Archives annuelles : 2018

Bulletin de neige: dernier appel!

Les activités hivernales tirent à leur fin, à moins que vous ayez prévu un petit voyage en Gaspésie, au Saguenay–Lac-Saint-Jean ou sur la Côte-Nord. Mes «contacts» m’y indiquent encore une surabondance de belle neige qui va durer au moins jusqu’à la fin avril, voire mai, pour le plus grand bonheur de certains!

Ailleurs, on entre dans des «conditions printanières» pour la pratique du ski alpin, du ski de fond ou de la raquette, mais les dernières tempêtes de neige pourraient faire durer le plaisir partout, hors de la vallée du Saint-Laurent. En groupe ou par vous-mêmes, on vous aide à finir la saison «froide» en beauté! 

En groupe

Les Sentiers de l’Estrie Inc. organise des «randos relax» les lundis d’avril et de mai. Les prochaines ont lieu les 2 et 16 avril au parc national du Mont-Orford, le 9 avril au mont Gale et le 23 avril au parc national du Mont-Mégantic. Il y a aussi des randonnées de groupe les mercredis et samedis en Estrie et au New Hampshire, en raquettes, crampons ou pedibus!

Gratuit pour les membres, 10$ par jour pour les non-membres, plus le prix du transport par covoiturage.

Des randonnées relaxes dans les plus beaux sentiers. Photo: Facebook Les Sentiers de l'Estrie Inc.
Des «randos relax» dans les plus beaux sentiers. Photo: Facebook Les Sentiers de l'Estrie Inc.

Le club de plein air Vert l’Aventure Plein Air (Québec) invite à participer, moyennant des frais d’adhésion de 25$ par saison et de 8$ par sortie, à de belles randonnées toute l’année dans la région de Québec et même au-delà. La dernière sortie de raquette a lieu le 8 avril dans la réserve faunique des Laurentides, aux Sommets du lac Beauséjour.

Par vous-mêmes 

Conditions de neige

Même si vous avez encore l’embarras du choix, on ne saurait trop vous conseiller de vérifier les conditions de neige des stations ou centres de plein air où vous voulez vous rendre. Voici trois sites pour faire un premier tri:

  • Pour le ski alpin (74 stations): maneige.ski
  • Pour le ski de fond (20 centres de plein air des Laurentides): skidefondlaurentides.com
  • Pour le ski de fond, la raquette et le fatbike dans les parcs de la Sépaq: sepaq.com

Ski alpin: top 3 de l’hiver 2017-2018

Voici le palmarès des stations ayant reçu le plus de neige cette année (donc, là où il en reste le plus):

Ski de fond et raquette: sorties de choix

  • Dans les Laurentides, le parc régional de la Montagne du Diable (Hautes-Laurentides) a reçu 199 cm de neige au cours de la saison et prédisait avoir «probablement les plus belles conditions de l’hiver» pour la raquette et le ski de fond, fin mars. Le centre de plein air Saint-Adolphe-d’Howard annonce six pistes de ski de fond ouvertes et tracées, et des conditions «très belles pour la raquette».
  • Dans Lanaudière, même si le parc national du Mont-Tremblant est déjà fermé, le secteur de la Pimbina demeure accessible pour le ski de fond et la raquette. Le parc n’entretient plus les pistes mais les conditions sont toujours bonnes, même en avril. C’est aussi le cas partout à Saint-Donat, précise Sylvie Villeneuve, agente de promotion, publicité et communications à la municipalité. «Nous avons de magnifiques conditions printanières», souligne-t-elle, et même les pistes de ski de fond du parc des Pionniers (près de 40 km) sont encore tracées. À noter: l’accès aux sentiers de Saint-Donat est gratuit!
  • En Mauricie: le site Aux berges du lac Castor à Saint-Paulin croule encore sous la neige. On peut loger sur place en chalet, auberge, yourte ou hutte, mais il est aussi possible de profiter à la journée de ses sentiers de raquette en forêt (25 km).
  • Dans la région de Québec: la Vallée Bras-du-Nord a des conditions de sentiers encore belles pour la raquette. On ne loue plus de fatbikes et les pistes pour le pratiquer ne sont plus entretenues, mais elles sont encore accessibles! Le parc national de la Jacques-Cartier, bien loti en neige encore, garde ses sentiers de fatbike ouverts (20 km) ainsi que ses deux secteurs de ski hors-piste. Pour le ski de fond et la raquette, tout est ouvert également, mais sur neige durcie!
Le plaisir du ski de printemps! Photo: Facebook Association des stations de skis du Québec
Le plaisir du ski de printemps! Photo: Facebook Association des stations de skis du Québec

20 photos de femmes en guerre

Environ 50 000 femmes se sont engagées au sein de l’Armée canadienne au cours de la Seconde Guerre mondiale. Elles œuvraient dans plusieurs secteurs, dont la réparation mécanique et technique, les communications, la rédaction ou la conduite de véhicules.

