Tu verras, les âmes se retrouvent toujours quelque part, Sabrina Philippe

alt="Tu-verras-les-âmes-se-retrouvent-toujours-quelque-part"L’une est encore jeune, un peu connue mais déjà lasse. Elle parle d’amour sur les plateaux de télévision, donne des conseils éclairés, mais peine à trouver du sens à sa propre histoire. Dans un café de l’île Saint-Louis où elle a pris l’habitude de commencer ses journées, elle fait une rencontre qui va bouleverser sa vision du monde, de l’amour et qui va transformer sa vie.

L’autre a les cheveux blancs et les yeux clairs. Elle était journaliste. Elle a cherché l’amour dans les bras d’hommes qui l’ont plus ou moins aimée, jusqu’à ce que l’évidence d’une rencontre éclipse toutes les autres. Dans un café de l’île Saint-Louis, elle est venue trouver la jeune femme qui parle d’amour pour lui raconter son histoire.

Lui a des boucles brunes et un regard noir. Il se souvient des temps anciens où ils se sont rencontrés. Il sait qu’il ne peut pas l’aimer dans cette vie-là, ou elle en mourra encore. Leur amour est au-delà de l’amour car leurs âmes sont sœurs. Ils se sont retrouvés dans ce café de l’île Saint-Louis, mais ils devront attendre encore toute une vie avant de s’unir à jamais.

C’est l’histoire d’un amour bouleversant parce qu’impossible, qui fait vivre une expérience qui touche à l’intime et à l’universel de la passion amoureuse.

Tu verras, les âmes se retrouvent toujours quelque part, Sabrina Philippe, Édito, 2017, 352 pages, 24,95$.

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Stringify fait vivre les objets connectés

Stringify est une application mobile qui permet d'automatiser des fonctionnalités d'objets électroniques reliés à Internet.

Il existe de plus en plus de gadgets électroniques reliés à Internet. Ce concept est connu sous le nom d’«Internet des objets». Alors qu’ampoules intelligentes, thermostats intelligents et systèmes d’alarme fonctionnent habituellement indépendamment les uns des autres, l’application mobile Stringify permet d’unifier le tout et d’automatiser certaines fonctionnalités.

«S’il risque de pleuvoir aujourd’hui, envoie-moi une notification pour me rappeler de prendre mon parapluie et allume une lumière bleue dans l’entrée.»

«Si mon bracelet d’entraînement indique que j’ai marché 15 000 pas dans une journée, publie automatiquement un message sur Facebook.»

 «Si je suis à la maison et que la porte de la maison est ouverte pour plus de cinq minutes, éteins le système de climatisation et envoie-moi un message texte.»

Voilà le genre d’automatisations qu’il est possible de créer avec l’application Stringify. S’il est possible de créer de toutes pièces ces Flows (le nom donné à ces tâches par l’application), il est aussi possible de télécharger des Flows existants ou encore d’adapter ceux créés par d’autres personnes.

L’application n’est pas sans rappeler IFTTT, un autre service qui permet d’automatiser certaines fonctionnalités des maisons modernes. Stringify permet toutefois de créer des automatisations plus complexes qu’IFTTT. Pour l’instant, plus de 500 services en ligne et objets connectés sont compatibles avec l’application, comme les ampoules Philips Hue, l’assistant Amazon d’Alexa et certains bracelets d’entraînement Fitbit.

L’application Stringify est offerte gratuitement sur iOS depuis un certain temps et vient tout juste d’arriver sur Android.

Le ramen, compagnon d’hiver

Le meilleur remède contre la grisaille, l’humidité et le froid? Le ramen!

Certains le confondent avec les soupes à la vietnamienne alors que tout les différencie: le bouillon (plus gras), le type de nouilles, les accompagnements, et leur origine. Le ramen, même s’il est très populaire au Japon, viendrait de la Chine.

Dans un ramen, les nouilles et le bouillon volent la vedette. Pour compléter ce duo, on ajoute viande grillée, œuf mollet, oignons verts et, parfois, quelques morceaux de légumes. Le tout est souvent couronné d’une tranche de narutomaki. Ce rouleau fait de pâte de poisson dévoile une spirale blanche et rose une fois coupé.

Louis Hosaka, chef d’origine japonaise installé à Québec, ne comprend pas pourquoi le plat n’est pas plus répandu au Québec. «C’est chaud, réconfortant et riche. On a bien besoin de ça ici!»

Au Japon, il est vrai que le plat est disponible à chaque coin de rue, ou presque. Et il est au pays du Soleil-Levant ce que la poutine est au Québec. À la sortie des bars, c’est vers un ramen que l’on se tourne. Puis, pour signifier son contentement, on fera le plus de bruit possible en dégustant les longues nouilles puisque cela fait partie du rituel de dégustation du plat.

La popularité du ramen à la hausse

J’avais déjà parlé du ramen au retour d’un voyage au Japon comme de l’une des sept spécialités qu’on devrait voir davantage ici.

Le souhait du chef Hosaka et le mien semble vouloir se réaliser. De plus en plus de petits restaurants en proposent une version fidèle, tel qu’on le sert au Japon. Élise Tastet a publié sa liste des 12 endroits où déguster les meilleurs ramens à Montréal. À Québec, le Tora-Ya Ramen, spécialisé dans l’offre de ces bols réconfortants, continue de voler la vedette. Sur le web, il est aussi facile de trouver des recettes à faire à la maison.

Promis, le ramen fait presque office de luminothérapie quand l’hiver semble gris.

Photo: Unsplash
Photo: Unsplash

Intrus sur le chemin, Manon Morissette

Artiste peintre autodidacte, Manon Morissette vit et travaille à Drummondville.

Huile, acrylique, figuratif, abstrait… la spontanéité et l’intuition occupent une grande place dans la production artistique de Manon Morissette. La peinture, tantôt appliquée par masses légères, tantôt par masses plus imposantes, est travaillée avec les mains ou divers accessoires (spatule, éponge, grattoir, etc.) La lumière et le mouvement sont omniprésents dans les œuvres de cette artiste née à Saint-Hyacinthe.

artothèque.ca

Coût de location par mois pour un particulier (taxes incluses): 15$.

Intrus sur le chemin, 2009. Manon Morissette. Acrylique sur toile. 107,5 cm x 63,5 cm. © L'Artothèque
Intrus sur le chemin, 2009. Manon Morissette. Acrylique sur toile. 107,5 cm x 63,5 cm. © L'Artothèque

 

Cafés, Jean-Michel Dufaux

Quel est le meilleur espresso de tout La Spezia en Italie? Où s’abreuvent les afficionados de café à Las Vegas? Jean-Michel Dufaux a parcouru plus de 20 pays et 45 villes pour trouver les meilleurs cafés du monde entier. Bilbao, Hanoi, Istanbul, Kyoto… À travers ses voyages et ses photographies, Jean-Michel Dufaux nous invite à arpenter les villes, s’attardant à ses trésors architecturaux, prenant le pouls des passants, traduisant l’énergie des lieux dans un ouvrage à la croisée des chemins entre le récit de voyage, le guide classique et l’album photos. Un beau livre à feuilleter en dégustant un bon café!

Résumé

Plus de 20 pays, 45 villes et autant d’établissements mythiques…

Un photographe globe-trotteur part à la recherche du meilleur latte et de la parfaite crema. Caféinophile invétéré et photographe à l’œil incisif, Jean-Michel Dufaux nous propose ici un tour du monde à travers les portes de ses plus grands cafés.

Cafés, Jean-Michel Dufaux, Éditions Cardinal, 2015, 256 pages, 39,95$.alt="cafes-jean-michel-dufaux"