Ils sont bien connus en France, et maintenant, ils comptent conquérir l’Amérique du Nord. Après l’édition sur Montréal, lancée l’été dernier, c’est au tour du Québec d’avoir, depuis quelques jours, son guide Gault & Millau.
Fondés en France en 1972, les guides, qui regroupent les meilleurs restaurants en leur attribuant des toques, sont aujourd’hui présents dans une douzaine de pays à travers le monde. Mais c’est depuis quelques mois seulement qu’ils ont fait leur entrée au pays, en passant par Montréal. Le lancement des nouveaux guides avait fait grand bruit l’été dernier, de même que le classement attribué aux restaurants montréalais. Ce sont le Mousso et le Toqué!, avec leurs quatre toques, qui avaient été présentés comme les meilleurs établissements en ville.
Photo: Facebook Restaurant Toqué!
Puis, le 5 décembre dernier, les toques se sont étendues à la province en entier grâce au tout nouveau guide Gault & Millau Québec, où se retrouvent 250 des meilleurs restaurants du Québec.
Les guides Gault & Millau sont rédigés par une équipe locale d’experts gourmands qui rendent visite à tous les établissements de manière anonyme. Ces derniers attribuent autant de points à la nourriture qu’à l’ambiance, au service, à la carte ou aux choix de vins.
Et ce n’est qu’un début puisque dans un avenir rapproché, les guides Gault & Millau comptent bien faire leur place partout au Canada et devenir une référence lorsque vient le temps de s’installer aux meilleures tables du pays.
Michel Leclair est un artiste diplômé de l’école des Beaux-Arts de Montréal. En plus de sa production artistique, il a été professeur de sérigraphie et d’arts plastiques dans différents établissements d’enseignement.
La production artistique de Michel Leclair n’était autrefois que constituée de photographies. L’artiste travaillait de grands formats dans lesquels la nature dominait. Au fil des ans, Michel Leclair jouera davantage avec ses photographies, les découpant en fragments afin de créer un effet de mosaïque, ou encore en les recouvrant de peinture pour obtenir de la texture. Un dialogue est ainsi créé entre peinture et photographie, d’où émergent des images inédites et une proximité entre l’abstraction et la figuration.
Récipiendaire de nombreux prix et bourses, ses œuvres font partie de quelques collections privées (Air Canada, Cogeco, etc.) et publiques (Loto-Québec, Musée d’art contemporain de Montréal, etc.)
Anne Galante est passionnée par le tricot. À São Paulo et dans les villes avoisinantes, cette artiste brésilienne propose des ateliers et une performance artistique inusitée: du tricot géant!
Il ne faut que quelques heures à Anne Galante pour remplir une pièce de tricot. Avec des aiguilles de plus de 6 pieds, faites sur mesure, l’artiste tricote des pièces géantes qui recouvrent des pièces entières. Sa laine, qu’elle confectionne elle-même, se transforme rapidement en un doux et épais tapis sur lequel on aimerait bien pouvoir se reposer!
Jetez un coup d’œil à cette vidéo pour la voir en action!
Amun est un recueil de nouvelles écrites qui nous fait découvrir dix auteurs autochtones. Nature, appartenance, spiritualité, mort… les écrits, sous la direction de Michel Jean, abordent une foule de thèmes qui nous font découvrir la réalité passée et présente de ce peuple si souvent ignoré.
Résumé
Dans la langue innue, amun signifie « rassemblement ». Sous la direction de Michel Jean, écrivain et journaliste innu, ce collectif réunit pour la toute première fois des auteurs autochtones de divers horizons, de différentes nations et générations. Leurs textes de fiction reflètent tantôt l'histoire et les traditions, tantôt la réalité des Premières Nations au Québec et au Canada. Offrant à lire les points de vue d'artistes de renom, ce livre est le théâtre d'un rassemblement et d'une prise de parole qui ne se font que trop rarement.
Avec des nouvelles inédites de Joséphine Bacon, Natasha Kanapé Fontaine, Naomi Fontaine, Virginia Pésémapéo Bordeleau, Melissa Mollen Dupuis, Jean Sioui, Alyssa Jérôme, Maya Cousineau-Mollen, Louis-Karl Picard-Sioui et Michel Jean.
Amun, Collectif sous la direction de Michel Jean, Stanké, 2016, 168 pages, 24,95$.
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De la lumière, de l’espace et un milieu bien pensé qui se soucie de l’environnement: le projet ADHOC, conçu par la firme d’architectes éponyme, donne envie de déménager à Verdun séance tenante.
Complété en 2015, l’immeuble résidentiel de la rue Rielle compte six unités d’une à quatre chambres à coucher. ADHOC architectes a travaillé de concert avec le promoteur KnightsBridge, spécialisé dans la construction d’habitations écologiques, pour développer ce projet.
Selon Jean-François St-Onge, architecte et cofondateur de la jeune firme montréalaise, «sa forme inhabituelle brise l’apparence de l’immeuble à condos typique et propose une nouvelle vision de l’habitation». Malgré son originalité, le bâtiment, qui mise sur la brique, le métal et le bois, ne détonne pas dans le quartier.
Pour ce projet, on a collé deux triplex dos à dos, ce qui fait qu’à l’arrière, les immeubles partagent les mêmes escaliers extérieurs. Les propriétaires ont ainsi un accès privilégié à la nature. Les terrasses privées sont grandes et les fenêtres, nombreuses. L’intérieur, où trône le blanc, est chaleureux et aéré.
Dans la langue innue, amun signifie « rassemblement ». Sous la direction de Michel Jean, écrivain et journaliste innu, ce collectif réunit pour la toute première fois des auteurs autochtones de divers horizons, de différentes nations et générations. Leurs textes de fiction reflètent tantôt l'histoire et les traditions, tantôt la réalité des Premières Nations au Québec et au Canada. Offrant à lire les points de vue d'artistes de renom, ce livre est le théâtre d'un rassemblement et d'une prise de parole qui ne se font que trop rarement.