Le Corps de la Croix-Rouge canadienne a aussi déployé des centaines de femmes en Europe et à Terre-Neuve pour travailler bénévolement dans des navires, des hôpitaux, des cantines et des bureaux Croix-Rouge.

N’oublions pas également les milliers de femmes d’ici qui ont participé à l’effort de guerre, soit en travaillant dans les usines, en amassant des fonds ou en œuvrant bénévolement pour l’effort de guerre et le bien-être des soldats.

Sources: Bibliothèque et Archives Canada et Croix-Rouge canadienne

1- Militaires entrant dans une chambre à gaz durant un exercice au Centre d’instruction de base no 2 du SFAC, à Vermilion, Alberta, juillet 1943

Photo: Lieutenant Ken Bell. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant Ken Bell. Bibliothèque et Archives Canada

2- Membres du SFAC débarquant d’un navire de transport de troupes à Naples, en Italie, 22 juin 1944

Photo: Lieutenant C.E. Nye. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant C.E. Nye. Bibliothèque et Archives Canada

3- Membres du SFAC participant à un exercice de lutte contre les incendies, à Londres, en Angleterre, 28 février 1943

Photo: Capitaine Frank Royal. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Capitaine Frank Royal. Bibliothèque et Archives Canada

4- Membres du SFAC traversant le pont Alexandre III, à Paris, en France, 15 octobre 1944

Photo: Lieutenant Jack H. Smith. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant Jack H. Smith. Bibliothèque et Archives Canada

5- Membres du SFAC participant à un exercice de lutte contre les incendies, à Londres, en Angleterre, 18 février 1943

Photo: Capitaine Frank Royal. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Capitaine Frank Royal. Bibliothèque et Archives Canada

6- La soldate Helen Brymer du Service féminin de l’Armée canadienne observant la soldate Dorothy Lowry en train de vérifier la batterie d’un véhicule au garage Chelsea & Cricklewood, en Angleterre

Photo: Lieutenant B. J. Gloster. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant B. J. Gloster. Bibliothèque et Archives Canada

7- Membres du SFAC se préparant à débarquer d’un navire de transport de troupes à Gourock, en Écosse, 31 mars 1943

Photo: Lieutenant George Noble. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant George Noble. Bibliothèque et Archives Canada

8- Les caporales Eileen Sainsbury et Rita Moffat et la soldate Christina Gray, du SFAC, montant à bord d’un tramway, 28 octobre 1944

Photo: Lieutenant Michael M. Dean. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant Michael M. Dean. Bibliothèque et Archives Canada

9- Conductrices de la section no 3, Convoi d’ambulances motorisées, Corps royal de l’intendance de l’armée canadienne, attendant le départ d’un convoi, Farnborough, Angleterre, 12 janvier 1945

Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada

10- Parade de recrutement, Service féminin de l'Armée canadienne, Shawinigan, 1938-1945

Photo: © Musée McCord
Photo: © Musée McCord

11- Membres du premier contingent du SFAC entrant dans la ville de Hamm, en Allemagne, 12 juin 1945

Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada

12- La cornemuseuse Flossie Ross, du corps de cornemuses du SFAC, sur le pont d’un E-boat à Wilhelmshaven, en Allemagne, 4 october 1945

Photo: Lieutenant Barney J. Gloster. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant Barney J. Gloster. Bibliothèque et Archives Canada

13- Membres du SFAC participant au spectacle Invasion Revue de l’Armée canadienne, à Banville, en France, 30 juillet 1944

Photo: Lieutenant Ken Bell
Photo: Lieutenant Ken Bell

14- Femmes travaillant au chantier naval, vers 1944

Photo: Don de Mme Evelyn McDonald. North Vancouver Museum and Archives
Photo: Don de Mme Evelyn McDonald. North Vancouver Museum and Archives

15- Corps de la Croix-Rouge canadienne, 1939-1945

Photo: Croix-Rouge canadienne
Photo: Croix-Rouge canadienne

16- La sergente Karen M. Hermiston, du SFAC, tenant un appareil photo du modèle Anniversary Speed Graphic, à Londres, en Angleterre, 15 novembre 1945

