Pierre, à ses pieds, en 1902 – est le point culminant de la Martinique.

La chance de voir la montagne Pelée sans nuage. Photo: Julie Chaumont

La distillerie Depaz

Il est presque impensable de se rendre en Martinique sans mettre la visite d’une distillerie à l’itinéraire. À Saint-Pierre, ancré sur les flancs de la montagne Pelée, le domaine Depaz produit du rhum agricole depuis 1917. Le rhum est bon, oui, mais le site en lui-même, avec son magnifique château et ses arbres gigantesques, vaut à lui seul le détour.

Dégustation à la distillerie Depaz. Photo: Julie Chaumont
Le château fleuri de la distillerie. Photo: Julie Chaumont

La cascade Couleuvre

Une randonnée dans une magnifique forêt tropicale permet d’atteindre la cascade Couleuvre, située sur le massif volcanique de la montagne Pelée. Avec ses 130 mètres, elle est l’une des plus hautes chutes d’eau de la Martinique et des Antilles françaises. Son point fort: offrir une douche naturelle des plus rafraîchissantes!

La cascade Couleuvre offre une douche naturelle des plus rafraîchissantes. Photo: Julie Chaumont

La fin d’une autre journée parfaite

Le soleil se couche, emportant avec lui les restes d’une autre journée chaude et ensoleillée. Il est temps de rentrer sur le bateau, où nous passerons une autre nuit à nous faire bercer doucement dans les bras de la mer.

Le fin d'autre autre journée parfaite. Photo: Julie Chaumont

Bons baisers de Fort-de-France

Impossible d’arriver à Fort-de-France sans avoir la célèbre chanson de la Compagnie Créole dans la tête. Le ciel est gris et la capitale de la Martinique me semble moins accueillante que ses petites villes fleuries. En soirée, une promenade dans ses rues colorées et un délicieux souper au restaurant Chez Lucrece réussiront à me charmer.

Impossible d’arriver à Fort-de-France sans avoir la célèbre chanson de la Compagnie Créole dans la tête. Photo: Julie Chaumont
Les kiosques qui attendent les touristes arrivant par bateau. Photo: Julie Chaumont

La plage des Salines

Nous finissons la croisière avec une journée à la plage des Salines, reconnue comme étant l’une des plus belles de la Martinique. Eau turquoise, cocotiers, sable fin… j’essaie d’emmagasiner le plus de chaleur possible avant de retrouver le froid de février.

Au loin: la plage des Salines. Photo: Julie Chaumont
Eau turquoise et sable fin de la plage des Salines. Photo: Julie Chaumont

Ce voyage a été rendu possible grâce à l’invitation de Voile Capitaine Jack. Merci!