Métiers en voie de disparition: crieurs de journaux et camelots
Pendant des siècles, les crieurs publics annonçaient les nouvelles sur les places publiques. À partir de la fin du 19e siècle, les crieurs de journaux se levaient à l’aurore pour vendre les quotidiens dans la rue. Quelques décennies plus tard, les quotidiens engageaient des centaines de camelots, majoritairement des jeunes hommes, pour faire la tournée matinale des abonnés. Voici une galerie souvenir d’un métier en voie de disparition.
1- Crieur de journaux dans la rue, vers 1905
2- Le crieur de journaux, 1866
3- Les auxiliaires du journalisme canadien Groupe des petits vendeurs de journaux de Montréal, 1904
4- Camelot de La Presse, 1934-1943
5- Camelots de La Presse, 1934-1943
6- Le camelot John Murray, 1943
7- Camelots du journal The Monitor, 1943
8- Camelot du journal The Guardian, 1943
9- Camelot du journal Le Droit, 1957
10- Le camelot Reggie Groom avec une abonnée, 1943
11- Camelot de La Presse, 1965
12- Camelot de La Presse, 1965
13- Camelot et une cliente recevant le journal The Monitor, 1947
14- Camelots de La Presse, 1965-1996
15- Camelots de La Presse, 1965-1996
16- Camelots de La Presse, 1965-1996
17- Camelots de La Presse, 1965-1996
18- Camelot de La Presse, 1965-1996
19- Camelots de La Presse, 1965-1996
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