Photo: Lieutenant Arthur L. Cole. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Lieutenant Arthur L. Cole. Bibliothèque et Archives Canada

17- Membre du SFAC effectuant des tests pour le Programme de contrôle des maladies respiratoires, au Camp Borden, en Ontario, février-mars 1944

Photo: Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Bibliothèque et Archives Canada

18- Soldats canadiens et membres du SFAC achetant des drapeaux pour les célébrations du jour de la Victoire en Europe, à Londres, en Angleterre, 8 mai 1945

Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Sargeant Karen M. Hermiston. Bibliothèque et Archives Canada

19- Membres du Service féminin de la Marine royale du Canada, du SFAC et du Service féminin de l’Aviation royale du Canada, juillet 1943

Photo: Bibliothèque et Archives Canada
Photo: Bibliothèque et Archives Canada

20- Des membres du Corps de la Croix-Rouge canadienne rendent visite à un soldat en convalescence à l'étranger (vers 1943-1945)

Photo: Croix-Rouge canadienne
Photo: Croix-Rouge canadienne

Bulletin de neige: dernier appel!

Les activités hivernales tirent à leur fin, à moins que vous ayez prévu un petit voyage en Gaspésie, au Saguenay–Lac-Saint-Jean ou sur la Côte-Nord. Mes «contacts» m’y indiquent encore une surabondance de belle neige qui va durer au moins jusqu’à la fin avril, voire mai, pour le plus grand bonheur de certains!

Ailleurs, on entre dans des «conditions printanières» pour la pratique du ski alpin, du ski de fond ou de la raquette, mais les dernières tempêtes de neige pourraient faire durer le plaisir partout, hors de la vallée du Saint-Laurent. En groupe ou par vous-mêmes, on vous aide à finir la saison «froide» en beauté! 

En groupe

Le réseau des Boutiques Courir organise sa dernière sortie de ski de fond et de raquette le 31 mars au Camp Mercier (région de Québec). Ce centre de plein air est réputé pour avoir de la belle neige tôt et tard en saison.

Transport aller-retour en bus (au départ de Longueuil), accès aux pistes et collation pour 59$, taxes comprises. 

Une dernière sortie de ski de fond au Camp Mercier. Photo: Sébastien Chouinard, Facebook
Une dernière sortie de ski de fond et de raquette au Camp Mercier. Photo: Sébastien Chouinard, Facebook

Chez Détour Nature, on clôture aussi la saison le 31 mars avec une sortie dans les Adirondacks (État de New York), à l’assaut des monts Algonquin et Wright en raquettes ou crampons, selon les conditions. Cette sortie s’adresse aux marcheurs aguerris en raison de la longueur du sentier (13,8 km) et des difficultés du terrain. La crête rocheuse d’Algonquin (juste avant le sommet) est particulièrement impressionnante, surtout par temps venteux, parole de randonneuse hivernale. Mais quelle vue vous attend! Comme le mont Wright se trouve sur le même sentier qu’Algonquin, on peut choisir en route si l’on poursuit ou non.

Prix: 89$, transport compris.

À noter: Détour Nature offre raquettes, crampons et bâtons de marche en location à bord du bus. On n’oublie pas son passeport! 

Monts Wright et Algonkin. Photo: Martin Morissette, Flickr
Monts Wright et Algonkin. Photo: Martin Morissette, Flickr

Les Sentiers de l’Estrie Inc. organise des «randos relax» les lundis d’avril et de mai. Les prochaines ont lieu les 2 et 16 avril au parc national du Mont-Orford, le 9 avril au mont Gale et le 23 avril au parc national du Mont-Mégantic. Il y a aussi des randonnées de groupe les mercredis et samedis en Estrie et au New Hampshire, en raquettes, crampons ou pedibus!

Gratuit pour les membres, 10$ par jour pour les non-membres, plus le prix du transport par covoiturage.

Des randonnées relaxes dans les plus beaux sentiers. Photo: Facebook Les Sentiers de l'Estrie Inc.
Des «randos relax» dans les plus beaux sentiers. Photo: Facebook Les Sentiers de l'Estrie Inc.

Le club de plein air Vert l’Aventure Plein Air (Québec) invite à participer, moyennant des frais d’adhésion de 25$ par saison et de 8$ par sortie, à de belles randonnées toute l’année dans la région de Québec et même au-delà. Les dernières sorties de raquette ont lieu le 31 mars et le 8 avril dans la réserve faunique des Laurentides, la première au mont Camille-Pouliot et la seconde aux Sommets du lac Beauséjour.

Raquette au mont Camille-Pouliot. Photo: Denis (VA2IEI), Flickr
Raquette au mont Camille-Pouliot. Photo: Denis (VA2IEI), Flickr

Par vous-mêmes 

Conditions de neige

Même si vous avez encore l’embarras du choix, on ne saurait trop vous conseiller de vérifier les conditions de neige des stations ou centres de plein air où vous voulez vous rendre. Voici trois sites pour faire un premier tri:

  • Pour le ski alpin (74 stations): maneige.ski
  • Pour le ski de fond (20 centres de plein air des Laurentides): skidefondlaurentides.com
  • Pour le ski de fond, la raquette et le fatbike dans les parcs de la Sépaq: sepaq.com

Ski alpin: top 3 de l’hiver 2017-2018

Voici le palmarès des stations ayant reçu le plus de neige cette année (donc, là où il en reste le plus):

Ski de fond et raquette: sorties de choix

  • Dans les Laurentides, le parc régional de la Montagne du Diable (Hautes-Laurentides) a reçu 199 cm de neige au cours de la saison et prédisait avoir «probablement les plus belles conditions de l’hiver» pour la raquette et le ski de fond, fin mars. Le centre de plein air Saint-Adolphe-d’Howard annonce six pistes de ski de fond ouvertes et tracées, et des conditions «très belles pour la raquette».
  • Dans Lanaudière, même si le parc national du Mont-Tremblant est déjà fermé, le secteur de la Pimbina demeure accessible pour le ski de fond et la raquette. Le parc n’entretient plus les pistes mais les conditions sont toujours bonnes, même en avril. C’est aussi le cas partout à Saint-Donat, précise Sylvie Villeneuve, agente de promotion, publicité et communications à la municipalité. «Nous avons de magnifiques conditions printanières», souligne-t-elle, et même les pistes de ski de fond du parc des Pionniers (près de 40 km) sont encore tracées. À noter: l’accès aux sentiers de Saint-Donat est gratuit!
  • En Mauricie: le site Aux berges du lac Castor à Saint-Paulin croule encore sous la neige. On peut loger sur place en chalet, auberge, yourte ou hutte, mais il est aussi possible de profiter à la journée de ses sentiers de raquette en forêt (25 km).
  • Dans la région de Québec: la Vallée Bras-du-Nord a des conditions de sentiers encore belles pour la raquette. On ne loue plus de fatbikes et les pistes pour le pratiquer ne sont plus entretenues, mais elles sont encore accessibles! Le parc national de la Jacques-Cartier, bien loti en neige encore, garde ses sentiers de fatbike ouverts (20 km) ainsi que ses deux secteurs de ski hors-piste. Pour le ski de fond et la raquette, tout est ouvert également, mais sur neige durcie!
Le plaisir du ski de printemps! Photo: Facebook Association des stations de skis du Québec
Le plaisir du ski de printemps! Photo: Facebook Association des stations de skis du Québec

Voyage dans le temps : l’Outaouais

Je poursuis ma tournée du Québec en photos en m’arrêtant en Outaouais.

Cette région qui abrite plus de 20 000 lacs, connut un plus grand essor à partir du XIXe siècle, particulièrement grâce à l’industrie forestière. De Montebello, où se situait la majestueuse résidence de Louis-Joseph Papineau à Hull en passant par Ottawa et Maniwaki, voici 30 images de l’Outaouais de la seconde moitié du XIXe siècle et début du XXe siècle.

Rue Dupont, Hull

Photo: Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)
Photo: Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ)

Rue principale, Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Station de feu, Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Souvenir de Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

District de la Chaudière, Ottawa, Ont., vers 1922

Photo: Don de M. Stanley G. Triggs MP-0000.25.176 - Musée McCord
Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. Musée McCord.

Photographie aérienne de Hull en hiver vers 1925

Photo : BAnQ
Photo : BAnQ

Palais de justice, Hull

Photo : BAnQ
Photo : BAnQ

Rue principale, Hull

Photo : BAnQ
Photo : BAnQ

Rue principale, Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Hôpital du Sacré-Cœur, Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Hôtel chez Henri, Hull

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Palais de justice

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Cathédrale Notre-Dame, Ottawa, vers 1900

Photo: James Ricalton Don de M. Stanley G. Triggs MP-0000.25.165 - Musée McCord
Photo: James Ricalton. Don de M. Stanley G. Triggs. Musée McCord

Rideau street, Ottawa

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Spark street, Ottawa

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Rideau street, Ottawa

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Coin de Sparks et Elgin

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Édifices du Parlement en construction, Ottawa, 1865

Photo: William Notman I-16295.0 - Musée McCord
Photo: William Notman. Musée McCord

Wellingtons street, Ottawa

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Édifices du Parlement, Ottawa, 1870-1871

Photo: William Notman I-60315.1 - Musée McCord
Photo: William Notman. Musée McCord

Banque de Montréal, Ottawa, 1884

Photo: Wm. Notman & Son II-74446 - Musée McCord
Photo: Wm. Notman & Son. Musée McCord

Écluses du canal Rideau, Ottawa, 1869

Photo: William Notman I-38066.1 - Musée McCord
Photo: William Notman. Musée McCord

Église, Ottawa, vers 1880

Photo: Notman & Sandham VIEW-1208.1 - Musée McCord
Photo: Notman & Sandham. Musée McCord

Le pont suspendu du côté de Hull, vers 1878

Photo: Notman & Sandham VIEW-1135.1 - Musée McCord
Photo: Notman & Sandham. Musée McCord

Le pont suspendu du côté de Hull, Ottawa, Ont., vers 1878

Photo: Notman & Sandham VIEW-1135.1 - Musée McCord
Photo: Notman & Sandham. Musée McCord

Ouvriers à la scierie de Hawksbury Mills, Hawksbury, vers 1895

Photo: MP-1985.74.1.13 - Musée McCord
Photo: Musée McCord

Côté sud du Château Montebello, Montebello, QC, vers 1890

Photo: Don de M. Stanley G. Triggs MP-0000.962.2 - Musée McCord
Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. Musée McCord

Thurso, rivière des Outaouais, vers 1870

Photo: Don de M. Stanley G. Triggs MP-0000.25.192 - Musée McCord
Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. Musée McCord

Maison blanche, L'Ange-Gardien, comté de Montmorency, vers 1910

Photo: Don de M. Stanley G. Triggs MP-0000.1170.2 - Musée McCord
Photo: Don de M. Stanley G. Triggs. Musée McCord

Rue Notre-Dame, Maniwaki

Photo: BAnQ
Photo: BAnQ

Gérer efficacement ses photos sur un téléphone intelligent

La quantité de photos et de vidéos que l’on prend par année a explosé avec l’arrivée des téléphones intelligents. Devant un tel déluge d’images, il est facile de s’y perdre et de remplir sans le vouloir tout l’espace de son téléphone. Voici cinq conseils pour gérer efficacement ses photos en 2018.

 1 – Installer Google Photos

Il existe plusieurs applications permettant de sauvegarder et de classer ses photos. Du lot, la plus intéressante est sans aucun doute Google Photos, qui permet d’emmagasiner gratuitement tous ses clichés et toutes ses vidéos, de les consulter facilement avec la plateforme de son choix (iPhone, Android, Mac, Windows), de sauvegarder les photos prises avec un appareil traditionnel, de les partager avec sa famille et de les récupérer par la suite si on décide de quitter le service.

 

Google Photos permet donc de classer ses photos, mais aussi de créer une copie de sauvegarde pour éviter de tout perdre, et de libérer de l’espace sur son téléphone, le tout sans débourser quoi que ce soit.

Sur un téléphone Android, vous avez peut-être déjà Google Photos par défaut, mais sinon, téléchargez l’application à cette adresse. Suivez ce lien pour l’installer à partir d’un iPhone ou d’un iPad. Il est aussi possible d’y accéder à partir d’un navigateur web à cette adresse.

alt="Google-Photos-Partage"

Vous aurez besoin d’entrer les informations de votre compte Google (ou d’en créer un) lors de votre première visite. Après avoir fourni les différentes autorisations demandées par l’application, vous y verrez les photos enregistrées sur votre téléphone. Sur un ordinateur, aucune photo ne s’affiche automatiquement, mais il suffit d’appuyer sur le bouton «Transférer», au haut de la page, pour y téléverser vos clichés.

 2 – Activer la sauvegarde automatique

Pour téléverser vos photos vers votre compte Google Photos, il suffit d’activer la sauvegarde automatique à partir de votre téléphone. L’application devrait vous suggérer de le faire automatiquement, mais sinon, cliquez sur l’option « Sauvegarder et synchroniser » dans les paramètres du logiciel (accessibles à partir du petit signe d’engrenage).

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Dans ce menu, sélectionnez l’option «Haute qualité» dans l’onglet «Taille de téléversement». Ce choix devrait vous permettre de conserver la qualité de vos fichiers d’origine avec la plupart des téléphones et de sauvegarder autant de photos que vous le désirez.

Sous l’option «Quand sauvegarder», vous pouvez choisir d’utiliser ou non les données cellulaires pour téléverser les photos. N’activez pas cette option, afin de sauvegarder vos photos uniquement sur un réseau Wi-Fi, ce qui permet de préserver votre forfait mobile.

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La première sauvegarde de vos photos devrait être longue, et pourrait drainer votre pile. Mieux vaut donc brancher votre téléphone, le temps que les photos soient enregistrées en ligne.

Une fois la première sauvegarde complétée, toutes les nouvelles photos que vous prendrez seront ajoutées au fur et à mesure sur Google Photos. Vous ne risquez donc pas de perdre vos souvenirs si votre téléphone se fait voler ou s’il se brise, et vous pourrez accéder à vos clichés avec n’importe quel appareil.

 3 – Créer des albums (et les tenir à jour)

Google Photos affiche les photos par ordre chronologique et permet d’effectuer des recherches par visage ou avec des mots, comme des lieux (plage, Cuba, forêt, etc.) et des objets (nourriture, voiture, etc.), pour retrouver des clichés. La reconnaissance d’image de Google travaille par elle-même, vous n’aurez donc pas besoin d’étiqueter chacune de vos photos pour profiter de cette recherche.

Pour ceux qui prennent beaucoup de photos, créer des albums peut néanmoins s’avérer une meilleure solution pour s’y retrouver dans les milliers de documents que l’on conserve tous les ans.

Dans l’application Google Photos, cliquez sur les trois petits points en haut à droite de l’écran et sélectionnez «Créer album» pour démarrer la création d’une nouvelle collection. Choisissez quelques photos (vous pourrez en rajouter par la suite, il n’est donc pas nécessaire d’être exhaustif) et appuyez sur «Créer» pour continuer. Vous pourrez alors nommer l’album.

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Pensez à créer des albums en fonction de certaines personnes, de vos activités, d’une époque ou de vos voyages. Ne sauvegardez que les plus belles photos, celles que vous voudrez revoir par la suite.

Notons qu’il est aussi possible de partager ces albums. Vous pouvez envoyer un lien à un ami pour qu’il consulte les photos, ou même créer un album avec d’autres utilisateurs Google Photos, où chacun peut ajouter ses propres photos.

 4 – Enregistrer une copie de sécurité

Créer une copie de sauvegarde de ses souvenirs est toujours une bonne idée. Les serveurs de Google sont sécuritaires, mais on n’est jamais trop prudents.

De temps à autre, accédez à l’outil Google Takeout pour effectuer une sauvegarde de vos photos (personnellement, je le fais une fois par année, avant de faire le ménage de mon téléphone pour récupérer de l’espace). Vous pouvez choisir de les sauvegarder sur votre ordinateur, mais aussi de les transférer automatiquement dans un autre service de sauvegarde en ligne, comme Dropbox ou OneDrive de Microsoft.

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Cette étape est quand même longue, et elle n’est pas essentielle, mais elle pourra donner une tranquillité d’esprit aux plus craintifs qui veulent être certains de ne jamais perdre leurs précieux souvenirs.

 5 – Récupérer de l’espace sur son téléphone

Une fois que vos photos sont téléversées dans Google Photos et que vous avez sauvegardé une seconde copie en ligne ou sur un ordinateur, il n’est plus nécessaire de conserver les originales sur son téléphone. Vous pouvez donc les effacer dans votre application régulière sans aucun risque (après avoir vérifié qu’elles sont vraiment enregistrées sur les serveurs de Google, évidemment).

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Il est aussi possible d’économiser de l’espace dans Google Photos directement. Dans les paramètres de l’application, cliquez sur «Gérer l’espace de stockage de l’appareil». Le bouton «Libérer de l’espace» efface les photos sauvegardées localement, mais conserve leur copie dans le nuage. Quand vous reviendrez dans l’application, vous verrez les vignettes de toutes vos photos, et elles seront téléchargées de nouveau uniquement si vous voulez les voir en grand format.

Vous retrouverez ainsi des gigaoctets d’espace sur votre téléphone, sans rien perdre et en ayant accès à vos clichés tout aussi facilement qu’avant.